Mai 2023

PER : un succès confirmé par Bercy !

PER : un succès confirmé par Bercy !
 

Le plan d'épargne retraite (PER) vient de remporter tous les suffrages ! Avec ses 7 millions de titulaires et ses 80 Mds d'euros d'encours fin 2022, Bercy a confirmé le succès du PER dans son communiqué de presse du 25 mai dernier. Retour sur le produit phare de votre épargne retraite.

Success story du PER

Lancé en octobre 2019, le PER a remplacé les produits d'épargne retraite comme le PERP, le contrat Madelin, le Perco et le contrat "Article 83". Ces deniers n'étant plus commercialisés depuis octobre 2020. 

Trois ans après son lancement, le constat est simple : le déploiement du PER est un succès ! En effet, l'objectif initial était d'atteindre 3 millions de souscripteurs... là où 7 millions en bénéficient déjà à fin 2022. 

Le PER est un produit d'épargne "tunnel" à envisager sur le long terme qui vous offre une sortie en capital ou en rente au moment de votre retraite

Bon à savoir

Le PER est majoritairement délégué aux assureurs avec des fonds investis en Unités de compte (UC).

Les 4 meilleurs PER sélectionnés par Retraite.com

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Le PER : un produit d'épargne unique, simple et accessible 

L'objectif de la loi Pacte était de proposer aux Français un produit unique, simple et accessible :

  • un produit souple : des versements libres ou programmés avec des déblocages anticipés possibles (acquisition résidence principale, invalidité, expiration des droits au chômage...) ;
  • une épargne mieux investie : une gestion pilotée avec des perspectives de rendement intéressantes ;
  • une fiscalité attractive : vous pouvez en effet déduire vos versements volontaires de vos impôts ;
  • une sortie en capital ou en rente viagère. 

Le succès du PER concerne aussi bien les PER d'entreprise que les produits individuels.

À noter que plus le client est jeune lors de la souscription, plus les placements choisis sont risqués pour un rendement à long terme. La gestion étant pilotée, le capital final est garanti.  Le PER est ainsi le meilleur allié de votre préparation à la retraite.

Une possibilité de départ anticipé pour les « carrières longues »

 

L’entrée en vigueur de la réforme des retraites à la rentrée prochaine semble désormais inévitable. Le cas des assurés potentiellement éligibles au dispositif « carrière longue » a toutefois fait l’objet d’un amendement de coordination au Sénat. Celui-ci pourrait ainsi leur permettre d’échapper aux effets de la réforme et de prendre une retraite anticipée. Explications.

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Un amendement pour les assurés éligibles au dispositif « carrière longue »

Sur le principe, la réforme des retraites, qui fait toujours polémique actuellement, vise à reculer l’âge légal de départ à la retraite, et à rallonger la durée de cotisation pour les personnes nées après le 31 août 1961.

Toutefois, l’amendement de coordination adopté par le Sénat et validé par l’exécutif devrait accorder aux personnes nées en 1962 et 1963, et qui sont éligibles au dispositif de retraite anticipée « longue carrière », la possibilité de :

  • partir à la retraite avant l'âge légal, conformément aux règles actuelles ;
  • bénéficier d’une pension complète.

Elles peuvent ainsi échapper aux nouvelles dispositions prévues par la réforme.

Par conséquent, ceux qui ont commencé leur carrière avant l’âge de 16 ou 20 ans peuvent anticiper leur départ à la retraite respectivement de 4 ans ou de 2 ans.

Et dans la pratique ?

Pour l’heure, les assurés nés en 1962 ou 1963 qui peuvent bénéficier du dispositif de carrière longue ne pourront pas encore prendre de décision immédiate quant à leur départ en retraite anticipée. D’autant plus que l’amendement n’a pas précisé d’année ou de mois de naissance.

À ce titre, il n’existe pour l’instant aucune garantie de maintien du dispositif actuel de carrières longues pour ces générations. Ils devront donc patienter jusqu’à la parution du décret d’application traitant de leur cas après la promulgation de la réforme pour connaître les conditions définitives.

D’après le ministère du Travail, le gouvernement envisage également d’adopter une mesure pour éviter aux assurés nés en 1962 et 1963 de subir une minoration de leurs pensions avant l’entrée en vigueur de la réforme le 1er septembre prochain. Cependant, le sort des personnes nées après le 1er septembre 1963 reste encore flou.

