Retraite

 

 
Bien préparer sa retraite, c'est d'abord bien la comprendre ! En France, le système peut sembler complexe, d'autant plus depuis la réforme du 1ᵉʳ septembre 2023. Des principes de base à la composition de votre pension, en passant par le calcul de celle-ci, voici de quoi vous éclairer sur le sujet.

Les principes de base de la retraite

Les 5 piliers fondamentaux de la retraite en France

La retraite en France, c'est un système :

  1. obligatoire : la cotisation à un système de retraite est obligatoire en France dès lors que vous rentrez sur le marché du travail ;
  2. répartition : cela signifie que le montant total des cotisations versées chaque année sert à payer les pensions des retraités. Ce sont donc les cotisations des actifs qui financent les retraites actuelles ;
  3. dit « contributif » : la pension que vous recevrez à la retraite sera proportionnelle à vos revenus et à vos cotisations versées tout au long de votre carrière professionnelle ;
  4. à forte dimension sociale : ceux qui ne peuvent pas cotiser pour diverses raisons (chômage, maladie, congé maternité...) ont tout de même droit à la retraite pour ces périodes d’inactivité involontaire ;
  5. solidaire entre les groupes professionnels : la solidarité joue entre les différents régimes ou organismes de retraite. Elle permet de maintenir un niveau de retraite garanti à tous les assurés.
Ce qu'il faut retenir

Toute personne qui travaille est assurée de percevoir une pension de retraite. Il existe en France différents régimes organisés par catégorie professionnelle, les règles de calculs variant d'un régime à l'autre.

Qui gère ma retraite ?

En France, la retraite est gérée par des organismes différents, selon le statut professionnel.

Depuis la réforme des retraites, on dénombre 37 régimes de retraite, contre 42 auparavant. En effet, 5 régimes spéciaux ont été supprimés depuis le 1er septembre 2023.

Selon que vous êtes salarié, exploitant agricole, commerçant, artisan, fonctionnaire, profession libérale, vous dépendez d'un régime de retraite spécifique.

La majorité des assurés cotisent automatiquement à deux caisses de retraite :

  • une caisse de retraite de base ;
  • une caisse de retraite complémentaire obligatoire.

Chacune de ces deux caisses prélève des cotisations sur votre revenu. Quand vous arrivez à la retraite, chacune des deux vous verse alors une pension. Important : vous recevrez une pension de chacune des caisses à laquelle vous avez été affilié. Par exemple, si vous avez été salarié, puis artisan, vous recevrez quatre pensions : deux pensions de base et deux pensions complémentaires.

De quoi est composée ma retraite ?

S'il existe de nombreux régimes de retraite, en revanche, la composition d'une retraite est identique pour tous. Celle-ci est constituée de 3 niveaux :

  1. une retraite de base ;
  2. une retraite complémentaire ;
  3. une retraite supplémentaire représentée par votre épargne retraite.

 

Comment se constituer une retraite ?

La retraite obligatoire ne représente pas l'intégralité de votre salaire, loin de là... Alors il vous faudra anticiper cette perte de revenus, plus ou moins grande selon votre situation. Comment ? En vous constituant ce que l'on appelle une retraite supplémentaire grâce à de l'épargne retraite.

On distingue deux grandes catégories :

  • l'épargne retraite collective : il s'agit des produits d'épargne proposés par l'entreprise comme le PER d’entreprise collectif et qui est proposé en option aux salariés ou le PER d’entreprise obligatoire et dont le caractère est donc obligatoire pour tous les salariés ;
  • l'épargne retraite individuelle : il s'agit de tous les produits d'épargne destinés à se constituer une rente à la retraite, avec principalement des produits long terme comme l'assurance-vie ou le PER.

Les conditions nécessaires pour prendre sa retraite

Pour prendre sa retraite et donc « liquider sa pension », il est nécessaire de remplir 2 conditions :

  1. atteindre l'âge légal de départ à la retraite : 64 ans depuis la dernière réforme des retraites ;
  2. avoir cotisé le nombre de trimestres nécessaires, soit 172.

Si l’une ou l’autre de ces 2 conditions n'est pas remplie, vous ne pourrez pas prétendre à une retraite à taux plein.

Le cumul de plusieurs retraites

Une personne ayant eu plusieurs activités relevant de régimes de retraite différents de façon simultanée ou successive a droit à plusieurs retraites. Dans le cadre d’activités successives de nature différente, la personne cotise au régime correspondant à son activité et acquiert des droits à retraite qui se cumulent sans limitation.

À quel âge entamer une épargne d’assurance retraite complémentaire ?

Il est préférable de commencer à épargner le plus tôt possible, parce que se constituer un patrimoine demande du temps. Il n'y a pas de règles et chacun épargnera en fonction de ses phases de vie, de ses possibilités et de ses objectifs.
 
Les conseils de Retraite.com : commencer à y réfléchir entre 25 et 30 ans, épargner sérieusement à partir de 40 ans puis redéfinir ses priorités dès 50 ans.

Comment calculer sa retraite ?

Notre outil de simulation retraite gratuit permet d’obtenir une première estimation du montant de votre pension retraite sans attendre de recevoir votre relevé de carrière et son Estimation Indicative Globale (EIG) 

 

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Le site Info retraite permet de faire des simulations retraite à tout âge à partir des données connues de vos régimes.

 

 

 

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Préparer sa retraite est un moment de vie important et pas toujours simple à apprehender.  Retraite.com a interviewé Marilyn Vilardebo, présidente et fondatrice du cabinet de conseils retraite Origami & Co. Pour la présidente du Cabinet, la seule question à laquelle vous devez répondre est : à quel moment est-il le plus judicieux de bénéficier de mes droits ? 

Prendre sa retraite, c’est d’abord encaisser ce qui vous est dû

Il est alors vivement recommandé de prendre en main son dossier à partir de 45-50 ans.  D’une part, pour vérifier au fil du temps qu’on a bien conservé tous ses documents et pouvoir être en mesure de les réclamer, mais aussi vérifier l’enregistrement de sa carrière par le biais de son relevé de carrière mis à disposition sur le site info-retraite.

D’autre part, cela permet de se préparer au quand ? Combien ? Comment ? et d’élaborer d’éventuelles stratégies comme comparer plusieurs scénarii de revenus ou de statuts par exemple pour décider en tout connaissance de cause.

Le choix de votre fin de carrière

La retraite n’est pas un couperet parce qu’il existe une règlementation foisonnante avec de nombreux dispositifs. Pour les actionner, encore faut-il les connaitre : qu’est-ce que la retraite progressive ?, ai-je intérêt à racheter des trimestres ?, puis-je régulariser mes arriérés de cotisations ?, dans quelles conditions pourrai-je cumuler emploi et retraite ?

On perçoit sa retraite durant 25 ans en moyenne, alors négliger ces étapes peut s’avérer très couteux. Prenons par exemple, une personne qui n’a pas vérifié sa carrière et s’aperçoit quelques mois avant son âge légal qu’il lui manque des trimestres, elle devra redoubler d’effort pour s’assurer que le rachat de trimestres lui faisant atteindre son taux plein sera réalisé dans les temps car les délais des caisses peuvent être pharaoniques et pendant ce temps-là, chaque mois qui passe est un mois de pension de perdu ! Autre exemple : ne pas avoir déclenché ses retraites à son âge légal (62 ans aujourd’hui) parce que vous pensiez être à taux minoré et vous apercevoir qu’en fait, il vous manquait des trimestres et vous auriez pu liquider il y a plusieurs mois déjà…

En conclusion, plus vous anticiperez, plus vous pourrez choisir en toute connaissance de cause et vivrez cette étape de vie comme un nouveau départ.

