Aide à domicile

Aide à Domicile

Notre partenaire O2 est présent pour vous accompagner pour une aide à domicile, ménage, courses, repas, sortie ou jardinage.

 

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L’entretien d’un jardin implique d’éliminer les mauvaises herbes qui prolifèrent facilement. Liseron, Chiendent, Prêle… ces espèces envahissantes ont la peau dure et sont la bête noire de bien des jardiniers. Comment lutter efficacement contre les mauvaises herbes ? À qui faire appel ? Voici nos conseils pratiques !
 

Les mauvaises herbes, c’est quoi ?

 
Vous avez décidé de vous mettre au vert et d’entretenir votre jardin/potager ? Sachez qu’il vous sera utile de connaître les mauvaises herbes qui peuvent empêcher vos plantes ou légumes de s’épanouir. Ces espèces particulièrement tenaces s’infiltrent partout et ont tendance à pousser là où on ne les attend pas : sur le rebord d’une fenêtre, entre les interstices d’une allée.
 
Pour éradiquer les mauvaises herbes et éviter qu’elles ne resurgissent, vous devez avant tout les identifier, ou du moins savoir reconnaitre les plus courantes.
En la matière, on citera entre autres :
  • le liseron, une plante agressive, dont les tiges s’enroulent et étouffent les végétaux fragiles ;
  • le chiendent qui a la particularité de produire de nombreux rhizomes à la pointe très dure ;
  • le plantain et ses larges rosettes.
Connaître l’espèce indésirable dans votre jardin vous permettra de trouver plus facilement la méthode d’éradication adaptée tout en favorisant la bonne pousse de vos plantes/légumes.
 

 

Désherbage : traitement chimique ou biologique ?

 Dans un contexte où les préoccupations écologiques sont plus que jamais d’actualité, adopter une méthode de désherbage écologique constitue l’approche la plus responsable.
 
Aujourd’hui, il est tout à fait possible d’obtenir de bons résultats avec des traitements bio ou autres méthodes non chimiques même sur des surfaces de culture importante.
 
À l’échelle d’un jardin ou d’un potager, l’efficacité des techniques de désherbage écologiques n’est plus à prouver.
En voici quelques-unes :
  • Utilisez un désherbant biologique à base de plante de pélargonium ;
  • L’association du vinaigre et du bicarbonate constitue une excellente alternative aux traitements chimiques de type glyphosate ;
  • Le paillage et le film biodégradable seront idéalement indiqués pour le potager, car ils limitent les possibilités d’envahissement ;
  • Le faux semis : il s’agit d’une méthode classique qui consiste à préparer le sol quelques semaines avant semis ou plantation, provoquant la germination des mauvaises herbes, qu’il vous suffit alors d’éliminer.

Existe-t-il des solutions préventives ?

 Désherber est une tâche fastidieuse, mais indispensable pour avoir un beau jardin. A défaut de pouvoir s’en affranchir, vous pouvez néanmoins réduire la fréquence grâce à quelques astuces.
 
Commencez tout d’abord par fertiliser le sol avec de l’engrais riche en azote, puis arrosez pour faciliter la pénétration des éléments nutritifs dans le sol. Une fois nourri, le sol permettra aux plantes et légumes de pousser plus librement que les mauvaises herbes.
 
Autre méthode préventive : le paillage des massifs. Cette technique consiste à recouvrir le sol de paillage minéral ou végétal afin de priver les mauvaises herbes de lumière. Écorce de pin, billes d’argile, copeaux de bois… vous n’aurez que l’embarras du choix !

Travaux de jardinage : ai-je droit à des aides de l’État ?

Confier l’entretien du jardin à un professionnel ouvre droit à des aides financières et particulièrement un crédit d’impôt pour les travaux de jardinage. Un crédit d’impôt « travaux de jardinage » peut réduire la facture, vous permettant ainsi de continuer à entretenir votre jardin.
 
Par ailleurs, dans le cadre du CESU (Chèque Emploi Service Universel), il vous est possible de salarier directement un jardinier et de le rémunérer via ce dispositif.
Autre solution : recourir à un organisme public ou privé agréé « Service à la personne » qui se chargera de recruter et gérer le jardinier à votre place, moyennant une rémunération mensuelle.