Réforme des retraites : quel avenir pour les pensions minimales

 

En principe, la réforme qui fait actuellement l’objet d’une vive contestation, concerne l’ensemble du système de retraite en France. Par conséquent, elle aura des répercussions sur les « petites retraites », en particulier en ce qui concerne le mode de calcul avec la revalorisation du minimum contributif. Quant à la question de savoir si la pension minimale de 1 200 euros profitera à tous, celle-ci ne bénéficiera qu’à certaines catégories de retraités seulement.

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La retraite minimale : la situation actuelle

En France, des dispositifs de retraite minimale ont été mis en place dans l’objectif rehausser le montant global de la pension reversée aux seniors.
Ceux qui ont fait carrière dans le privé et en tant que travailleur indépendant, et qui relèvent donc du régime général de l’Assurance maladie, ont ainsi droit au minimum contributif (Mico) s’ils touchent une retraite de base avec le taux plein (y compris pour inaptitude au travail). Le Mico peut être majoré si l’assuré jouit d’une retraite à taux plein et compte plus de 120 trimestres cotisés.
 

Le minimum contributif est en principe plafonné si le retraité a également une retraite complémentaire en plus de sa retraite de base.

Du côté du secteur agricole, les retraités qui relèvent de la MSA (mutualité sociale agricole) peuvent, suivant leur statut, bénéficier :

  • du minimum contributif ;
  • de la pension de retraite minimale des agriculteurs ;
  • du complément différentiel de retraite complémentaire obligatoire.

Pour ceux qui ont fait carrière dans la fonction publique, le minimum garanti (MiGa) concerne les anciens fonctionnaires de l’État qui relèvent du SRE, ainsi que les travailleurs hospitaliers et les ex-employés territoriaux qui sont assurés par la CNRACL.

Bon à savoir

Le Mico, les retraites minimums des agriculteurs et le Miga peuvent bénéficier d’une majoration sous conditions. Et en cas de carrière incomplète, le MiCo sera évalué au prorata. Mais malgré ces dispositifs, les statistiques du Conseil d’orientation des retraites (COR) font état de 6,3 millions de retraités qui perçoivent une pension de moins de 1 100 euros. Et un tiers d’entre eux n’ont pas exercé une carrière complète.

La pension à 1 200 euros : pour qui ?

Une pension minimale de 1 200 € pour tous avait été évoquée dans le cadre de la réforme. Mais compte tenu des conditions fixées, seuls les futurs retraités qui auront justifié d’une carrière complète au SMIC ou validé un certain nombre requis de trimestres pourront percevoir ce montant.
De plus, les retraités ne toucheront pas les 1 200 € annoncés puisqu’il s’agit d’un montant brut qui fera encore l’objet d’une déduction au titre de la GSG (contribution sociale généralisée) et de la CRDS (contribution au remboursement de la dette sociale). À noter également que les pensions complémentaires seront prises en compte, mais elles sont largement inférieures au régime Agirc-Arrco.
Finalement, selon le ministre du Travail, Olivier Dussopt, sur les quelque 700 000 demandes annuelles de droit à la retraite du régime général Cnav, seules entre 10 000 et 20 000 personnes percevront effectivement une pension minimale de 1 200 € ou plus.

La revalorisation du Mico pour les futurs retraités

La réforme des retraites a cependant prévu une révision à la hausse du minimum contributif. Ce dernier sera de l’ordre de 709 euros (contre 684,13 € actuellement). La majoration pourrait, suivant les cas, atteindre 100 € pour ceux qui ont effectué une carrière complète et cotisé 120 trimestres.

Selon le gouvernement, environ 200 000 personnes, aux revenus modestes, qui vont prochainement partir à la retraite, pourront bénéficier d’un « boost » de 33 € mensuels sur leur pension.

La revalorisation du Mico de 1 € à 100 € concernera 1,8 million de personnes (700 000 hommes et 1,1 million de femmes). Plus de la moitié d’entre eux devraient en profiter automatiquement dès leur départ à la retraite d’ici septembre 2023.  

Les points essentiels à retenir sur l’assurance décès

 

L’assurance décès est souvent souscrite par le chef de famille dans l’objectif de protéger ses proches s’il venait à disparaitre. Il lui appartient de définir la somme d’argent garantie à verser aux bénéficiaires, et les cotisations à verser devront être proportionnelles à celle-ci. À noter toutefois que l’âge et l’état de santé du souscripteur entrent également en compte dans le calcul des cotisations.

Les conditions de souscription d’une assurance décès

Avant d’accepter d’assurer une personne, l’assureur évalue le risque financier lié à son état de santé.

