La retraite en France, c'est un système :
Toute personne qui travaille est assurée de percevoir une pension de retraite. Il existe en France différents régimes organisés par catégorie professionnelle, les règles de calculs variant d'un régime à l'autre.
En France, la retraite est gérée par des organismes différents, selon le statut professionnel.
Depuis la réforme des retraites, on dénombre 37 régimes de retraite, contre 42 auparavant. En effet, 5 régimes spéciaux ont été supprimés depuis le 1er septembre 2023.
Selon que vous êtes salarié, exploitant agricole, commerçant, artisan, fonctionnaire, profession libérale, vous dépendez d'un régime de retraite spécifique.
La majorité des assurés cotisent automatiquement à deux caisses de retraite :
Chacune de ces deux caisses prélève des cotisations sur votre revenu. Quand vous arrivez à la retraite, chacune des deux vous verse alors une pension. Important : vous recevrez une pension de chacune des caisses à laquelle vous avez été affilié. Par exemple, si vous avez été salarié, puis artisan, vous recevrez quatre pensions : deux pensions de base et deux pensions complémentaires.
S'il existe de nombreux régimes de retraite, en revanche, la composition d'une retraite est identique pour tous. Celle-ci est constituée de 3 niveaux :
La retraite obligatoire ne représente pas l'intégralité de votre salaire, loin de là... Alors il vous faudra anticiper cette perte de revenus, plus ou moins grande selon votre situation. Comment ? En vous constituant ce que l'on appelle une retraite supplémentaire grâce à de l'épargne retraite.
On distingue deux grandes catégories :
Pour prendre sa retraite et donc « liquider sa pension », il est nécessaire de remplir 2 conditions :
Si l’une ou l’autre de ces 2 conditions n'est pas remplie, vous ne pourrez pas prétendre à une retraite à taux plein.
Notre outil de simulation retraite gratuit permet d’obtenir une première estimation du montant de votre pension retraite sans attendre de recevoir votre relevé de carrière et son Estimation Indicative Globale (EIG)
Le site Info retraite permet de faire des simulations retraite à tout âge à partir des données connues de vos régimes.
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La dernière réforme des retraites prévoit une hausse du plafond du minimum contributif. Ce relèvement du plafond du minimum contributif est applicable depuis le 1er février 2014.
Le 16 février 2014, le gouvernement a publié un décret au Journal officiel afin d’instaurer un dispositif qui prévoit une hausse de 81 euros, soit un relèvement de 7,8 %, sur le plafond du minimum contributif. Le montant du minimum contributif est donc porté à 1 120 euros par mois à compter du 1er février 2014, contre 1 039 euros par mois auparavant.
Cette nouvelle mesure qui a déjà été annoncée par le premier ministre Jean-Marc Ayrault le 27 août 2013 au moment de la présentation des grandes lignes du projet de réforme va augmenter le nombre de bénéficiaires du minimum contributif.
Il faut savoir que le minimum contributif permet aux assurés qui cotisent auprès du régime général (Caisse nationale d’assurance vieillesse) et des régimes alignés (RSI, MSA salariés, régimes des cultes) et qui ont atteint l’âge du taux plein (65 ans à 67 ans) de toucher une retraite minimum qui s’élève actuellement à 628,99 euros par mois. Si l’affilié a cumulé au moins 120 trimestres, il bénéficie d’une majoration et reçoit 687,32 euros par mois.
Le minimum contributif est accordé aux assurés qui perçoivent une pension totale inférieure au plafond de 1 120 euros à compter du 1er février 2014. Il faut savoir que ce dispositif non rétroactif n’est applicable qu’aux pensions liquidées à partir du 1er février 2014.
Le 14 février dernier, la CNAV a indiqué que 4,9 millions d’assurés bénéficiaient déjà du minimum contributif au 31 décembre 2013 : 71,35 % des bénéficiaires sont des femmes et 28,65 % sont des hommes.
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En cours, les retraites sont financées par les cotisations des actifs. C’est le principe du système par répartition. Mais cela s’avère plus compliqué dans les faits. Le problème qui se pose aujourd’hui, ce sont les cotisations des actifs qui ne financent plus que les deux tiers des pensions de retraite.
Les cotisations des actifs actuels paient les pensions de retraite des retraités actuels. Et que lorsque l’actif devient à son tour retraité, sa pension est financée par les cotisations des actifs nouveaux.
Or en 2011, il y avait 25.8 millions d’actifs pour 16.4 millions de retraités. Les cotisations des actifs n’ont pas suffit à financer la totalité des pensions des retraites. Mais seulement les deux tiers.
Il y a de plus en plus de retraités et de moins en moins d’actifs pour financer les pensions. Ce fait est du au papy boom. De plus, il y a l’allongement de l’espérance de vie, il y a de plus en plus de demandeurs d’emploi, et les demandeurs d’emploi ne cotisent pas. Par conséquent, le déficit du système des retraites augmente.
Il y a les taxes et les impôts. Ils financent un dixième des pensions. Ensuite une partie de la CSG sert à financer le Fonds de Solidarité Vieillesse. Le fonds de solidarité vieillesse bénéficie aussi des taxes qui sont prélevées sur les retraites des grands patrons et sur les salaires versés.
Avec retraite.com retrouvez toutes les informations sur le financement des retraites
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En principe, Pôle emploi décidera du maintien de vos droits aux allocations chômage en fonction :
Le versement de vos indemnités prend fin automatiquement lorsque vous avez rempli le nombre de trimestres nécessaires pour bénéficier d’une retraite à taux plein ou que vous avez atteint l’âge légal de départ à la retraite.
Même si vos droits ne sont pas épuisés, les versements cesseront la veille de l’âge auquel vous pouvez liquider votre retraite.
Il est possible de continuer à rester demandeur d’emploi et faire valoir les droits à l’allocation chômage sous certaines conditions, notamment pour ceux dont le nombre de trimestres pour une retraite à taux plein n’est pas encore atteint.