 

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À l’instar des autres travaux confiés à un salarié à domicile, le coût du jardinage peut faire l’objet d’aides et de crédit d’impôt. Découvrez quelles sont les conditions requises et les démarches à effectuer pour en bénéficier.

Les travaux de jardinage éligibles au crédit d’impôt

En principe, les services à la personne fournis par un salarié à domicile sont éligibles au crédit d’impôt. Ils incluent toutes les prestations d’aide à domicile qui ne nécessitent pas de qualification particulière : repassage, petit bricolage, commissions et aide à la préparation du repas, etc. Les petits travaux de jardinage simples font partie de ces prestations d’aide à domicile, par exemple :

  • le débroussaillage ;
  • le taillage des haies ou des arbustes ;
  • la tondaison de la pelouse ;
  • le ramassage des légumes ou des fruits ;
  • la préparation du potager ;
  • l’enlèvement des feuilles mortes.

Cependant, les travaux complexes, qui doivent être accomplis par un jardinier professionnel, ne sont pas considérés comme un service à domicile. Ainsi, dans le cas où vous souhaitez créer un parc paysager, ou obtenir des prestations agricoles, un spécialiste doit s’en charger, et sa prestation ne sera pas assimilée à de l’aide à domicile.

Travaux de jardinage et crédit d’impôt : comment ça marche ?

Le crédit d’impôt est une réduction pratiquée sur l’impôt à payer. Dans le cas où le montant du crédit d’impôt est supérieur à celui de l’impôt lui-même, le contribuable pourra bénéficier d’un remboursement.

Le crédit d’impôt accordé pour le jardinage représente 50 % de la rémunération de l’aide à domicile qui a effectué les travaux. Par exemple, si vous avez versé au total 100 € de salaire et de cotisation sociale, 50 € pourront être déduits sur vos impôts dus, c’est-à-dire que vous paierez 50 € en moins sur vos prochains impôts sur les revenus. Le crédit d’impôt est plafonné à 5000 € par an.

Comptez entre 15€ et 30€ en moyenne de l'heure selon les prestataires, avec le crédit d'impôt. 

Pour bénéficier de ce crédit d’impôt, il faut remplir les conditions suivantes :

  • être résident en France, notamment sur le plan fiscal ;
  • embaucher un salarié à domicile recruté directement, via une association ou par l’intermédiaire d’une entreprise agréée ;
  • disposer de tous les justificatifs nécessaires concernant la rémunération du salarié à domicile pour les travaux de jardinage (factures, bulletins de salaire, CESU déclaratif).

Vous devez ensuite déclarer les dépenses réelles de jardinage sur le formulaire 2042 RICI. Dans le cas où vous ne pouvez pas fournir les justificatifs des dépenses, vous ne serez pas en mesure de bénéficier de la réduction d’impôt. Et si vous bénéficiez déjà d’aides pour les travaux à domicile, leur montant sera pris en compte, et viendra réduire les dépenses considérées pour le crédit d’impôt.

Les autres aides pour les travaux réalisés dans le jardin

Les personnes habitant un logement construit depuis plus de deux ans peuvent bénéficier d’un taux de TVA réduit pour les travaux de rénovation. Par exemple, si vous engagez un artisan pour installer une allée éclairée ou une clôture dans votre jardin, la TVA appliquée sera de 10 % au lieu des 20 % habituels. De même, si vous abattez ou élaguez des arbres en vue de travaux de rénovation, vous pouvez bénéficier de ce taux avantageux. Toutefois, la prestation doit être effectuée par un professionnel, qui se charge à la fois de la main-d’œuvre et des fournitures.

Pour les seniors, il est possible d’utiliser une partie de l’Allocation personnalisée d’autonomie (APA) pour financer les travaux de jardinage ou d’entretien du logement (intérieur et extérieur). En général, cette aide départementale est directement versée aux bénéficiaires maintenus à domicile. Les seniors peuvent également obtenir d’autres aides au niveau du département ou de la caisse de retraite pour les services à domicile, n’hésitez pas à vous renseigner auprès de l’organisme concerné.