  • Pour un jeune de moins de 45 ans et qui ne souffre pas d’une quelconque pathologie, une simple attestation de bonne santé suffit.
  • En revanche, une personne plus âgée, dont l’état de santé est plutôt fragile, doit remplir un questionnaire médical détaillé, notamment si les garanties exigées sont élevées.
  • Celui qui a un souci de santé grave devrait même faire des examens médicaux.
  • Les personnes qui pratiquent des métiers dangereux ou des sports à risques font souvent face au refus d’assurance par les compagnies.
  • La conduite en état d’ivresse ou sans permis de conduire est également exclue des garanties.
  • D’autre part, les assureurs appliquent un délai de carence d’un an ou de deux ans en cas de suicide avéré du souscripteur.

Cotisations élevées pour les seniors et les fumeurs

Le montant des cotisations progresse avec l’âge. Ainsi, les seniors sont soumis à des cotisations jusqu’à 6 fois supérieures à celles des quadragénaires. Et à partir de 75 ans, si le souscripteur est toujours vivant, l’assureur est autorisé à conserver tout l’argent versé dans le contrat sans aucune contrepartie. Les bénéficiaires du contrat ne percevront à cet effet ni capital ni rente viagère.

Autre point à signaler, le tabagisme implique une surprime d’environ 25 %. Néanmoins, la rude concurrence sur le marché contraint les assureurs à proposer des offres plus attractives ciblant les fumeurs.

Quid de la fiscalité de l’assurance décès ?

La somme cumulée sur un contrat d’assurance décès est exonérée d’impôt sur le revenu. Les bénéficiaires ne sont pas non plus soumis aux droits de succession.

  • Toutefois, une taxe de 20 % est appliquée sur les versements effectués par le souscripteur au cours de l’année de son décès, si ce dernier disparait avant ses 70 ans.
  • Par ailleurs, si le décès survient après son 70e anniversaire, les versements sont soumis aux droits de succession.

À noter toutefois que si le bénéficiaire et le conjoint ou le partenaire pacsé, l’exonération d’impôt et de droits de succession s’applique dans les deux cas.

Quelles sont les attentes d'un épargnant en termes de conseil ?

Quelles sont les attentes d'un épargnant en termes de conseil ?

Aujourd'hui, les solutions d'épargne sont nombreuses, mais comment s'y retrouver ? Comment faire les bons choix ? Si votre premier réflexe est de consulter le web, il n'en reste pas moins que les meilleurs conseils sont ceux des experts. Le rôle de votre conseiller est dès lors primordial... découvrons ensemble quelles sont les attentes d'un épargnant en termes de conseil.

Notre enquête sur les produits et conseils en placement

Partenaire du magazine Challenges avec Speak33, nous avons réalisé une grande enquête fin 2022 pour mettre en lumière les meilleurs conseils en épargne. Ainsi, 36 assureurs, 14 banques et 12 acteurs en lignes ont été audités.

La règle du jeu était simple : observer le comportement de chacun en matière de conseil quant à une sollicitation d'un client sur la constitution de son épargne.

Ce qui fait toute la différence est bien entendu la qualité de la relation client
 
Préfon, acteur incontournable dans le paysage de la retraite des fonctionnaires, a ainsi remporté le label du meilleur conseil épargne 2022 pour la qualité de sa relation client.

L'occasion de revenir sur les essentiels de la relation client dans cette vidéo "10 minutes pour comprendre" et de découvrir les conseils du Président fondateur de Retraite.com, Ludovic Herschlikovitz.

 

Les attentes d'un épargnant en termes de conseils

Si votre premier réflexe est de chercher des informations en ligne, à savoir :

  • quels sont les placements les plus performants ? 
  • quels sont les frais appliqués ?
  • quel est le meilleur outil de simulation pour optimiser mon épargne ?

Votre quête sur le web vous amènera généralement au contact d'un conseiller. Et ce qui prime, c'est sa capacité à vous écouter, vous proposer les meilleures solutions en fonction de votre profil et vous démontrer toute son expertise.

Des compétences relationnelles

En tant qu'épargnants, vous êtes parfois (souvent) perdus face à la multitude des solutions d'épargne, alors quelles sont vos attentes ?

  • une capacité d'écoute : bien cibler vos besoins ; 
  • de l'empathie : comprendre vos freins et toutes vos interrogations ;
  • de la bienveillance : créer un contexte convivial et rassurant.

Une expertise 

Au-delà des compétences relationnelles et commerciales, votre conseiller est un expert dans son domaine. Il est donc à vos côtés pour vous faire bénéficier de toute son expérience :

  • maîtrise des produits ;
  • approche fiscale ;
  • transparence.