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Pas de report en 2024. Les recouvrements des cotisations de la Cipav, la caisse de retraite des professionnels libéraux, seront bel et bien transférés aux Urssaf dès début 2023. Ce transfert s’accompagne de quelques changements pratiques pour les cotisants, comme la suppression des options de réduction ou de majoration des cotisations. Explications.

Vers une simplification des démarches

Prévu dans la loi de financement de la Sécurité sociale pour 2020, le transfert du recouvrement des cotisations de retraites de la Cipav vers l’Urssaf se fera en début d’année.

Cette réforme, qui avait été reportée en raison de la crise sanitaire, poursuit plusieurs objectifs.

Tout d’abord : décomplexifier la procédure en assignant un interlocuteur unique pour l’ensemble des services liés aux cotisations.

Par ailleurs, « ce transfert vise à rationaliser le coût du recouvrement, en le divisant par deux », explique François Clouet, directeur de la Cipav.

Enfin, le passage du recouvrement des cotisations vers l’Urssaf permettra aux cotisants de bénéficier de nouveaux services plus adaptés à leurs besoins.

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Quid des retraites complémentaires ?

Initialement, la loi de financement de la Sécurité sociale prévoyait de transférer le recouvrement des cotisations de retraites complémentaires Agirc-Arrco vers les Urssaf au 1er janvier 2022. Un transfert qui ne s’est finalement pas concrétisé.

Malgré la volonté du gouvernement d’opérationnaliser cette réforme au 1er janvier 2023, la Mission d’évaluation et de contrôle de la sécurité sociale ainsi que la Commission des affaires sociales du Sénat suggèrent de reporter une nouvelle fois ce projet au 1er janvier 2024.

Quoi qu’il en soit, « les évolutions apportées par le transfert des cotisations à l’Urssaf ne pourront que profiter aux usagers », souligne François Clouet.

Ce dernier explique que « le système par tranche de revenu actuellement appliqué pour le calcul des cotisations de retraite complémentaire va basculer vers un mode de calcul proportionnel à partir du 1er janvier 2023 ».

Ainsi, de nouveaux barèmes vont être mis en place afin de garantir l’équité entre les usagers tout en leur permettant d’avoir une meilleure lisibilité des mécanismes de cotisation.

À noter que la cotisation facultative du conjoint n’existera plus avec l’entrée en vigueur de la réforme.

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Si tout le monde est au courant du projet de report de l’âge de départ à la retraite à 64 ans, de l’augmentation de la durée de cotisation et de la hausse de la pension minimale, les médias n’ont pas parlé de la pension de réversion. Le point dans cet article.

Les restrictions liées à l’âge

Les conditions liées à l’âge minimum pour pouvoir toucher la pension de réversion ne seront pas modifiées par la réforme à venir. Il faut avoir au moins 55 ans pour en bénéficier si le conjoint décédé travaillait dans le secteur privé et il n’y a toujours aucune condition d’âge dans le cas où le défunt était un agent du service public.

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Pension minimale à 85 % du SMIC et pension de réversion

La pension minimale à 85 % du SMIC vise à garantir une rente minimum aux personnes les plus vulnérables. Elle est calculée à partir de la retraite de base et la retraite complémentaire. La pension de réversion n’est aucunement prise en compte dans le calcul et ne joue donc pas sur le plancher limite de 1 309 €.

Règles d’obtention pour les retraités du public

Si plusieurs changements sont prévus pour le public, notamment la suppression des régimes spéciaux pour les nouvelles recrues et le report de l’âge de départ à 64 ans étendu aux fonctionnaires, aucune modification ne sera cependant apportée à la pension de réversion. Les règles d’obtention dans le public restent inchangées.

Pour rappel, la pension de réversion correspond à la part des pensions du régime de base et des régimes complémentaires que touchait un défunt et qui est reversée au veuf ou à la veuve. La demande s’effectue de façon entièrement automatisée via internet ou sur son compte retraite.

Cette pension ne concerne que les personnes mariées. Les concubins ainsi que les pacsés n’y ont pas droit. Par contre, les ex-époux peuvent y prétendre. Le montant de cette pension ne peut pas excéder 11 877,84 € par an ou 989,82 € par mois.

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Lors de son allocution de présentation du projet de réforme des retraites, la première ministre Elisabeth Borne a avancé à plusieurs reprises que le texte prévoyait des changements en faveur des femmes. À y regarder de plus près, cela ne se vérifie pas systématiquement. Focus sur certaines des mesures annoncées comme avantageuses pour les femmes.

Le report de l’âge de départ à la retraite

Si les 8 trimestres par enfant sont maintenus et favorisent toujours les femmes, ils ne permettent plus forcément de bénéficier d’une retraite anticipée. Pour pouvoir partir à 62 ans grâce à eux, il leur faudra travailler davantage.

De plus, ce report de l’âge pénalise les femmes puisqu’elles doivent cotiser plus longtemps que les hommes.

 

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Les congés parentaux

Ils profitent plus aux femmes, puisque ce sont généralement elles qui prennent ces congés et qu’ils peuvent être comptabilisés comme période de cotisation.

Le dispositif « retraite anticipée pour carrière longue » (RACL) devrait ainsi concerner plusieurs milliers de femmes nées en 1966 qui pourront donc partir plus tôt à la retraite.

En outre, les congés parentaux sont pris en compte dans le calcul du minimum contributif majoré et devraient augmenter les pensions faibles.

La revalorisation plus rapide des pensions pour les femmes

Les pensions des femmes vont effectivement être revalorisées plus rapidement que celles des hommes.

Toutefois, cette hausse n’est que la conséquence de l’augmentation des cotisations et elle ne compense toujours pas l’écart de salaires entre les deux sexes.

La pension minimale à 85 % du SMIC

Elle va favoriser logiquement les femmes puisqu’elles ont rarement une carrière complète.

La comptabilisation des trimestres pour une aide à domicile

Cette mesure va effectivement profiter aux femmes, car elles sont en majorité aide à domicile.

Le nouveau dispositif de cumul emploi-retraite

Les droits supplémentaires prévus par la réforme vont surtout avantager les hommes, puisqu’ils sont 52 % à être affiliés à la CNAV et 75 % à la sécurité sociale des indépendants.

La suppression de la décote

Elle est effectivement favorable aux femmes, mais il ne s’agit que de la conservation d’une mesure.

 

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La pension minimum de 1 200 euros concernera prioritairement les cotisants qui répondront aux critères établis dans le projet de réforme. Explications.

Une pension minimale à 1 200 euros : de quoi s’agit-il ?

Revaloriser à 1 200 euros bruts le montant des plus petites retraites : la mesure a été annoncée par Élisabeth Borne lors de la présentation du projet de loi sur la réforme des retraites, le 10 janvier dernier. Ce dispositif entrera en vigueur dès septembre et bénéficiera à certaines catégories de retraités.

Si le recul de l’âge légal de départ à la retraite avait fait grincer des dents, la mise en place de ce minimum de retraite est censée faire contrepoids. La Première ministre en avait d’ailleurs fait l’éloge, en présentant la mesure comme une avancée sociale.

 

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Pension minimale : pour qui ?

La pension minimale à 1 100 euros avait été l’une des promesses phares d’Emmanuel Macron pendant sa campagne. Aujourd’hui établie à 1 200 euros, soit 85 % du SMIC net, cette revalorisation permettra aux futurs retraités, plus précisément à ceux qui partent à la retraite à partir du 1er septembre 2023, de percevoir environ 100 euros nets supplémentaires.