Pôle emploi se réserve le privilège d’étudier votre éligibilité suivant des critères bien définis, généralement avant que ne survient la fin des droits.
Le maintien du versement de l’allocation chômage permet en effet de combler les trimestres manquants (50 jours d’indemnisation vaut en principe un trimestre), et ce, jusqu’à 67 ans où le taux plein est appliqué automatiquement.
Ceux dont les indemnités sont plus élevées que les sommes perçues pour la retraite peuvent également opter pour cette solution.
Afin d’éviter les mauvaises surprises concernant les pénalités sur les droits Agirc-Arrco au moment de la liquidation, il est recommandé de vous faire conseiller par des spécialistes.
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Au plus fort de la crise sanitaire, des millions de salariés ont été mis au chômage partiel en raison du ralentissement de l’activité. Afin de ne pas les pénaliser, les périodes d’activité réduite subies entre le 1er mars et le 31 décembre 2020 sont comptabilisées pour la retraite. Les travailleurs concernés doivent néanmoins justifier d’un salaire suffisant.
La validation d’un trimestre de retraite au régime général est conditionnée à la perception d’un salaire équivalent à 150 fois le SMIC horaire minimum au cours de l’année. Par exemple, pour 2022, le montant brut soumis à cotisations s’élève à 1 585,5 €. Ainsi, le salarié qui touche 6342 € sur une année peut valider 4 trimestres.
La durée d’activité n’influe pas en matière de retraite. Le trimestre est validé tant que le montant est atteint, indépendamment de la période d’emploi. En conséquence, si le salarié a touché la somme minimale requise pour 2020 (6 150 €) en dépit d’une période de chômage partiel due à l’épidémie de covid-19, ses 4 trimestres cotisés sont acquis.
Néanmoins, en cas d’activité partielle, le trimestre ne peut être validé qu’en justifiant de 220 heures indemnisées. Ainsi, pour valider 4 trimestres, le travailleur doit avoir touché 880 heures d’allocation d’activité partielle au minimum. Ce dispositif entre en considération si les critères ne sont pas remplis en additionnant l’activité sur l’année et les périodes d’arrêt maladie ou de chômage. Ainsi, avec seulement 3 trimestres validés en raison de la baisse d’activité, le contingent de 220 heures d’allocation chômage partiel vient compléter les droits au titre du trimestre manquant.
De la même façon, le salarié qui a bénéficié dans l’année d’une allocation de retour à l’emploi sur 50 jours ou plus, consécutifs ou non, a droit à un trimestre de plus. Un total de 200 jours de chômage sur l’année permet d’obtenir 4 trimestres de plus. Autre possibilité, une activité salariée rémunérée 1537,50 € bruts au minimum sur l’année additionnée à 150 jours de chômage après une période de chômage partiel est éligible à 4 trimestres de retraite, et ce sans faire jouer le dispositif de la validation des trimestres pour activité réduite.
Avant la pandémie, l’Agirc-Arrco a modifié ses règles d’octroi de points de retraite complémentaire sans obligation de cotisation. Ainsi, à compter de la 61e heure indemnisée au titre des périodes d’activité dans l’année, des points supplémentaires sont attribués. Leur nombre est calculé sur la base du salaire perdu en activité partielle, en tenant compte des rémunérations versées pour la période travaillée dans l’année. Ces règles s’appliquent également si vous avez été pendant la crise de 2020. Ces dispositions concernent également les salariés ayant mis au chômage partiel en 2020.
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C’est un sujet de préoccupation majeure pour les personnes au chômage proches de la retraite, mais qui n’ont pas rempli les conditions requises pour obtenir une retraite à taux plein. En effet, la question se pose de savoir si les séniors au chômage peuvent prétendre à une retraite à taux plein. À titre de rappel, celle-ci est accordée lorsque le travailleur a validé le nombre de trimestres requis. Le vide juridique autour de ce sujet place les personnes concernées dans l’incertitude. Heureusement, un dispositif spécial leur permet de bénéficier d’allocations chômage jusqu’à l’âge de la retraite à temps plein.
Pour pouvoir continuer à bénéficier des indemnités versées par Pôle Emploi, le sénior en fin de carrière doit remplir un certain nombre de conditions.
En principe, les indemnités continuent d’être versées jusqu’à ce que le nombre de trimestres requis pour une retraite à taux plein soit atteint. Toutefois, il peut arriver que les droits d’indemnités de la personne soient épuisés. Pour ce cas de figure, il sera nécessaire de reprendre une activité salariée, même à temps partiel, pour poursuivre l’indemnisation.
Les démarches à entreprendre pour percevoir les allocations chômage s’effectuent auprès du Pôle Emploi de sa région.
Cet organisme adresse un formulaire à remplir à la personne concernée, deux mois avant l’épuisement de ses droits.
De même, les versements cesseront automatiquement dès lors que la personne a atteint l’âge de la retraite à taux plein automatique, c’est-à-dire 67 ans.
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La liquidation de la retraite à 62 ans n’est pas obligatoire pour les demandeurs d’emploi. En France, un demandeur d’emploi sur quatre a plus de 50 ans. La difficulté à retrouver du travail pour les seniors explique le nombre élevé de chômeurs encore indemnisés par Pôle emploi lorsqu’elles atteignent l’âge légal de départ à la retraite. La liquidation des droits est conditionnée au nombre de trimestres validés. Deux cas de figure peuvent se présenter.
Si l’allocataire arrive à 62 ans en ayant validé tous les trimestres requis pour une retraite à taux plein, l’indemnisation de Pôle emploi cesse automatiquement, même dans le cas où les droits ne sont pas épuisés. La pension n’est cependant versée que le 1er jour du mois suivant celui où le bénéficiaire remplit les conditions d’âge (par exemple le 1er septembre si ce dernier fête son soixante-deuxième anniversaire au cours du mois d’août). Par conséquent, les versements de Pôle Emploi se poursuivent jusqu’à la veille de cette date (soit le 31 août) s’il lui reste des droits.