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Réforme des retraites : ce qui vous attend en septembre

Réforme des retraites
 

Pour rappel, le Conseil constitutionnel s'était prononcé le 14 avril dernier sur l'ensemble des textes de la réforme. Même si certains opposants rêvent de la voir abrogée, la réforme suit son cours et devrait entrer en vigueur le 1er septembre prochain. Retour sur les cinq principaux points de la rentrée !

1. La réforme permet-elle de partir avant 64 ans ?

C'est le principe des carrières longues qui a principalement été débattu. Réservée aux personnes ayant commencé à travailler avant 20 ans, la réforme autorise aussi celles ayant commencé à travailler avant 21 ans à partir plus tôt. Ainsi, dès la rentrée, 4 bornes d'âge seront mises en place. Une nouvelle mesure qui concernera les générations nées à partir de 1970. 

 
Vous avez commencé à travailler avant 16 ans, vous partirez dès 58 ans ; entre 16 et 18 ans à 60 ans ; entre 18 et 20 ans à 62 ans ; avant 21 ans à 63 ans.

2. Quel rythme pour le nouvel âge de départ à la retraite et la durée de cotisation ?

Ces deux critères sont nécessaires pour envisager une retraite à taux plein.

 

L'âge de départ à la retraite L’âge légal est désormais porté à 64 ans.Nés à partir de 1961, vous êtes les premiers concernés ! Le principe est d’allonger la durée de travail de trois mois par génération. L’âge légal sera ainsi porté à 63 ans et 3 mois à la fin du quinquennat, puis à 64 ans en 2030.

 

La durée de cotisation 172 trimestres pour une retraite à taux pleinLa durée de cotisation est aujourd’hui de 42 ans pour bénéficier d’une retraite à taux plein. Elle passera à 43 ans (soit 172 trimestres) dès 2027, au lieu de 2035. Un allongement qui sera progressif, à raison d’un trimestre supplémentaire par an.

3. Annuler sa demande retraite : est-ce possible ?

Bon à savoir

Concrètement, et sans parler de réforme, il vous est déjà possible d'annuler ou de reporter votre demande de retraite tant que votre dossier n'est pas terminé. 

La question concerne donc toutes les personnes ayant fait valoir leurs droits avant l'entrée en vigueur de la réforme. C'est-à-dire les actifs nés entre septembre et décembre 1961. Leur âge légal de départ à la retraite est repoussé d'un trimestre pour atteindre 62 ans et 3 mois. Et leur durée de cotisation pour partir à taux plein passe de 168 à 169 trimestres !

Alors si vous avez validé votre demande de retraite avant l'entrée en vigueur de la loi avec une première pension le 1er septembre, que se passe-t-il ? 

 

La réforme des retraites prévoit bien la possibilité, pour ces assurés, de demander l'annulation de leur retraite. Une simple demande de report par écrit sera nécessaire. La Caisse Nationale d'Assurance Vieillesse (CNAV)  précise, dans un décret à venir, que la demande d'annulation soit adressée aux organismes de retraite dans un délai de 2 mois.

À suivre.

4. Que deviennent les rachats de trimestres désormais inutiles avec la réforme ? 

Vous avez racheté des trimestres pour pouvoir partir plus tôt à la retraite et à taux plein ? Avec le report de l'âge légal, ce rachat est obsolète… Et c'est ce qui s'était déjà passé lors de la réforme de 2010 lorsque l'âge légal avait été reporté de 60 à 62 ans. 

Que dit la réforme ?

Elle vous accorde le droit à un remboursement des trimestres inutiles si vous n'avez pas encore liquidé votre retraite. Adressez votre demande dans les 2 ans à compter de la promulgation de la loi, et au plus tard le 14 avril 2025. 

Bon à savoir

Ne rachetez des trimestres qu'en fin de carrière pour être sûr d'en avoir vraiment besoin.

5. Que faut-il attendre des derniers décrets ? 

Ce sont pas moins de 31 textes d'application qui doivent être publiés dans les mois à venir. 

Il reste donc à préciser :

  • les modalités de calcul pour la surcote des mères de famille éligibles ;
  • les activités concernées pour les actifs qui peuvent bénéficier de trimestres supplémentaires : sportifs, personnes ayant effectué des travaux d'utilité collective (TUC) ;
  • la revalorisation des petites pensions...

Rendez-vous à la rentrée pour faire le point.

 

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