  • Cependant, avoir une petite retraite ne suffit pas à être éligible au dispositif.
  • Encore faut-il justifier d’une carrière complète au SMIC.
  • Mais aussi avoir atteint l’âge légal.

Dans les faits, les cotisants avec des revenus modestes pouvant se prévaloir de 42 années de cotisation (43 annuités dès 2027) et se trouvant en âge de partir à la retraite (62 ans actuellement contre 64 ans à l’horizon 2027) seront concernés par le dispositif.

Quant à la question de savoir si les retraités actuels ont droit au même régime, le gouvernement évoque que des tractations sont en cours avec les organisations syndicales et politiques.

Selon la cheffe du gouvernement, « l’augmentation de la pension minimale va bénéficier à 2,5 millions de Français ».

Quid du financement ?

« Le minimum de retraite a vocation à durer », rassure Olivier Véran. Le porte-parole du gouvernement ajoute que « le financement du dispositif sera assuré », sans toutefois avancer plus de précisions.

Le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire, évoque de son côté plusieurs pistes de financement, dont les fonds du régime accidents du travail et maladies professionnelles.

À noter que les fonctionnaires, qui ont droit d’ores et déjà à un minimum garanti de 1 248,33 euros par mois, sont exclus du dispositif.

 

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En France, le coût moyen des obsèques s’élève à 3900 euros quel que soit le mode de sépulture choisi (source : UFC Que Choisir 2019). Une facture qui peut fortement augmenter et à laquelle vient s’ajouter d’autres dépenses souvent sous-estimées ou non anticipées comme les frais de réception, ou encore des frais de notaire. A noter que le poids de cette dépense n’a cessé d’augmenter sur les dernières années : +30% en 10 ans (source FFA 2017).

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Pour le million de Français qui décident de passer leur retraite loin de la France, le climat et le coût de la vie sont les principaux critères de choix de la destination idéale, même si d’autres éléments entrent en jeu. Selon différentes études récentes, le sud de l’Europe reste la région la plus plébiscitée, devant le Maghreb.

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Les pays du pourtour méditerranéen, destination privilégiée des retraités français

La sélection du pays où couler sereinement ses vieux jours ne doit pas se faire au hasard. Outre le climat et le cadre de vie, les facteurs à prendre en compte sont multiples :

  • coût de la vie ;
  • sécurité ;
  • qualité des soins ;
  • accès à la culture...

Ces critères sont fréquemment utilisés pour établir des classements des meilleures destinations pour les seniors français.

Pour la deuxième fois, le palmarès annuel d’un site spécialisé dans les questions de retraite attribue le top 3 à l’Europe, avec le Portugal, l’Espagne et la Grèce. Ce trio est suivi par le Maroc et la Tunisie. Dans une autre enquête, le pays de la Corrida conserve la tête pour la troisième fois, devançant l’Italie. Ces conclusions confirment l’attractivité du pourtour méditerranéen pour les nouveaux retraités.

Mais la météo clémente et les paysages de rêves ne sont pas les seuls arguments en faveur de ces destinations. Les seniors recherchent surtout un lieu où le coût de la vie est inférieur à celui de la France, afin de pouvoir vivre plus confortablement, en dépit de la perte de pouvoir d’achat qui accompagne souvent la retraite.

Ils apprécient en outre d’être géographiquement proches de l’Hexagone, ce qui leur permet d’y faire régulièrement de petits séjours, ou d’y revenir, notamment si leur état de santé l’exige.

Enfin, l’immobilier plus abordable et la fiscalité plus avantageuse pèsent dans la balance. Le principal bémol pour le Maghreb est le sentiment d’insécurité.

Les formalités administratives à respecter pour percevoir ses droits

Toucher sa pension de retraite à l’étranger est possible, à condition de disposer d’un compte bancaire. Cependant, il doit notifier sa caisse de retraite de son changement d’adresse, et au besoin, de ses nouvelles coordonnées bancaires.

Attention, pour certaines prestations soumises à la condition de résidence en France, par exemple l’allocation de solidarité aux personnes âgées (Aspa), le versement est interrompu pendant toute la durée de l’expatriation. Une nouvelle demande devra être effectuée en cas de retour.

S’agissant de la couverture maladie, elle est réservée aux pensionnés du régime général français qui résident durablement dans un État membre de l’Union européenne ou dans un pays ayant signé une convention spécifique avec la France. L’assuré doit alors transmettre à l’organisme français de Sécurité sociale l’attestation de droit aux soins de santé que lui a délivré son pays d’accueil.

Tous les retraités français, qu’ils perçoivent un plan de pension personnel ou une pension de réversion, et vivant à l’étranger, doivent se plier à une obligation particulière : justifier de leur existence afin de s’assurer que le bénéficiaire est toujours en vie et prévenir d’éventuels abus. Pour cela, ils doivent fournir un certificat officiel de vie ou d’existence, validé par une autorité locale compétente, comme la mairie, le commissariat de police ou l’ambassade de France. Il est ensuite envoyé à la caisse de retraite concernée, sous peine d’une suspension du versement de la pension.

Afin de limiter les contraintes dues à l’éloignement de ces autorités, la biométrie se présente comme une alternative prometteuse. En 2022, une expérimentation a été menée sur 200 retraités volontaires, pour une reconnaissance faciale via une application mobile. Cette avancée technologique simplifierait considérablement la vie des retraités expatriés, tout en garantissant la sécurité du processus.

Bon à savoir

Les Français qui s’expatrient avant leur retraite peuvent, dans certains cas, accumuler des droits en adhérant volontairement à la Caisse des Français de l’étranger (CFE) en plus du régime de retraite local. Le calcul des trimestres dépend néanmoins de l’existence ou non d’une convention de Sécurité sociale entre le pays hôte et la France.

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Dans le contexte actuel de la réforme des retraites, il ne faut pas ignorer les personnes qui n’ont jamais exercé un métier pour cotiser en vue de toucher une pension. Ont-elles aussi droit à une retraite ? La réponse est oui, suivant les cas. L’Aspa ou Allocation de solidarité aux personnes âgées constitue par ailleurs une aide supplémentaire pour les seniors sans retraite « officielle ».

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Les dispositifs de retraite dont ces individus peuvent bénéficier

En principe, le système de retraite implique qu’une personne ait cotisé pour toucher une retraite. Les cotisations retenues sur ses salaires et versées par ses employeurs seront prises en compte pour la validation des trimestres au régime de retraite de base et pour l’acquisition des points pour la retraite complémentaire.

Les individus qui n’ont jamais travaillé, ou peu, avant d’atteindre l’âge de la retraite peuvent cependant prétendre à une pension et valider des trimestres si :

  • Ils ont effectué le service militaire (4 trimestres) ;
  • Ils ont été indemnisés pour cause de chômage (6 trimestres) ;
  • Ils ont élevé des enfants (4 trimestres) ;
  • La personne concernée a été mère de famille (4 trimestres) ;
  • Les personnes en question ont pris soin d’un enfant ou d’un proche dépendant ou en situation de handicap (un trimestre validé par tranche de 90 jours) ;
Une personne veuve peut aussi, sous conditions, bénéficier d’une partie de la pension du conjoint décédé. Enfin, la pension de réversion peut aussi constituer une possibilité.