Il est à noter que la liquidation de la retraite dès l’atteinte du nombre de trimestres pour le taux plein entraîne l’application par l’Agirc-Arrco d’une pénalité de 10 % sur les droits pendant 3 ans.
Si les conditions nécessaires au bénéfice d’une retraite à taux plein ne sont pas remplies à 62 ans, Pôle emploi continue de verser l’allocation chômage. Cette indemnisation peut être maintenue après l’expiration du délai de 3 ans initialement prévu si :
À partir de 62 ans, si Pôle Emploi décrète l’éligibilité du demandeur d’emploi au maintien de ses droits, l’indemnisation continue jusqu’à ce que le nombre total de trimestres pour une retraite à taux plein soit atteint. Le versement des allocations est possible jusqu’à 67 ans, âge auquel l’acquisition du taux plein est automatique.
En revanche, si l’inscription à Pôle Emploi intervient à la veille des 59 ans du travailleur, l’indemnisation cesse avant ses 62 ans. Non seulement il n’est pas éligible au maintien des droits, mais il est privé d’allocation pendant une certaine période de chômage s’il ne peut pas prétendre à l’allocation de solidarité spécifique (ASS). Pour l’éviter, il est recommandé de trouver une activité, même ponctuelle, jusqu’à ses 62 ans.
En cas de possibilité de maintien de l’indemnisation au-delà de 62 ans, une petite comparaison s’impose entre Pôle Emploi et la retraite.
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Les règles appliquées aux périodes non-indemnisées situées avant 1980 sont différentes de celles ayant eu lieu à partir du 1e janvier de cette même année. En effet, chaque période de chômage antérieure à 1980 permet la validation de trimestres pour la retraite dont le nombre est limité à 4 par an.
Pour les périodes survenues après 1980 en revanche, celles prises en compte sont :
Dans le cas d’un chômeur ayant 55 ans ou plus à la suspension de ses allocations et ayant cotisé au moins 20 ans à un régime de base, ses périodes de chômage sont comptabilisées dans la limite de 5 ans, soit 20 trimestres maximum.
Source : L'assurance retraite
Pour conclure, les assurés ont la possibilité de consulter à tout moment leur relevé de carrière afin de vérifier leurs périodes de chômage.
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De plus en plus de seniors en fin de carrière se retrouvent au chômage et ne cotisent pas suffisamment pour toucher une retraite à taux plein. Les ouvriers eu qualifiés sont les plus touchés par ce phénomène.
Si les réformes successives opérées au cours de ces dernières années ne cessent de repousser l’âge de départ et l’accès à la retraite à taux plein (allongement de la durée de cotisation),le rapport sur « les métiers en 2022 » donne des détails sur l’âge moyen à laquelle les ouvriers et les employés quittent leur dernier emploi.
En général, ces départs prématurés ne sont pas souhaités par les assurés. Ces derniers ont du mal à trouver un nouvel emploi et finissent par atteindre l’âge de départ en retraite sans disposer du nombre de trimestres requis pour liquider leurs droits au taux plein correspondant à leur âge.
Le rapport sur « les métiers en 2022 », reçu par le gouvernement le 28 avril dernier, donne de nombreuses indications sur les conditions dans lesquelles de nombreux actifs finissent leur carrière professionnelle. Au cours de ces dernières années, l’âge moyen auquel les ouvriers peu qualifiés sortaient de la vie active était de 57,3 ans.
Cependant, cette moyenne ne révèle pas les grandes disparités suivantes : 40 % de ces assurés touchaient une pension de retraite au moment de leur départ et étaient nettement plus âgés par rapport à cette moyenne. 22 % d’entre eux sont partis à cause de leur état de santé et ils ont quitté leur emploi bien avant l’âge moyen de 57,3 ans. En revanche, 38 des ouvriers peu qualifiés étaient au chômage et n’avaient plus la possibilité de rechercher du travail après avoir quitté leur dernier poste : ces derniers sont partis aux environs de 57,3 ans.
Les ouvriers qualifiés, quant à eux, n’ont quitté leur dernier emploi qu’à l’âge moyen de 58,1 ans et 64 % d’entre eux étaient mis à la retraite à un âge plus élevé que cette moyenne. L’âge auquel les employés quittaient leur dernier emploi était similaire à celui des ouvriers qualifiés. Par contre, l’âge moyen de départ de l’entreprise était de 59,9 ans pour les cadres et 67 % d’entre eux étaient en âge de prendre la retraite.
Si le document n’évoque pas le déficit occasionné par ces départs prématurés et forcés de l’entreprise (maladie ou chômage), mais il faut comprendre que les droits à pension de ces assurés sont considérablement réduits.
D’après ce rapport, voici la liste des métiers les plus concernés par les départs en fin de carrière pour des raisons de santé ou inaptitude : les conducteurs d’engins dans le BTP (31 %), les aides ménagères (28 %), les cuisiniers (26 %), les ouvriers non qualifiés de la mécanique, les employés (25 %), les agents de maîtrise de l’hôtellerie (25 %), les aides-soignants (24 %), les employés de la banque et des assurances (23 %) et les caissières des supermarchés (21 %). Les caissières s’en vont à l’âge moyen de 57,7 ans contre 59 ans pour les vendeurs de rayons.
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Les actifs de plus de 50 ans sont de plus en plus nombreux à être au chômage. Découvrez les chiffres exacts à travers les statistiques de la Dares et de Pôle emploi.
Le nombre de seniors inscrits à Pôle emploi dans la catégorie A s’élève actuellement à 828 900, après une hausse mensuelle de +0,7 % et une augmentation annuelle de +9,1 %. La Direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques (Dares) a publié ces chiffres le 25 mars dernier. Cette tendance à la hausse dure depuis 2014 et s’est poursuivie au cours du premier trimestre de l’année 2015.