 --> Vous avez un besoin d'aide au jardinage ? Notre Partenaire O2 vous accompagne

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Les chèques emploi service universel ou CESU permettent de déclarer en toute simplicité un salarié d’aide à domicile, ainsi que sa rémunération. Une solution idéale qui dispense les personnes âgées d’effectuer des démarches administratives éreintantes.
 

Les services concernés par le CESU

Le CESU est un dispositif de déclaration à l’usage des particuliers qui emploient un salarié pour des services d’aide à domicile. Plusieurs activités sont concernées, notamment :
  • la préparation des repas et des commissions, du ménage, du repassage ;
  • l’entretien de la maison, les petits travaux de bricolage et jardinage ;
  • l’assistance aux personnes âgées (sauf soins médicaux) ;
  • l’accompagnement d’une personne âgée ou handicapée.
Le CESU peut être utilisé pour des services ponctuels ou réguliers. Grâce à ce dispositif, le particulier employeur remplit en une seule fois toutes ses obligations, c’est-à-dire la déclaration de salaire à l’Urssaf et le calcul des cotisations sociales. Il n’a pas besoin d’établir un bulletin de salaire. Il peut même être dispensé d’établir un contrat de travail si le salarié à domicile travaille pour lui pour moins de 8h par semaine et à raison de 4 semaines d’affilée – ou moins – par an.

Comment déclarer et payer les services d’aide à domicile avec le CESU ?

 
Pour effectuer la déclaration CESU, le particulier employeur a le choix entre le « papier » et la déclaration en ligne.
 
Il doit d’abord effectuer son adhésion par Internet au centre national du Cesu. Il pourra ensuite se procurer le CESU déclaratif papier auprès du Centre national du CESU. La rémunération doit être majorée de 10 %, somme qui représente les congés payés.
 
Pour ceux qui préfèrent recourir à une procédure dématérialisé, ils doivent se rendre sur la page d’accueil du CESU-Urssaf, et suivre les indications pour la création d’un compte, qui servira pour effectuer les déclarations. Une fois la démarche effectuée, le montant des cotisations sociales à payer – et donc le montant total à prélever – sera immédiatement accessible. Par la suite, le bulletin de salaire est automatiquement envoyé au salarié au lendemain de la déclaration.
 
Pour le paiement, Le CESU peut se charger du prélèvement bancaire, et envoie à chaque fois un relevé détaillé. Ainsi, le compte de l’employeur doit toujours être dûment approvisionné, autrement il risque de subir des pénalités de retard.

 

CESU déclaratif et CESU préfinancé, quelle différence ? 

Différent du CESU déclaratif, le CESU préfinancé est un moyen de paiement permettant de rémunérer les services d’un salarié à domicile. Il s’agit de titres préfinancés par un employeur, un comité d’entreprise ou une collectivité territoriale. Le montant est prédéfini, et le particulier employeur qui bénéficie de ce CESU préfinancé peut le combiner avec d’autres moyens de paiement.
 
Si, par exemple, vous disposez d’un CESU préfinancé de 50 € par mois, et que le salaire de votre aide à domicile est de 100 € sur un mois, vous pouvez payer votre salarié en même temps à l’aide de ce titre CESU et d’un virement bancaire. Le paiement par CESU préfinancé est effectué à partir de chèques CESU. Le salarié chargé d’aide à domicile pourra alors l’encaisser auprès du Centre de remboursement CESU. Concernant la déclaration de salaire, le particulier pourra toujours l’effectuer par le biais du CESU déclaratif.
 

Quelques exceptions à connaître

Il convient de noter que certaines prestations réalisées à domicile ne peuvent être déclarées dans le cadre du CESU, à savoir :
  • les travaux de rénovation ;
  • les services d’une assistante maternelle agréée.
De même, si l’assistance d’un garde-malade est éligible au CESU, ce n’est pas le cas des soins de nature médicale. Enfin, les personnes handicapées peuvent déclarer par CESU la promenade et le soin de leur animal de compagnie, à l’exception du toilettage et des soins vétérinaires.
 