L’Aspa : une aide complémentaire

L'allocation de solidarité aux personnes âgées (Aspa), qui a remplacé le Minimum Vieillesse depuis 2006, financée par le Fonds de Solidarité Vieillesse est destinée à aider financièrement les personnes âgées, qui ont travaillé ou non (et donc cotisé ou non pour la retraite), et dont les revenus sont faibles. Pour en bénéficier, il faut être âgé de plus de 65 ans ou 60 ans pour les personnes en situation de handicap ou pour les anciens combattants.

À noter que l’Aspa est aussi soumise à des conditions de ressources et/ou de patrimoine :

  • Le montant (de 961,08 euros maximum pour une personne seule et de 1 492,08 euros pour un couple) sera également réduit si les allocataires perçoivent d’autres aides.
  • La demande pour en bénéficier peut être faite auprès de la Caisse nationale d'assurance vieillesse (Cnav) et de la Cavimac (Caisse d'assurance vieillesse, invalidité et maladie des cultes).

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Dans le contexte de concurrence actuel, les fournisseurs en assurance vie rivalisent d’ingéniosité en ce qui concerne les moyens d’attirer des clients. Chez Sicavonline, l’assurance vie KOMPOZ qui séduit déjà par les différents avantages qu’elle offre ajoute une corde à son arc avec la possibilité pour les nouveaux souscripteurs de bénéficier de bonus pouvant atteindre 500 € en carte cadeau multimarque.

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  • Aucun frais n’est prélevé à l’entrée, ni sur les versements, ni sur les arbitrages entre différents supports (dans la limite de 15 opérations annuelles toutefois). Et les frais de rachat et de sortie ne s’appliquent que sur certains supports.
  • Concernant la gestion, l’épargnant peut opter pour une gestion libre, déléguée ou pilotée ETF.
  • En cas de versements programmés, les frais de gestion annuels s’élèvent à 0,45 %.

Des bonus au prorata du premier versement

Jusqu’au 31 juillet 2023, ceux qui décident de souscrire une assurance vie Kompoz profiteront d’un bonus dont le montant sera calculé en fonction du premier versement effectué à l’ouverture du contrat. À noter que ce bonus est proposé en carte-cadeau multimarque envoyé par e-mail au nouvel adhérent dans les quatre mois suivant la date de souscription. Pendant cette période, aucun rachat partiel ou total des capitaux versés ne sera autorisé.

Dans le détail, les bonus seront répartis comme suit (par ordre décroissant) :

  • 500 € pour un premier versement de 50 000 € minimum ;
  • 400 € pour un premier versement de 40 000 € minimum ;
  • 300 € pour un premier versement de 30 000 € minimum ;
  • 200 € pour un premier versement de 20 000 € minimum ;
  • 100 € pour un premier versement de 10 000 € minimum.

Les personnes intéressées par l’offre pourront prendre connaissance des conditions auprès de Sicavonline.

 

Par le

 

Avec les différentes réformes sur la retraite, notamment l’entrée en vigueur de la nouvelle loi au 1er septembre 2023, il n’est pas toujours facile de s’y retrouver. Pour les travailleurs qui ont 40 ans actuellement, voici une petite mise au point pour bien comprendre l’âge de départ à la retraite et les conditions à remplir pour bénéficier d’une retraite à taux plein.

L’âge légal de départ à la retraite recule à 64 ans

Avec la nouvelle réforme, l’âge légal de départ est repoussé à 64 ans, contre 62 ans actuellement. Pour les « quadras » d’aujourd’hui, il reste encore un long chemin à parcourir avant de pouvoir espérer se retirer.

En revanche, pour ceux qui font une carrière longue entamée très jeune, il est possible de partir à la retraite avant 64 ans.

Si par exemple, vous avez commencé à travailler à 18 ans ou avant, vous avez la possibilité de partir à 62 ou même à 60 ans.

Toutefois, cela pourrait affecter le montant de la pension perçue, car il faut avoir suffisamment cotisé pour prétendre au taux plein.
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43 ans de travail requis pour toucher le taux plein

Avec l’accélération de la réforme Touraine, une nouvelle proposition suggère d’étendre l’exigence de 172 trimestres jusqu’à la génération 1967 au lieu de prendre comme référence l’année 1973. Cette éventualité concerne en particulier les quinquagénaires.

Dans tous les cas, les travailleurs âgés de 40 ans aujourd’hui ne seront pas affectés par ces modifications : ils devront de toute façon compléter leurs 172 trimestres de travail pour espérer une pension à taux plein.

Ceux qui auront la possibilité de se retirer plus tôt (à 60 ou 62 ans) devront y réfléchir à deux fois, car un départ anticipé pourrait indiquer une décote significative.

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Les points-clés à retenir

  • La réforme des retraites en cours pourrait affecter directement les quarantenaires en repoussant l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.
  • Les personnes qui ont commencé à travailler très jeunes peuvent envisager un départ anticipé à 60 ou 62 ans en fonction de leur carrière longue.
  • Les quarantenaires doivent travailler pendant 172 trimestres pour bénéficier du taux plein, et le choix de prendre leur retraite à l’âge légal ou d’attendre pour bénéficier d’un taux plein peut avoir un impact significatif sur le montant de leur pension.

Par le

La réforme des retraite, votée dans une ambiance electrique sur l'âge de la retraite décalé à 64 ans pose le problème du chômage des séniors et des solutions pour y remedier. Parmi les mesures présentées, les pistes pour inciter les seniors au chômage à reprendre un emploi sont focalisées sur 3 points : L'index sénior, l'amélioration des conditions du cumul emploi retraite et l'amménagement de la retraite progressive.

Marilyn Vilardebo, présidente et fondatrice du cabinet de conseils retraite Origami & Co nous répond sur le sujet 

Retraite.com : La reforme des retraite a été cristallisée en grande partie sur l’âge légal et de nombreux sujets de gestion de fin de carrière tels que le cumul emploi retraite et la retraite progressive ont été très peu abordé. Pouvez vous nous expliquer les principes de ces 2 options de fin de carrière ?

MV: Le cumul emploi-retraite est un dispositif qui permet de pouvoir continuer à travailler tout en percevant ses pensions de retraite. Attention toutefois car certaines caisses ne le permettent pas comme par exemple la CAVAMAC (agent d’assurance) ou ne permettent qu’un cumul emploi et retraite dit « libéralisé » ( CAVP caisse des avocats). En effet, si vous liquidez vos pensions à taux minoré, vous devez respecter des plafonds de revenus, qui ne sont pas les mêmes suivants les caisses, si vous voulez cumuler emploi et retraite alors que, si vous déclenchez vos pensions à taux plein, le dispositif est « libéralisé » car aucun plafond de revenus est à respecter.

Quant à la retraite progressive, il s’agit de déclencher une partie » de ses pensions à partir de 60 ans et sous conditions d’avoir accumulé 150 trimestres minimum. Il faut donc être à temps partiel et vous percevez le montant de pension du % non travaillé. Par exemple ? si vous êtes à 60% de temps de travail, votre retraite progressive sera de 40%. L’intérêt c’est que vous continuez à cotiser pour votre retraite définitive sur 60% dans l’exemple et à 100% sur décision de l’employeur. Les professions libérales n’ont pas accès à ce dispositif.

Retraite.com : Quelles évolutions vont apporter la réforme sur ces deux aménagements de fin de carrière ? 

MV : Pas d’information précise à ce jour sur ces 2 sujets par le gouvernement . Concernant la retraite progressive : la grande question est de savoir s’ils vont décaler l’âge d’ouverture ou pas…Il serait logique de le faire.

Retraite.com : Cumul emploi retraite ou retraite progressive ? Comment faire son choix  ?