Il faut noter qu’au mois de janvier 2015, une petite période de stabilité a été constatée : en effet, le taux de chômage des seniors n’a augmenté que de +0,1 % et le nombre d’actifs de plus de 50 ans s’est établi à 823 400 (janvier 2015).
Au cours de la même période, la hausse annuelle du taux de chômage des seniors est très élevée par rapport à celle des autres catégories d’actifs : +0,1 % pour les jeunes actifs de moins de 25 ans et +4,1 % pour les travailleurs âgés de 25 ans à 49 ans.
D’après les chiffres publiés par la Dares, les hommes âgés de plus de 50 ans sont plus nombreux à être au chômage par rapport aux femmes de la même catégorie. En effet, leur nombre a augmenté de +0,8 % et s’est établi à 440 800, contre +0,5 % et 388 100 du côté des femmes de plus de 50 ans. Le nombre total de chômeurs inscrits à Pôle emploi dans la catégorie A serait actuellement de 3,494 millions, soit une hausse de +0,4 % en un mois.
Pôle emploi a également publié des chiffres qui indiquent que le nombre de chômeurs seniors toutes catégories confondus (A, B et C) a progressé de +9,9 % et s’élève à 1,18 million. En revanche, la hausse est plus marquée pour les jeunes actifs de moins de 25 ans et ceux qui ont entre 25 ans et 49 ans : en l’espace d’une année, le taux de chômage a haussé respectivement de 3 % et de 6,2 %.
Par ailleurs, la durée de la période de chômage a aussi augmenté de trois jours pour les chômeurs de plus de 50 ans et s’établit aujourd’hui à 531 jours. Il faut savoir que l'allongement de la durée de chômage est de 71 jours sur une année. À titre de comparaison, la moyenne nationale de la durée de la période de chômage est de 289 jours.
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À partir du 1er janvier 2015, les chômeurs âgés de 60 ans à 62 ans qui perçoivent l’allocation spécifique de solidarité pourront bénéficier d’un contrat financé par l’État.
Le 6 novembre dernier, le président François Hollande a déclaré lors d’une intervention diffusée sur TF1 et RTL pour réaliser le bilan à son mi-mandat, qu’un contrat aidé réservé aux chômeurs de 60 ans à 62 ans ne justifiant pas du nombre de trimestres nécessaires pour liquider leurs droits à la retraite sera créé.
Il a rappelé que les chômeurs qui disposent de la durée de cotisation requise pour le taux plein, mais qui n’ont pas encore atteint l’âge légal de départ en retraite, touchent déjà une allocation. Il faut noter que le décret qui étend l’allocation transitoire de solidarité (ATS) aux chômeurs en fin de droits nés en 1953 a été signé par l’ancien premier ministre Jean-Marc Ayrault le 5 mars 2013.
Le contrat aidé est présenté sous forme d’un contrat de travail au sein d’une société ou d’une collectivité locale. Ce contrat, destiné aux seniors de 60 ans à 62 ans et touchant une allocation spécifique de solidarité (ASS), est financé par l’État.
Il faut noter que l’ASS est versée sous certaines conditions : le bénéficiaire doit avoir au moins 40 ans, ses droits au chômage et à la formation doivent être épuisés, il doit être valide et le montant de ses revenus ne doit pas excéder 1 288,80 euros par mois pour une personne seule et 1 772,10 euros par mois pour un couple. Le président de la République n’a pas indiqué le nom de cette nouvelle mesure et il n’a pas donné le nombre de bénéficiaires.
Le président Hollande projette d’inviter les entreprises à recruter les seniors en priorité dans le cadre du pacte de compétitivité. Cette initiative découle sans doute du constat de la hausse du taux de chômage chez les plus de 50 ans. En effet, depuis le début de son mandat, le taux de chômage a augmenté de 11 % et le nombre de chômeurs séniors s’élève à 802 400 (chiffre officiel du 24 octobre 2014). Actuellement, 48,1 % des seniors seulement sont encore actifs en France.
Lors de cette intervention sur TF1, François Hollande a reconnu que les objectifs fixés dans le cadre du contrat de génération n’ont pas été atteints, alors qu’il s’agit de l’un des dispositifs phares de son programme au moment de l’élection présidentielle. Cette mesure prévoit une aide de 8 000 euros aux entreprises qui emploient un senior ayant au moins 55 ans et qui embauchent en même temps un jeune de moins de 26 ans en contrat à durée indéterminée. Jusqu’à présent, 31 000 contrats de génération ont été signés alors que l’objectif annuel a été fixé à 75 000.
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Le statut d’apprenti sera-t-il avantageux pour les seniors à la recherche d’emploi ? Il s’agit d’une proposition du président François Hollande dans le but de réduire le taux de chômage des seniors
Le lundi 28 avril 2014, le président François Hollande a fait une proposition : les personnes qui se retrouvent au chômage pendant une longue durée devraient pouvoir accéder au statut d’apprenti. Cette nouvelle disposition va-t-elle permettre aux seniors à la recherche d’un emploi de trouver un nouveau travail ?
Une économiste du Centre d’études de l’emploi a estimé qu’il s’agit d’une avancée dans la mesure où il n’y a plus de seuil d’âge pour bénéficier du statut d’apprenti.
La proposition du président de la République va améliorer l’accès à la formation des personnes sans emploi. Cette spécialiste a précisé qu’actuellement, seulement 20 % des chômeurs peuvent bénéficier d’une formation.
Par ailleurs, les personnes au chômage pourront accéder à des postes vacants dans des secteurs d’activités où les postulants qualifiés sont rares ou même inexistants (boucher, métiers de bouche dans l’artisanat).
Comme l’apprentissage a toujours été réservé aux jeunes actifs âgés de 16 ans à 25 ans, la rémunération varie de 25 % à 78 % du SMIC. Lorsque les seniors au chômage accèdent au statut d’apprenti, ils pourront par exemple continuer de percevoir leur indemnité de chômage. Cependant, il faut noter que ces allocations peuvent être très faibles et de nombreux demandeurs d’emploi n’y ont même pas droit.