 

 

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Une aide à domicile est un confort non négligeable dans le quotidien de bon nombre d'entre vous. Enfants à garder, jardin à entretenir, ménage, repassage… Ne vous en privez pas, car vous avez droit à un crédit d'impôt ! Quels sont les métiers concernés par ce dispositif ? À combien peut s’élever ce crédit d’impôt ? Quelles sont les démarches à effectuer pour bénéficier de cet avantage fiscal ? Explications.

Qui est concerné et pour quels emplois ?

Tout le monde a droit au crédit d’impôt pour l’emploi d’un salarié à domicile. Salarié, demandeur d'emploi, retraité, propriétaire, locataire... peu importe votre statut, vous êtes éligible au crédit d'impôt.

La règle ?

  • que votre domiciliation fiscale se trouve en France ;
  • que le salarié exerce son activité à votre domicile.

Les emplois concernés doivent rentrer dans le cadre des activités d’aide à domicile et/ou d’aide ménagère dont la liste est détaillée dans l’article D7232-1 du Code de travail.

À combien peut s’élever le crédit d’impôt ?

Ce montant correspond à 50 % du montant total des salaires payés sur l’année dans la limite de 12 000 €.

 

Bon à savoir

Depuis janvier 2022, les particuliers employant un salarié à domicile peuvent bénéficier d'un service d'avance immédiate de crédit d'impôt s'ils ont recours à l'emploi direct d'un salarié à domicile. (source economie.gouv)

Ce plafond peut être majoré de 1 500 € dans la limite de 15 000 € si :

  • il y a un enfant à charge (la majoration descend à 750 € s’il s’agit d’une garde alternée) ;
  • l’employeur est âgé de plus de 65 ans (la majoration peut être multipliée par le nombre de personnes ayant plus de 65 ans dans le foyer fiscal) ;
  • l’employeur a des ascendants âgés de plus de 65 ans (1 500 € par ascendant).

Le plafond de 15 000 € peut également être majoré à 18 000 € dans le cas d’une première demande et à 20 000 € s’il y a une personne invalide ou bénéficiaire du complément d’allocation d’éducation spéciale de l’enfant handicapé au domicile.

À noter que les dépenses ne peuvent pas dépasser :

  • 3 000 € par an pour une assistance informatique ;
  • 500 € par an pour des travaux de bricolage de deux heures maximum ;
  • 5 000 € par an pour du jardinage.
Bon à savoir

À partir de 2023, le plafond de dépenses annuel "frais de garde d'enfants" est de 3 500 € soit 1750 € maximum de crédit d'impôt.

Quelles sont les démarches à entreprendre ?

Il suffit de reporter le montant des dépenses sur sa déclaration d’impôts (formulaire n° 2042 RICI) en déduisant les aides reçues pour cet emploi.

Les types d'exemple d'aide à domicile ouvrant droit à un crédit d'impôt 

Retraite.com a noué un partenariat avec O2, N°1 en France de l'aide à domicile pour vous aider à vous accompagner dans vos démarches.

L’un de vos proches rencontre des difficultés pour accomplir certains gestes du quotidien ? Nos auxiliaires de vie diplômés et/ou expérimentés de O2 les accompagnent à leur rythme, en tenant compte de leurs attentes, mais aussi de leurs possibilités et de leurs difficultés.

Quelles sont les missions qui peuvent être prises en compte pour une aide à domicile ouvrant droit à un crédit d'impôts ? 

- AIDER AUX ACTES DU QUOTIDIEN :

  • lever et coucher ;
  • habillage et déshabillage ;
  • toilette ;
  • élimination.

- AIDER POUR LES COURSES ET LES REPAS

  • se charger des courses ou aider à les faire ;
  • préparer les repas ou aider à les préparer ;
  • aider à la prise des repas.

- AIDER POUR L'ENTRETIEN DU DOMICILE

  • nettoyer et aérer le domicile ;
  • entretenir le linge ;
  • repasser le linge.

- ACCOMPAGNER À LA VIE SOCIALE

  • assurer une compagnie, rompre l'isolement ;
  • accompagner au bras pour les promenades ;
  • accompagner en voiture pour les sorties ;
  • aider à la prise de rendez-vous.