 MV : Pour faire son choix, cela dépend de 2 critères : objectif de vie et calculs. Si vous avez envie de lever le pied et pas le droit à la retraite au titre des carrières longues, vous pouvez opter (avec l’accord de votre employeur pour un passage en temps partiel pour les salariés) pour une retraite progressive. 

Si vous souhaitez plutôt continuer d’exercer, il faut faire les calculs pour savoir si vous n’avez pas intérêt à liquider à taux plein au plus tôt (par le biais d’un rachat de trimestres si taux minoré) pour pouvoir cumuler emploi et retraite de façon « libéralisé ». Evidemment, les calculs démontreront aussi si le coût du rachat vaut la peine via une durée de rentabilité sous 10 ans maximum et dépendra aussi du montant de vos pensions. Plus le montant des pensions est significatifs, plus le rachat est une option rentable !

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Pour cette deuxième édition de l’Observatoire de la Protection des Français* Aéma Groupe réalisée en partenariat avec l’Ifop, a été menée auprès d’un panel représentatif de plus de 3 000 personnes à fin 2022**. Leur sentiment global de protection pour eux et leurs proches recule en un an de 0,3 point à 5,7/10. Il est encore plus bas pour les 18-24 ans (5,4) et les 35-49 ans (5,3). Parmi la population active, les artisans-commerçants (5,3) se déclarent particulièrement « mal protégés ».

Les principaux points qui ressortent de cette étude

Les principaux points de l'études ressortent que : 

  • En un an, la part des Français qui s’estiment mal protégés est passée de 17% à 22%
  • Les deux principales préoccupations des Français pour la société sont le pouvoir d'achat pour 44% et le changement climatique pour 31%
  • Les principales préoccupations des Français pour eux-mêmes et leurs proches, sont le vieillissement (52%), la santé (43%) et le maintien d'un niveau de pouvoir d'achat (32%)
  • La retraite : un sujet de préoccupation croissant avec 18% des français qui ne se sentent pas assez accompagnés sur l'aspect financier de la retraite
  • 1 français sur 5  attend que les assureurs soient acteurs de changement en ce qui concerne l’accès aux soins médicaux (22%), la prévention santé (18%) et le pouvoir d’achat (18%).
 

Vieillissement, retraite, pouvoir d’achat, environnement : Point sur l'étude

Dans un contexte marqué par la brusque montée de l’inflation, la hausse des prix, la crise énergétique liée à la guerre en Ukraine, le pouvoir d’achat est la préoccupation prioritaire des Français pour la société (44%, +1 point vs 2021) selon la deuxième édition de l’Observatoire de la protection. Les Français n’hésitent pas à déclarer que le maintien du pouvoir d’achat représente pour eux-mêmes une véritable source d’inquiétudes et de stress en 2022 (32%).

Le changement climatique est la deuxième source de préoccupation des Français pour la société, (31%, +11 points), avec un sentiment d’éco – anxiété accentué par les catastrophes naturelles survenues l’été 2022 (canicule, sécheresse, incendies).

Autres sujets de préoccupations globaux pour les Français : la sécurité (34%, -14 points) dont la sécurité des personnes (21%, -8 points) et la santé (26%, -4 points) particulièrement l’accès aux soins (21%).

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Inquiétude sur le vieillissement, la dépendance et... la retraite

Parmi les sujets « classiques » d’inquiétude personnelle pour soi et ses proches figurent le vieillissement et la santé. Plus d’un répondant sur deux exprime ainsi des craintes liées au vieillissement (en particulier le décès et la dépendance) comme sources d’appréhension personnelle (52%, contre 64% en 2021). Pour plus 4 Français sur 10, la santé reste considérée comme une source d’appréhension (43%, contre 54% en 2021).

Mais sujet de forte actualité, dans un contexte d’intense débat public et d’incertitudes sur le système de financement, la préparation de la retraite (sur l’aspect financier) représente une importante source d’inquiétude pour soi-même et ses proches. Ce sujet fait partie du trio des thématiques pour lesquelles les Français demandent à être davantage accompagnés (21%).

L’éco-anxiété, une crainte installée voire exacerbée par temps de crise énergétique

Après une année 2022 marquée par des évènements climatiques extrêmes, le changement climatique est devenu le deuxième sujet de préoccupation des Français pour la société, (31% le mentionnant comme tel, contre 20% l’année précédente). Plus d’1 Français sur 2 (55%) ressent de « l’éco-anxiété », et se montre inquiet des conséquences directes du changement climatique. Pour y faire face, les répondants se déclarent prêts à changer certaines de leurs habitudes et surtout celles qui vont dans le sens de la maîtrise du pouvoir d’achat, comme l’isolation du logement.

En matière de prévention, les répondants déclarent attendre des assureurs accompagnement, sensibilisation et formation. Les résultats de l’Observatoire révèlent que les Français n’envisagent pas la lutte contre le réchauffement climatique comme un sujet au cœur du métier historique des assureurs, mais considèrent qu’ils ont leur rôle dans l’accompagnement des entreprises vers la transition écologique. Ils n’hésitent pas à demander par exemple la prise en compte des critères environnementaux et sociaux dans leur politique de souscription (24%).

La prévention : une des clés de la protection de demain ?

Les résultats de cette deuxième édition de l’Observatoire de la protection des Français Aéma Groupe Ifop témoignent de la prise de conscience quant à la nécessité d’accorder, dans le contexte actuel de changement climatique, une place plus importante à la démarche de prévention. Sur ce sujet, les Français sont demandeurs de davantage de pédagogie (et notamment dans les programmes scolaires : 48%) ainsi que d’une démarche mobilisant conjointement les pouvoirs publics, les citoyens et les assureurs, en vue d’anticiper les futurs risques et dans une approche touchant aux différents domaines de la vie (37%).

Les assureurs espérés comme « porteurs de changement », confiance accrue dans les groupes mutualistes

Sur les trois sujets du maintien du pouvoir d’achat, de l’accès aux soins médicaux et de l’accès aux services essentiels, les Français estiment qu’un assureur doit être « porteur de changement ». Si les assureurs sont en effet toujours attendus sur l’accès aux soins médicaux, et la prévention santé (à 22% et 18% respectivement), ils le sont donc désormais, et c’est la nouveauté, sur le pouvoir d’achat (18%, + 5 points par rapport à 2021).

Face aux risques, les proches (54%, -8 points) et le corps médical (44%, -5 points) sont toujours considérés comme les acteurs qui apportent le plus de protection malgré une légère baisse par rapport à 2021, devant les acteurs institutionnels (sécurité sociale, caisses de retraite, forces de l’ordre...). Le sentiment de protection apporté par les assureurs mutualistes est cette année en forte hausse (22%, +9 points, après prise de connaissance de leurs spécificités), jusqu’à talonner les acteurs institutionnels et marquer un écart avec d’autres acteurs tels que les assureurs traditionnels et les banques (15% et 8% respectivement).

Dans ce contexte, les assureurs mutualistes ont toujours la confiance des Français, à 57% (stable), devant les assureurs traditionnels et les banques (44% et 40%, stable). Les attentes prioritaires des Français vis-à-vis des assureurs pour se sentir bien protégés ne changent par ailleurs pas d’une année sur l’autre : des solutions personnalisées, de l’accompagnement tout au long du parcours de vie et dans différents domaines, allant plus loin qu’une simple protection d’assurance.