Il faut également savoir que les contrats d’apprentissage ne sont pas nombreux sur le marché du travail. Ainsi, les seniors pourraient devenir des concurrents pour les jeunes actifs à la recherche d’une première expérience concluante.
Les autorités compétentes devraient apporter des précisions sur l’articulation de cette nouveauté avec les dispositifs applicables en cas de reconversions : Convention de Reclassement Personnalisé (CRP) et Convention de Transition Professionnelle.
L’application de la version améliorée du contrat de génération a été retardée par les hésitations des chefs d’entreprises employant de 50 à moins de 300 salariés. Un accord ou un plan d’action avec ces entreprises devrait être établi d’ici mars 2015. Deux petits bémols : le dispositif ne concerne pas les "sans-emploi" de moins de 55 ans et ne considère pas les caractéristiques du travail.
À partir du 1er janvier 2015, les chômeurs âgés de 60 ans à 62 ans qui perçoivent l’allocation spécifique de solidarité pourront bénéficier d’un contrat financé par l’État.
Découvrez les informations suivantes sur retraite.com pour mieux comprendre le contrat aidé proposé aux chômeurs de 60 ans à 62 ans
Le 6 novembre dernier, le président François Hollande a déclaré lors d’une intervention diffusée sur TF1 et RTL pour réaliser le bilan à son mi-mandat, qu’un contrat aidé réservé aux chômeurs de 60 ans à 62 ans ne justifiant pas du nombre de trimestres nécessaires pour liquider leurs droits à la retraite sera créé.
Il a rappelé que les chômeurs qui disposent de la durée de cotisation requise pour le taux plein, mais qui n’ont pas encore atteint l’âge légal de départ en retraite, touchent déjà une allocation. Il faut noter que le décret qui étend l’allocation transitoire de solidarité (ATS) aux chômeurs en fin de droits nés en 1953 a été signé par l’ancien premier ministre Jean-Marc Ayrault le 5 mars 2013.
Le contrat aidé est présenté sous forme d’un contrat de travail au sein d’une société ou d’une collectivité locale. Ce contrat, destiné aux seniors de 60 ans à 62 ans et touchant une allocation spécifique de solidarité (ASS), est financé par l’État.
Il faut noter que l’ASS est versée sous certaines conditions : le bénéficiaire doit avoir au moins 40 ans, ses droits au chômage et à la formation doivent être épuisés, il doit être valide et le montant de ses revenus ne doit pas excéder 1 288,80 euros par mois pour une personne seule et 1 772,10 euros par mois pour un couple. Le président de la République n’a pas indiqué le nom de cette nouvelle mesure et il n’a pas donné le nombre de bénéficiaires.
Le président Hollande projette d’inviter les entreprises à recruter les seniors en priorité dans le cadre du pacte de compétitivité. Cette initiative découle sans doute du constat de la hausse du taux de chômage chez les plus de 50 ans. En effet, depuis le début de son mandat, le taux de chômage a augmenté de 11 % et le nombre de chômeurs séniors s’élève à 802 400 (chiffre officiel du 24 octobre 2014). Actuellement, 48,1 % des seniors seulement sont encore actifs en France.
Lors de cette intervention sur TF1, François Hollande a reconnu que les objectifs fixés dans le cadre du contrat de génération n’ont pas été atteints, alors qu’il s’agit de l’un des dispositifs phares de son programme au moment de l’élection présidentielle. Cette mesure prévoit une aide de 8 000 euros aux entreprises qui emploient un senior ayant au moins 55 ans et qui embauchent en même temps un jeune de moins de 26 ans en contrat à durée indéterminée. Jusqu’à présent, 31 000 contrats de génération ont été signés alors que l’objectif annuel a été fixé à 75 000.
Les actifs de plus de 50 ans sont de plus en plus nombreux à être au chômage. Découvrez les chiffres exacts à travers les statistiques de la Dares et de Pôle emploi.
Retraite.com vous informe sur la hausse annuelle du taux de chômage des seniors
Le nombre de seniors inscrits à Pôle emploi dans la catégorie A s’élève actuellement à 828 900, après une hausse mensuelle de +0,7 % et une augmentation annuelle de +9,1 %. La Direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques (Dares) a publié ces chiffres le 25 mars dernier. Cette tendance à la hausse dure depuis 2014 et s’est poursuivie au cours du premier trimestre de l’année 2015.
Il faut noter qu’au mois de janvier 2015, une petite période de stabilité a été constatée : en effet, le taux de chômage des seniors n’a augmenté que de +0,1 % et le nombre d’actifs de plus de 50 ans s’est établi à 823 400 (janvier 2015).
Au cours de la même période, la hausse annuelle du taux de chômage des seniors est très élevée par rapport à celle des autres catégories d’actifs : +0,1 % pour les jeunes actifs de moins de 25 ans et +4,1 % pour les travailleurs âgés de 25 ans à 49 ans.
D’après les chiffres publiés par la Dares, les hommes âgés de plus de 50 ans sont plus nombreux à être au chômage par rapport aux femmes de la même catégorie. En effet, leur nombre a augmenté de +0,8 % et s’est établi à 440 800, contre +0,5 % et 388 100 du côté des femmes de plus de 50 ans. Le nombre total de chômeurs inscrits à Pôle emploi dans la catégorie A serait actuellement de 3,494 millions, soit une hausse de +0,4 % en un mois.
Pôle emploi a également publié des chiffres qui indiquent que le nombre de chômeurs seniors toutes catégories confondus (A, B et C) a progressé de +9,9 % et s’élève à 1,18 million. En revanche, la hausse est plus marquée pour les jeunes actifs de moins de 25 ans et ceux qui ont entre 25 ans et 49 ans : en l’espace d’une année, le taux de chômage a haussé respectivement de 3 % et de 6,2 %.