- ACCOMPAGNER À LA GESTION DES ANIMAUX

  • nourrir l'animal ;
  • changer la litière ;
  • accompagner au bras pour le promener.

 --> Faire une demande d'information sans engagement

 

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Les points d’informations locaux sont également appelés points d’information locaux dédiés aux personnes âgées ou encore centres locaux d'information et de coordination gérontologique (CLIC). Il s’agit de structures locales mises en place au niveau des départements et destinées à l’information et à l’accompagnement des seniors et de leurs proches dans le cadre de l’amélioration de l’assistance aux personnes âgées dans leur vie quotidienne. À noter qu’ils sont généralement gérés par les Centres communaux d’action sociale (CCAS).
 

À quoi servent les points d’information locaux ?

Les services des CLIC s’adressent aux personnes âgées qui souhaitent un accompagnement personnalisé dans leur vie de tous les jours, notamment à celles qui commencent à perdre leur autonomie. L’un des principaux objectifs de la mise en place de ces structures est d’optimiser le maintien à domicile des personnes âgées, tout en leur fournissant toute l’aide dont ils ont besoin au quotidien pour assurer leur bien-être moral, leur santé physique et leur confort.
 
Les proches des seniors qui ont besoin d’une assistance supplémentaire peuvent également se rapprocher des points d’information locaux. Ils y bénéficieront de conseils qui permettront de mieux organiser la vie de leurs parents âgés.

Les principales missions des points d’information locaux

Les points d’information locaux se présentent comme un guichet unique auprès duquel sont disponibles toutes les informations et tous les conseils relatifs aux démarches à accomplir en vue de venir en aide aux personnes âgées en perte d’autonomie. Si l’objectif est de permettre le maintien à domicile, dans certains cas, les conseillers peuvent préconiser l’intégration des personnes concernées au sein d’un établissement spécialisé adapté à son état.
Quoi qu’il en soit, les missions des CLIC incluent en résumé :
  • L’évaluation des besoins des personnes âgées (financiers, juridiques, médicaux, etc.) ;
  • La présentation des structures et des services destinés aux personnes âgées disponibles dans tout le territoire (services d’aide ou de soins infirmiers à domicile, EHPAD, accueils de jour ou temporaires, etc.) ;
  • L’aide à la réalisation des démarches pour l’obtention d’aides financières (APA ou allocation personnalisée d’autonomie, aide financière pour l’aménagement du logement par exemple) ;
  • L’organisation du planning des différents intervenants médicaux et sociaux dans l’assistance à la personne âgée ;
  • La définition des solutions les mieux adaptées aux besoins de chaque personne âgée à prendre en charge ;
  • La mise en place de services et activités qui peuvent aider les seniors à garder leur indépendance et à ne pas s’isoler (ateliers nutrition, mémoire, équilibre, loisirs divers, etc.) ;
  • Le conseil en cas de besoin de mise sous protection juridique.
Il est utile de préciser ici qu’en tant que lieu d’information, les CLIC sont également accessibles aux professionnels de la gérontologie et des professionnels dont les métiers consistent à prendre en charge les personnes âgées.

Une structure d’accompagnement personnalisé

Les points d’information locaux ont pour mission d’accueillir les personnes âgées ou leurs proches à la recherche d’informations et de solutions pour assurer aux seniors en perte d’autonomie une meilleure qualité de vie. Ce sont également des lieux d’écoute et de soutien.
 
En fonction de la taille de la zone qu’elles prennent en charge, le personnel de ces structures comprend au moins une personne dont le rôle sera d’identifier les besoins de chaque senior dont le cas lui est soumis, et de prodiguer des recommandations s’y rapportant. Un ou plusieurs coordonnateurs officient également au sein du centre ; leur rôle étant d’organiser des plans d’action de prise en charge des seniors par les intervenants sociaux et médicaux requis par sa situation.
 
Quand recourir aux CLIC ? Vous pouvez vous rapprocher d’un point d’information local avant de décider comment vous pouvez assurer la qualité de vie de vos proches âgés et en perte d’autonomie. Des solutions diverses vous seront proposées en fonction des besoins de la personne concernée et vous bénéficierez notamment d’une assistance personnalisée dans les différentes démarches nécessaires à leur mise en place.