À PROPOS D’AÉMA GROUPE

Aéma Groupe est le groupe mutualiste de protection né du rapprochement entre Aésio mutuelle et Macif. Avec l’acquisition d’Abeille Assurances (ex. Aviva France) en 2021, Aéma Groupe devient le 5ème acteur de l’assurance en France. Accompagnant et protégeant plus de 11 millions d’assurés, le groupe rassemble plus de 18 000 collaborateurs, 1 800 élus et a réalisé un chiffre d'affaires de 11 milliards d’euros en 2021. La création d’Ofi Invest en septembre 2022 place également désormais le groupe au 5ème rang des acteurs français de gestion d’actifs.
Groupe mutualiste de référence, multimétiers, multimarques, Aéma Groupe imagine chaque jour les contours d’un monde plus juste et plus humain en plaçant la prévenance au cœur de la relation avec ses adhérents, sociétaires et entreprises clientes.

Par le

 

Si vous avez commencé votre carrière tôt et si vous avez acquis un nombre suffisant de trimestres, vous pourriez être éligible à une pension de retraite anticipée. La réforme des retraites prévoit en effet que ceux qui ont une carrière longue ou très longue peuvent prendre leur retraite avant l’âge légal de la retraite, à condition de remplir les critères d’éligibilité.

Seulement, il arrive souvent que vos trimestres d’apprentissage ne figurent pas sur votre relevé de carrière. Dans ce cas, vous pouvez demander un rachat de trimestres, et verser le montant indiqué par la Caisse de retraite.

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Recul de l’âge du départ anticipé

La réforme des retraites entrera en vigueur le 1er septembre prochain : l’âge légal de départ à la retraite ainsi que l’âge de départ anticipé reculeront. Ainsi, 4 bornes d'âge seront mises en place, une nouvelle mesure qui concernera les générations nées à partir de 1970. 

Né(e) après le 1er septembre 1961, voici les différents cas de figure :

Vous avez commencé à travailler avant :Votre départ à la retraite est possible à partir de :Conditions
16 ans 58 ans Avoir cotisé 5 trimestres* avant la fin de l'année civile de votre 16ᵉ anniversaire
18 ans 60 ans Avoir cotisé 5 trimestres* avant la fin de l'année civile de votre 18ᵉ anniversaire

20 ans

62 ans Avoir cotisé 5 trimestres* avant la fin de l'année civile de votre 20ᵉ anniversaire
21 ans 63 ans  Avoir cotisé 5 trimestres* avant la fin de l'année civile de votre 21ᵉ anniversaire

 * Ou 4 si vous êtes né(e) entre le 1er octobre et le 31 décembre

 Attention ! Il faudra également avoir enregistré le nombre de trimestres requis.

Demander un rachat de trimestres d’apprentissage

Si les trimestres d’apprentissage ne figurent pas sur votre relevé de carrière en raison du non-paiement des charges sociales par votre ancien employeur, vous pouvez demander un rachat.

Comment procéder ?

  • vous devez télécharger et remplir le formulaire disponible sur votre espace personnel de l’Assurance retraite ;
  • vous pouvez effectuer une simulation du coût du rachat sur cette page ;
  • la caisse de retraite peut accepter ou refuser votre demande, et en cas de réponse positive, vous recevrez le montant à payer dans un délai de deux mois suivant votre demande.

Cependant, cela n’est possible que si vous ne touchez pas encore une pension de retraite du régime général et si vous êtes âgé entre 20 ans et 66 ans.

 

 

Par le


Le PER Préfon est actuellement le seul plan d’épargne retraite (PER) à point en France, dont la valeur du point ne diminue jamais. Ce dispositif est réservé aux agents de la fonction publique, des collectivités locales, des établissements administratifs ainsi qu’aux conjoints et veufs/veuves des fonctionnaires, et il draine environ 15 % de l’épargne retraite totale en France.

Au début de cette année, la valeur du point Préfon a augmenté de +1,59 %, tandis que les droits de transfert et de sortie en capital ont progressé de +2,10 %.

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La valeur d’achat du point Préfon fixée à 1,8706 euros

Avec la revalorisation du point Préfon, la valeur d’achat est fixée à 1,8706 euro, tandis que celle de service est de 0,0960 euro.

Il convient néanmoins de préciser que l’augmentation de +1,59 % n’arrive pas à couvrir la hausse des prix de l’année dernière (+5,9 %). Mais selon la réglementation en vigueur, la revalorisation du point Préfon est limitée à +2,01 %.

D’autre part, la valeur de rachat et de transfert a progressé de +2,10 %. Comparée à la moyenne des taux de rendements des fonds en euros annoncée au début de cette année (de +1,6 % à +2 %), celle-ci s’avère plus intéressante.

Il faut également noter que le régime Préfon-retraite offre des rentes plus élevées avec un rendement servi par avance (pour l’exercice 2022, le taux technique s’établit à 0,27 %). Ceci explique la faible revalorisation du point par rapport à l’inflation.

Quant au taux de couverture règlementaire, ceci est estimé à 137 %.

Comment calculer le montant de la pension de retraite complémentaire ?

Le montant de la pension de retraite complémentaire est obtenu en multipliant le nombre de points achetés par l’épargnant par la valeur du point de service.

Concrètement, chaque versement donne droit à un nombre de points pouvant varier en fonction de l’âge de l’épargnant. Ainsi, s’il commence à verser des cotisations dès son jeune âge, il pourra cumuler plus de points et toucher une retraite complémentaire plus élevée. Il est cependant obligatoire d’effectuer des versements réguliers et il est possible d’augmenter ou de réduire, ou encore de suspendre les cotisations. De ce fait, aucune pénalité ni perte de points n’est prévue.

Par le

 

Le Conseil constitutionnel s’est prononcé ce vendredi 14 avril sur le projet de loi initial de la réforme des retraites. La majorité des mesures envisagées a été validée. Que contient le texte définitif ? Le point sur les principaux éléments de cette réforme qui entrera en vigueur le 1er septembre prochain !

Les principales mesures validées de la réforme des retraites

L’âge légal de départ à la retraite à 64 ans

Point phare et très contesté de la réforme, l’âge légal est désormais porté à 64 ans. Nés à partir de 1961, vous êtes les premiers concernés ! Le principe est d’allonger la durée de travail de 3 mois par année de naissance. L’âge légal sera ainsi porté à 63 ans et 3 mois à la fin du quinquennat, puis à 64 ans en 2030.

L’allongement de la durée de cotisation est accéléré

Elle est aujourd’hui de 42 ans pour bénéficier d’une retraite à taux plein. Elle passera à 43 ans (soit 172 trimestres) dès 2027, au lieu de 2035. Cet allongement sera, lui aussi,  progressif, à raison d’un trimestre supplémentaire par an.

La suppression des régimes spéciaux

Pour un système plus juste, les 5 régimes spéciaux actuels seront supprimés au 1er septembre 2023. Salariés de la RATP, de l'industrie électrique et gazière (IEG), de la Banque de France, du Conseil Économique Social et Environnemental, clercs et employés de notaire, vous serez désormais affiliés au régime général. Toutefois, tous les embauchés avant le 1er septembre continueront de bénéficier du régime spécial, conformément à la clause dite du “grand-père”.

Les petites pensions revalorisées

Une revalorisation attendue pour les salariés ayant eu une carrière complète et une activité à temps plein. Le minimum de la pension sera ainsi de 85 % du SMIC net (1200 euros environ). De plus, si vous partez à la retraite en septembre 2023 et bénéficiez d’une petite pension, celle-ci pourra être revalorisée jusqu’à 100 euros.