Par ailleurs, la durée de la période de chômage a aussi augmenté de trois jours pour les chômeurs de plus de 50 ans et s’établit aujourd’hui à 531 jours. Il faut savoir que l'allongement de la durée de chômage est de 71 jours sur une année. À titre de comparaison, la moyenne nationale de la durée de la période de chômage est de 289 jours.
Par le
Situation familiale | Revenus | Montant de l’Asi | |
Personne seule | Inférieures ou égales à 299,43 € par mois soit 3 593,21 € par an | 405,38 € par mois soit 4 864,56 € par an | |
Comprises entre 3 593,21 € et 8 457,76 € par an | Différence entre 8 457,76 € et le montant annuel des ressources | ||
Couple marié | Un bénéficiaire | Inférieures ou égales à 829,15 € par mois soit 9 949,82 € par an | 405,38 € par mois soit 4 864,56 € par an |
Comprises entre 9 949,82 € et 14 814,38 € par an | Différence entre 14 814,38 € et le montant annuel des ressources du couple | ||
Deux bénéficiaires | Inférieures ou égales à 565,59 € par mois soit 6 787,10 € par an | 668,93 € par mois soit 8 027,27 € par an | |
Comprises entre 6 787,10 € et 14 814,38 € par an | Différence entre 14 814,38 € et le montant annuel des ressources du couple | ||
Couple pacsé ou concubins | Un bénéficiaire | Inférieures ou égales à 829,15 € par mois soit 9 949,82 € par an | 405,38 € par mois soit 4 864,56 € par an |
Comprises entre 9 949,82 € et 14 814,38 € par an | Différence entre 14 814,38 € et le montant annuel des ressources du couple | ||
Deux bénéficiaires | Inférieures ou égales à 565,59 € par mois soit 6 787,10 € par an | 810,76 € par mois soit 9 729,12 € par an | |
Comprises entre 6 787,10 € et 14 814,38 € par an | Différence entre 14 814,38 € et le montant annuel des ressources du couple |
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Droits des travailleurs en matière de formation, obligations de l’entreprise, financement des formations… découvrez dans cet article les clefs pour comprendre le compte professionnel de formation.
Tout individu a le droit de se former pour acquérir de nouvelles compétences/connaissances utiles à l’évolution de sa carrière.
Ce droit intangible inscrit dans le Code du travail est matérialisé par le Compte professionnel de formation (CPF), dispositif permettant de financer son projet de formation tout au long de sa vie professionnelle.
Particulièrement inclusif, le CPF concerne un vaste panel de travailleurs : du jeune en apprentissage de plus de 15 ans au sénior expérimenté, en passant par les demandeurs d’emploi et les personnes en situation de handicap. Comment fonctionne concrètement le CPF ?
Dans le cadre du CPF, le bénéficiaire peut mobiliser des crédits en euro (montant annuel plafonné) pour financer tout ou partie de sa formation. Celle-ci doit rentrer dans la catégorie des actions de formation éligibles au CPF (Excel, Management, Design....)
L’une des particularités du droit à la formation est qu’il peut être opposé à l’employeur. Autrement dit, l’entreprise ne peut ni empêcher un salarié de se prévaloir de son droit ni imposer une formation qui n’a pas obtenu l’assentiment de l’intéressé.
Quelques points importants à savoir :
Si les dispositions du Code du travail concernant le droit à la formation sont particulièrement protectrices envers les travailleurs, c’est pour permettre d’accompagner leur montée en compétences dans les meilleures conditions.
Les entreprises elles-mêmes participent à cette démarche de formation continue au moyen de contribution financière importante.
Important : Le CPF ouvre droit à 500 euros de crédit par an pour financer une action de formation.
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DANS LE CADRE DE VOTRE FORMATION CPF 100% FINANCE PAR L’ÉTAT, L’INSTITUT FRANÇAIS DE FORMATION EN PARTENARIAT AVEC RETRAITE.COM A LE PLAISIR DE VOUS PROPOSER A PRÉSENT DE NOUVELLES FORMATIONS DIPLÔMANTE ET PROFESSIONNALISANTES
Pour rappel, depuis le 1er janvier 2019, dans le cadre de la loi pour la Liberté de choisir son avenir professionnel, le CPF est crédité en euros et non plus en heures. Chaque personne dispose, sur le site officiel moncompteformation.gouv.fr d’un espace personnel sécurisé lui permettant de s’identifier sur son Compte personnel de formation (CPF).
Afin de préparer au mieux le RDV, Retraite.com met à votre disposition quelques éléments pour vous informer sur vos droits
Grâce à cette formation vous apprendrez à réaliser, améliorer et animer des sites web.
Vous apprendrez également à intégrer des pages web, adapter des systèmes de gestion de contenus, optimiser en continu un site web ou une interface
Grâce à cette formation vous apprendrez à réaliser des supports de communication, mettre en page des documents simples, mettre en page des documents élaborés, contrôler la conformité du produit et vérifier la livraison.
Grâce à cette formation vous apprendrez à Intervenir sur les éléments de l'infrastructure, intervenir sur un équipement réseau, intervenir sur un annuaire réseau de type Active Directory, installer et configurer un service réseau pour une TPE ou un particulier.
Grâce à cette formation vous apprendrez à représenter les ouvrages à l'aide d'un logiciel 3D et établir une demande de permis de construire, réaliser des assemblages robustes et intelligents en CAO, modifier des systèmes mécaniques en utilisant des outils CAO, intégrer des composants technologiques dans la conception d'ensembles mécaniques, générer des dessins industriels en mécaniques.
Grâce à cette formation vous apprendrez à assister une équipe dans la communication des informations et l'organisation des activités, produire des documents professionnels courants, communiquer des informations par écrit, assurer la traçabilité et la conservation des informations, accueillir un visiteur et transmettre des informations oralement, planifier et organiser les activités de l’équipe.
Grâce à cette formation vous apprendrez à Concevoir et développer une application multicouche répartie en intégrant les recommandations de sécurité, concevoir une application, développer des composants métier, construire une application organisée en couches, développer une application mobile, préparer et exécuter les plans de tests d’une application, préparer et exécuter le déploiement d’une application.
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Afin de pallier à l'iilectronisme et accéder à des formations continue en ligne, notre partenaire l'Institut Français de Formation vous offre votre ordinateur ou votre tablette tactile, sous certaines conditions*, pour mener à bien votre formation en ligne. La formation professionnelle est eligible à tous les salariés et 100% gratuite.
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Savez-vous que grâce à votre budget cotisé tout au long de vos années de travail vos formations sur différentes thématiques disponible sont financées à 100% ?
Pour rappel, depuis le 1er janvier 2019, dans le cadre de la loi pour la Liberté de choisir son avenir professionnel, le CPF est crédité en euros et non plus en heures. Chaque personne dispose, sur le site officiel moncompteformation.gouv.fr d’un espace personnel sécurisé lui permettant de s’identifier sur son Compte personnel de formation (CPF).
Afin de préparer au mieux le RDV, Retraite.com met à votre disposition quelques éléments pour vous informer sur vos droits :
Il s'agit d'un budget que vous avez cotisez et ce depuis votre entrée dans le monde du travail. Il est réservé exclusivement à la formation continue.
Ce budget vous permet d'acquérir de nouvelles compétences dans différents domaines que ce soit une nouvelle langue (Anglais, Espagnol...) , dans la bureautique (Word, Excel, PowerPoint...), le design (Indesign..) ou autre.
Selon l'article L. 6323-1 du code de l'action sociale et des familles : “Le compte de formation personnel est fermé lorsque la personne est admise à faire valoir l'ensemble de ses droits à la retraite”.
Le budget CPF reste donc valide jusqu'à 5 ans suivant la date de retraite du particulier. Passé cette période de 5 ans, il sera supprimé et non utilisable.
Si vous ne possedez pas à titre personnel d'ordinateur ou de tablette pour mener votre formation continue en ligne, l'Institut Français de la Formation a le plaisir de vous offrir, sous certaines conditions * un outil numérique (ordinateur portable ou tablette tactile) pour mener à bien votre formation continue.
L'équipe de l’Institut Français de Formation, partenaire de Retraite.com se fera un plaisir de vous assister aux mieux dans vos démarches.
* Conditions de l'offre : Tablette ou ordinateur portable offert sur attestation : Le stagiaire atteste sur l'honneur ne disposer d'aucun ordinateur personnel pour accéder à leur formation Elearning et que donc l'ordinateur ou la tablette est nécessaire afin de rendre accessible la formation. Modèles offerts : Tablette: Archos T70 WIFI ou Ordinateur: Archos 140 Cesium.
Par le
Il s’agit d’une aide financière, mise en place par la région Hauts-de-France sous forme d’un abondement afin d’aider à la reconvertion des demandeurs d’emploi.
Ainsi, pour les résidents des Hauts de France inscrit à pôle emploi, en recherche d’un poste, à temps partiel ou en contrat aidé, la région viendra completer le compte CPF (Compte Professionnel de Formation) d’une enveloppe financière supplémentaire sous forme d’abondement pour apporter un budget formation plus élevé.
Pour être éligibles, les bénéficiaire en recherche d’emploi ou assimilé doivent disposer d'au moins 250 euros de droits ouverts, la Région ajoutant une enveloppe allant jusqu'à 5.000 euros.
Vous n’avez aucune procédure administative à faire ! Dès lors que vous avez trouvé la formation qui correspond, votre conseiller formation vous accompagnera pour vous faire bénéficier de cette enveloppe supplementaire.
Pour contacter un conseiller CPF et vérifier votre éligibilité, cliquez ici
Très facile, ce dispositif a montré son efficacité depuis le début de l'année avec près de 3000 bénéficiaires qui ont bénéficié d’une aide moyenne de 2.000 euros.
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Rappel sur le CPF : Le compte permet à toute personne active, dès son entrée sur le marché du travail et jusqu’à la date à laquelle elle fait valoir l’ensemble de ses droits à la retraite, d’acquérir des droits à la formation mobilisables tout au long de sa vie professionnelle.
Votre formation en anglais peut ainsi être financée à 100 % grâce à votre compte CPF sans avoir à débourser 1 €.
Reflex English Grammar et Reflex English Vocabulary est une série de ressources pédagogiques dédiées dédiées à la révision, la consolidation et l'apprentissage intensif de la grammaire et du vocabulaire en anglais.
Chaque niveau comprend 20 leçons avec une multitude d'exercices interactifs, vous permettant de réviser plus de 40 règles de grammaire et phrases de termes lexicaux.
Composée de 2 niveaux chacun, la solution s'adresse aux débutants/faux débutants (A1/A2) et pré- niveau intermédiaire/intermédiaire
(B1/B2) et conforme aux exigences du CECR (Cadre Européen de Communication de Référence).
Le stagiaire aura à sa disposition une plateforme pour suivre totalement à distance (en E-learning) sa formation. Les modules se présentent sous forme de vidéos d’apprentissage déjà prêtes avec un système d’évaluations sous forme de QCM à la fin de chaque notion importante de la formation.
La formation se passant entièrement à distance/visio, le stagiaire va être en apprentissage semi-autonome, c’est-à-dire qu’il va pouvoir apprendre de façon autonome, cependant un formateur reste disponible pour lui via un système d’échange de message disponible directement sur sa plateforme de formation.
Avant même le commencement de la formation le stagiaire passera une évaluation de préformation sous forme de QCM, puis une fois la formation terminée il passera la même évaluation post-formation, également sous forme de QCM afin d'observer la progression du stagiaire.
Ces évaluations vont permettre au stagiaire d’observer l’efficacité de son
apprentissage, mais aussi vérifier si les connaissances ont bien été acquises.