Un départ anticipé pour les carrières longues 

Une mesure vivement discutée et un dispositif finalement élargi. Réservée aux personnes ayant commencé à travailler avant 20 ans, la réforme autorise aussi celles ayant commencé à travailler avant 21 ans à partir plus tôt. 
→ Vous avez commencé à travailler avant 16 ans, vous partirez dès 58 ans ; entre 16 et 18 ans à 60 ans ; entre 18 et 20 ans à 62 ans ; avant 21 ans à 63 ans.

Une surcote pour les femmes

La réforme appliquera une surcote pour les mères de famille. Autrement dit, si vous avez cumulé les trimestres suffisants pour un départ à taux plein à 63 ans, vous ne serez pas obligés d’attendre encore un an pour partir à la retraite. Une surcote allant jusqu’à 5 % et réservée aux femmes ayant obtenu au moins un trimestre de majoration dans le cadre de la maternité, de l'adoption ou de l'éducation des enfants.

Une assurance vieillesse pour les aidants

Les aidants pourront obtenir des trimestres supplémentaires compte tenu de leur activité d’aidant. Cette mesure se calque sur le principe de l’assurance vieillesse  pour les parents au foyer.

 

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Les principales mesures rejetées de la réforme des retraites

“L’index sénior” obligatoire dans les grandes entreprises

La réforme souhaitait imposer aux entreprises de plus de 300 salariés de notifier leur taux d’emploi des séniors, ainsi que les actions menées pour l’encourager. La non-publication de ces indicateurs aurait été pénalisée à hauteur de 1% de la masse salariale. 

Le CDI sénior

Un contrat réservé aux plus de 60 ans était envisagé par la droite sénatoriale. L’idée était d’encourager l’emploi des séniors et d’exonérer les entreprises de cotisations familiales pendant 1 an. Un dispositif réservé aux chômeurs de longue durée et qui aurait été évalué en 2026 pour en mesurer les effets.

La création d’un fonds pour la pénibilité

Il était question d’instaurer un “fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle” à hauteur d’un milliard d’euros. Un fonds destiné à financer des actions de prévention pour les travailleurs aux conditions de travail difficiles.

Par le

 

Le plan d'épargne retraite (PER) vient de remporter tous les suffrages ! Avec ses 7 millions de titulaires et ses 80 Mds d'euros d'encours fin 2022, Bercy a confirmé le succès du PER dans son communiqué de presse du 25 mai dernier. Retour sur le produit phare de votre épargne retraite.

Success story du PER

Lancé en octobre 2019, le PER a remplacé les produits d'épargne retraite comme le PERP, le contrat Madelin, le Perco et le contrat "Article 83". Ces deniers n'étant plus commercialisés depuis octobre 2020. 

Trois ans après son lancement, le constat est simple : le déploiement du PER est un succès ! En effet, l'objectif initial était d'atteindre 3 millions de souscripteurs... là où 7 millions en bénéficient déjà à fin 2022. 

Le PER est un produit d'épargne "tunnel" à envisager sur le long terme qui vous offre une sortie en capital ou en rente au moment de votre retraite

Bon à savoir

Le PER est majoritairement délégué aux assureurs avec des fonds investis en Unités de compte (UC).

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Le PER : un produit d'épargne unique, simple et accessible 

L'objectif de la loi Pacte était de proposer aux Français un produit unique, simple et accessible :

  • un produit souple : des versements libres ou programmés avec des déblocages anticipés possibles (acquisition résidence principale, invalidité, expiration des droits au chômage...) ;
  • une épargne mieux investie : une gestion pilotée avec des perspectives de rendement intéressantes ;
  • une fiscalité attractive : vous pouvez en effet déduire vos versements volontaires de vos impôts ;
  • une sortie en capital ou en rente viagère. 

Le succès du PER concerne aussi bien les PER d'entreprise que les produits individuels.

À noter que plus le client est jeune lors de la souscription, plus les placements choisis sont risqués pour un rendement à long terme. La gestion étant pilotée, le capital final est garanti.  Le PER est ainsi le meilleur allié de votre préparation à la retraite.

Par le

 

L’entrée en vigueur de la réforme des retraites à la rentrée prochaine semble désormais inévitable. Le cas des assurés potentiellement éligibles au dispositif « carrière longue » a toutefois fait l’objet d’un amendement de coordination au Sénat. Celui-ci pourrait ainsi leur permettre d’échapper aux effets de la réforme et de prendre une retraite anticipée. Explications.

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Un amendement pour les assurés éligibles au dispositif « carrière longue »

Sur le principe, la réforme des retraites, qui fait toujours polémique actuellement, vise à reculer l’âge légal de départ à la retraite, et à rallonger la durée de cotisation pour les personnes nées après le 31 août 1961.

Toutefois, l’amendement de coordination adopté par le Sénat et validé par l’exécutif devrait accorder aux personnes nées en 1962 et 1963, et qui sont éligibles au dispositif de retraite anticipée « longue carrière », la possibilité de :

  • partir à la retraite avant l'âge légal, conformément aux règles actuelles ;
  • bénéficier d’une pension complète.

Elles peuvent ainsi échapper aux nouvelles dispositions prévues par la réforme.

Par conséquent, ceux qui ont commencé leur carrière avant l’âge de 16 ou 20 ans peuvent anticiper leur départ à la retraite respectivement de 4 ans ou de 2 ans.

Et dans la pratique ?

Pour l’heure, les assurés nés en 1962 ou 1963 qui peuvent bénéficier du dispositif de carrière longue ne pourront pas encore prendre de décision immédiate quant à leur départ en retraite anticipée. D’autant plus que l’amendement n’a pas précisé d’année ou de mois de naissance.

À ce titre, il n’existe pour l’instant aucune garantie de maintien du dispositif actuel de carrières longues pour ces générations. Ils devront donc patienter jusqu’à la parution du décret d’application traitant de leur cas après la promulgation de la réforme pour connaître les conditions définitives.

D’après le ministère du Travail, le gouvernement envisage également d’adopter une mesure pour éviter aux assurés nés en 1962 et 1963 de subir une minoration de leurs pensions avant l’entrée en vigueur de la réforme le 1er septembre prochain. Cependant, le sort des personnes nées après le 1er septembre 1963 reste encore flou.

Par le

 

En principe, la réforme qui fait actuellement l’objet d’une vive contestation, concerne l’ensemble du système de retraite en France. Par conséquent, elle aura des répercussions sur les « petites retraites », en particulier en ce qui concerne le mode de calcul avec la revalorisation du minimum contributif. Quant à la question de savoir si la pension minimale de 1 200 euros profitera à tous, celle-ci ne bénéficiera qu’à certaines catégories de retraités seulement.

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La retraite minimale : la situation actuelle

En France, des dispositifs de retraite minimale ont été mis en place dans l’objectif rehausser le montant global de la pension reversée aux seniors.
Ceux qui ont fait carrière dans le privé et en tant que travailleur indépendant, et qui relèvent donc du régime général de l’Assurance maladie, ont ainsi droit au minimum contributif (Mico) s’ils touchent une retraite de base avec le taux plein (y compris pour inaptitude au travail). Le Mico peut être majoré si l’assuré jouit d’une retraite à taux plein et compte plus de 120 trimestres cotisés.
 

Le minimum contributif est en principe plafonné si le retraité a également une retraite complémentaire en plus de sa retraite de base.

Du côté du secteur agricole, les retraités qui relèvent de la MSA (mutualité sociale agricole) peuvent, suivant leur statut, bénéficier :

  • du minimum contributif ;
  • de la pension de retraite minimale des agriculteurs ;
  • du complément différentiel de retraite complémentaire obligatoire.