I. Reflex English |
II. Reflex English |
|||
Lesson 1 |
Spelling |
Lesson 1 |
The future using present simple and continuous |
|
Lesson 2 |
The verb to be |
Lesson 2 |
The future using going to, will and present perfect |
|
Lesson 3 |
Have / Have got |
Lesson 3 |
Past continuous vs. simple past |
|
Lesson 4 |
Personal pronouns |
Lesson 4 |
Past perfect -Formation and use |
|
Lesson 5 |
The auxiliary do / does |
Lesson 5 |
Present perfect continuous -Formation and use |
|
Lesson 6 |
Plurals |
Lesson 6 |
Future continuous |
|
Lesson 7 |
There is / there are |
Lesson 7 |
Expressions with 'used to' and 'would' |
|
Lesson 8 |
Simple present tense |
Lesson 8 |
1st, 2nd and 3rd conditionals |
|
Lesson 9 |
Present continuous tense |
Lesson 9 |
Reported speech |
|
Lesson 10 |
Simple past tense |
Lesson 10 |
Wishes in the present |
|
Lesson 11 |
Going to |
Lesson 11 |
Wishes in the past |
|
Lesson 12 |
Simple future with will |
Lesson 12 |
The passive voice |
|
Lesson 13 |
Present perfect tense |
Lesson 13 |
Have done -Make do |
|
Lesson 14 |
Wh-questions |
Lesson 14 |
Modals |
|
Lesson 15 |
Possessive adjectives and pronouns |
Lesson 15 |
Defining relative clauses |
|
Lesson 16 |
Reflexive and emphatic pronouns |
Lesson 16 |
Non-defining relative clauses |
|
Lesson 17 |
Prepositions (time, place, means) |
Lesson 17 |
Object and subject questions |
|
Lesson 18 |
Supposed to, would rather, had better |
Lesson 18 |
Question tags |
|
Lesson 19 |
Use your senses |
Lesson 19 |
Adjectives ending in ED or ING |
|
Lesson 20 |
Adjectives , comparatives and superlatives |
Lesson 20 |
Multiple adjectives: word order |
III. Reflex English |
IV. Reflex English |
|||
Lesson 1 |
Word order |
Lesson 1 |
The family |
|
Lesson 2 |
Active and state verbs |
Lesson 2 |
Numbers |
|
Lesson 3 |
Talking about events in the future |
Lesson 3 |
Age |
|
Lesson 4 |
Other ways of expressing the future |
Lesson 4 |
Coloursand shapes |
|
Lesson 5 |
Affixes: prefixes and suffixes |
Lesson 5 |
Countries, nationalities and languages |
|
Lesson 6 |
Conditional conjunctions |
Lesson 6 |
Jobs and activities |
|
Lesson 7 |
Transitive and intransitive verbs |
Lesson 7 |
Transport |
|
Lesson 8 |
Inversion with negative adverbials |
Lesson 8 |
Days and months |
|
Lesson 9 |
Expressions with 'used to' |
Lesson 9 |
Weather and seasons |
|
Lesson 10 |
Past perfectly simple and continuous |
Lesson 10 |
Telling the time |
|
Lesson 11 |
The future in the past |
Lesson 11 |
The body |
|
Lesson 12 |
Adjectives, nouns and verbs followed by prepositions |
Lesson 12 |
Clothes and accessories |
|
Lesson 13 |
Participle clauses |
Lesson 13 |
Describing people |
|
Lesson 14 |
Emphatic cleft sentences |
Lesson 14 |
Describing things |
|
Lesson 15 |
Advanced passive structures |
Lesson 15 |
House and furniture |
|
Lesson 16 |
Modal verbs in the past |
Lesson 16 |
Sports |
|
Lesson 17 |
Verbs followed by infinitives or gerunds |
Lesson 17 |
Hobbies and leisure time |
|
Lesson 18 |
Gradable and non -gradable adjectives |
Lesson 18 |
Food and drink |
|
Lesson 19 |
Formal subjunctive |
Lesson 19 |
At school |
|
Lesson 20 |
Phrasal verbs |
Lesson 20 |
Animals |
A1/A2
V. Reflex English |
VI. Reflex English |
|||
Lesson 1 |
Countries and symbols |
Lesson 1 |
Talking about money |
|
Lesson 2 |
Materials |
Lesson 2 |
People and customs |
|
Lesson 3 |
Nature |
Lesson 3 |
Business and the Economy |
|
Lesson 4 |
Shops |
Lesson 4 |
Industry, machines and technology |
|
Lesson 5 |
In the city |
Lesson 5 |
Idioms and expressions |
|
Lesson 6 |
Urban vs. rural life |
Lesson 6 |
Commercial correspondence |
|
Lesson 7 |
Tourism |
Lesson 7 |
Job search |
|
Lesson 8 |
Computer science |
Lesson 8 |
Writing CVs and cover letters |
|
Lesson 9 |
Cooking |
Lesson 9 |
Dealing with a job interview |
|
Lesson 10 |
Expressing quantities |
Lesson 10 |
Agriculture |
|
Lesson 11 |
At the restaurant |
Lesson 11 |
Synonyms and antonyms |
|
Lesson 12 |
At the hotel |
Lesson 12 |
False friends and anglicisms |
|
Lesson 13 |
On the phone |
Lesson 13 |
Abbreviations, acronyms and eponyms |
|
Lesson 14 |
Feelings and emotions |
Lesson 14 |
The Media |
|
Lesson 15 |
Health and illness |
Lesson 15 |
Ecology |
|
Lesson 16 |
Five senses |
Lesson 16 |
Energy |
|
Lesson 17 |
At the doctor's |
Lesson 17 |
Criminality |
|
Lesson 18 |
The Arts |
Lesson 18 |
Justice and law |
|
Lesson 19 |
The Earth |
Lesson 19 |
Traveling around Britain and Ireland |
|
Lesson 20 |
Astrology and the Solar System |
Lesson 20 |
Traveling around the USA and Canada |