Pour ceux qui ont fait carrière dans la fonction publique, le minimum garanti (MiGa) concerne les anciens fonctionnaires de l’État qui relèvent du SRE, ainsi que les travailleurs hospitaliers et les ex-employés territoriaux qui sont assurés par la CNRACL.

Bon à savoir

Le Mico, les retraites minimums des agriculteurs et le Miga peuvent bénéficier d’une majoration sous conditions. Et en cas de carrière incomplète, le MiCo sera évalué au prorata. Mais malgré ces dispositifs, les statistiques du Conseil d’orientation des retraites (COR) font état de 6,3 millions de retraités qui perçoivent une pension de moins de 1 100 euros. Et un tiers d’entre eux n’ont pas exercé une carrière complète.

La pension à 1 200 euros : pour qui ?

Une pension minimale de 1 200 € pour tous avait été évoquée dans le cadre de la réforme. Mais compte tenu des conditions fixées, seuls les futurs retraités qui auront justifié d’une carrière complète au SMIC ou validé un certain nombre requis de trimestres pourront percevoir ce montant.
De plus, les retraités ne toucheront pas les 1 200 € annoncés puisqu’il s’agit d’un montant brut qui fera encore l’objet d’une déduction au titre de la GSG (contribution sociale généralisée) et de la CRDS (contribution au remboursement de la dette sociale). À noter également que les pensions complémentaires seront prises en compte, mais elles sont largement inférieures au régime Agirc-Arrco.
Finalement, selon le ministre du Travail, Olivier Dussopt, sur les quelque 700 000 demandes annuelles de droit à la retraite du régime général Cnav, seules entre 10 000 et 20 000 personnes percevront effectivement une pension minimale de 1 200 € ou plus.

La revalorisation du Mico pour les futurs retraités

La réforme des retraites a cependant prévu une révision à la hausse du minimum contributif. Ce dernier sera de l’ordre de 709 euros (contre 684,13 € actuellement). La majoration pourrait, suivant les cas, atteindre 100 € pour ceux qui ont effectué une carrière complète et cotisé 120 trimestres.

Selon le gouvernement, environ 200 000 personnes, aux revenus modestes, qui vont prochainement partir à la retraite, pourront bénéficier d’un « boost » de 33 € mensuels sur leur pension.

La revalorisation du Mico de 1 € à 100 € concernera 1,8 million de personnes (700 000 hommes et 1,1 million de femmes). Plus de la moitié d’entre eux devraient en profiter automatiquement dès leur départ à la retraite d’ici septembre 2023.  

Par le

 

L’assurance décès est souvent souscrite par le chef de famille dans l’objectif de protéger ses proches s’il venait à disparaitre. Il lui appartient de définir la somme d’argent garantie à verser aux bénéficiaires, et les cotisations à verser devront être proportionnelles à celle-ci. À noter toutefois que l’âge et l’état de santé du souscripteur entrent également en compte dans le calcul des cotisations.

Les conditions de souscription d’une assurance décès

Avant d’accepter d’assurer une personne, l’assureur évalue le risque financier lié à son état de santé.

  • Pour un jeune de moins de 45 ans et qui ne souffre pas d’une quelconque pathologie, une simple attestation de bonne santé suffit.
  • En revanche, une personne plus âgée, dont l’état de santé est plutôt fragile, doit remplir un questionnaire médical détaillé, notamment si les garanties exigées sont élevées.
  • Celui qui a un souci de santé grave devrait même faire des examens médicaux.
  • Les personnes qui pratiquent des métiers dangereux ou des sports à risques font souvent face au refus d’assurance par les compagnies.
  • La conduite en état d’ivresse ou sans permis de conduire est également exclue des garanties.
  • D’autre part, les assureurs appliquent un délai de carence d’un an ou de deux ans en cas de suicide avéré du souscripteur.

Cotisations élevées pour les seniors et les fumeurs

Le montant des cotisations progresse avec l’âge. Ainsi, les seniors sont soumis à des cotisations jusqu’à 6 fois supérieures à celles des quadragénaires. Et à partir de 75 ans, si le souscripteur est toujours vivant, l’assureur est autorisé à conserver tout l’argent versé dans le contrat sans aucune contrepartie. Les bénéficiaires du contrat ne percevront à cet effet ni capital ni rente viagère.

Autre point à signaler, le tabagisme implique une surprime d’environ 25 %. Néanmoins, la rude concurrence sur le marché contraint les assureurs à proposer des offres plus attractives ciblant les fumeurs.

Quid de la fiscalité de l’assurance décès ?

La somme cumulée sur un contrat d’assurance décès est exonérée d’impôt sur le revenu. Les bénéficiaires ne sont pas non plus soumis aux droits de succession.

  • Toutefois, une taxe de 20 % est appliquée sur les versements effectués par le souscripteur au cours de l’année de son décès, si ce dernier disparait avant ses 70 ans.
  • Par ailleurs, si le décès survient après son 70e anniversaire, les versements sont soumis aux droits de succession.

À noter toutefois que si le bénéficiaire et le conjoint ou le partenaire pacsé, l’exonération d’impôt et de droits de succession s’applique dans les deux cas.

Par le

Aujourd'hui, les solutions d'épargne sont nombreuses, mais comment s'y retrouver ? Comment faire les bons choix ? Si votre premier réflexe est de consulter le web, il n'en reste pas moins que les meilleurs conseils sont ceux des experts. Le rôle de votre conseiller est dès lors primordial... découvrons ensemble quelles sont les attentes d'un épargnant en termes de conseil.

Notre enquête sur les produits et conseils en placement

Partenaire du magazine Challenges avec Speak33, nous avons réalisé une grande enquête fin 2022 pour mettre en lumière les meilleurs conseils en épargne. Ainsi, 36 assureurs, 14 banques et 12 acteurs en lignes ont été audités.

La règle du jeu était simple : observer le comportement de chacun en matière de conseil quant à une sollicitation d'un client sur la constitution de son épargne.

Ce qui fait toute la différence est bien entendu la qualité de la relation client
 
Préfon, acteur incontournable dans le paysage de la retraite des fonctionnaires, a ainsi remporté le label du meilleur conseil épargne 2022 pour la qualité de sa relation client.

L'occasion de revenir sur les essentiels de la relation client dans cette vidéo "10 minutes pour comprendre" et de découvrir les conseils du Président fondateur de Retraite.com, Ludovic Herschlikovitz.

 

Les attentes d'un épargnant en termes de conseils

Si votre premier réflexe est de chercher des informations en ligne, à savoir :

  • quels sont les placements les plus performants ? 
  • quels sont les frais appliqués ?
  • quel est le meilleur outil de simulation pour optimiser mon épargne ?

Votre quête sur le web vous amènera généralement au contact d'un conseiller. Et ce qui prime, c'est sa capacité à vous écouter, vous proposer les meilleures solutions en fonction de votre profil et vous démontrer toute son expertise.

Des compétences relationnelles

En tant qu'épargnants, vous êtes parfois (souvent) perdus face à la multitude des solutions d'épargne, alors quelles sont vos attentes ?

  • une capacité d'écoute : bien cibler vos besoins ; 
  • de l'empathie : comprendre vos freins et toutes vos interrogations ;
  • de la bienveillance : créer un contexte convivial et rassurant.

Une expertise 

Au-delà des compétences relationnelles et commerciales, votre conseiller est un expert dans son domaine. Il est donc à vos côtés pour vous faire bénéficier de toute son expérience :

  • maîtrise des produits ;
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