Retraite

 

 
Bien préparer sa retraite, c'est d'abord bien la comprendre ! En France, le système peut sembler complexe, d'autant plus depuis la réforme du 1ᵉʳ septembre 2023. Des principes de base à la composition de votre pension, en passant par le calcul de celle-ci, voici de quoi vous éclairer sur le sujet.

Les principes de base de la retraite

Les 5 piliers fondamentaux de la retraite en France

La retraite en France, c'est un système :

  1. obligatoire : la cotisation à un système de retraite est obligatoire en France dès lors que vous rentrez sur le marché du travail ;
  2. répartition : cela signifie que le montant total des cotisations versées chaque année sert à payer les pensions des retraités. Ce sont donc les cotisations des actifs qui financent les retraites actuelles ;
  3. dit « contributif » : la pension que vous recevrez à la retraite sera proportionnelle à vos revenus et à vos cotisations versées tout au long de votre carrière professionnelle ;
  4. à forte dimension sociale : ceux qui ne peuvent pas cotiser pour diverses raisons (chômage, maladie, congé maternité...) ont tout de même droit à la retraite pour ces périodes d’inactivité involontaire ;
  5. solidaire entre les groupes professionnels : la solidarité joue entre les différents régimes ou organismes de retraite. Elle permet de maintenir un niveau de retraite garanti à tous les assurés.
Ce qu'il faut retenir

Toute personne qui travaille est assurée de percevoir une pension de retraite. Il existe en France différents régimes organisés par catégorie professionnelle, les règles de calculs variant d'un régime à l'autre.

Qui gère ma retraite ?

En France, la retraite est gérée par des organismes différents, selon le statut professionnel.

Depuis la réforme des retraites, on dénombre 37 régimes de retraite, contre 42 auparavant. En effet, 5 régimes spéciaux ont été supprimés depuis le 1er septembre 2023.

Selon que vous êtes salarié, exploitant agricole, commerçant, artisan, fonctionnaire, profession libérale, vous dépendez d'un régime de retraite spécifique.

La majorité des assurés cotisent automatiquement à deux caisses de retraite :

  • une caisse de retraite de base ;
  • une caisse de retraite complémentaire obligatoire.

Chacune de ces deux caisses prélève des cotisations sur votre revenu. Quand vous arrivez à la retraite, chacune des deux vous verse alors une pension. Important : vous recevrez une pension de chacune des caisses à laquelle vous avez été affilié. Par exemple, si vous avez été salarié, puis artisan, vous recevrez quatre pensions : deux pensions de base et deux pensions complémentaires.

De quoi est composée ma retraite ?

S'il existe de nombreux régimes de retraite, en revanche, la composition d'une retraite est identique pour tous. Celle-ci est constituée de 3 niveaux :

  1. une retraite de base ;
  2. une retraite complémentaire ;
  3. une retraite supplémentaire représentée par votre épargne retraite.

 

Comment se constituer une retraite ?

La retraite obligatoire ne représente pas l'intégralité de votre salaire, loin de là... Alors il vous faudra anticiper cette perte de revenus, plus ou moins grande selon votre situation. Comment ? En vous constituant ce que l'on appelle une retraite supplémentaire grâce à de l'épargne retraite.

On distingue deux grandes catégories :

  • l'épargne retraite collective : il s'agit des produits d'épargne proposés par l'entreprise comme le PER d’entreprise collectif et qui est proposé en option aux salariés ou le PER d’entreprise obligatoire et dont le caractère est donc obligatoire pour tous les salariés ;
  • l'épargne retraite individuelle : il s'agit de tous les produits d'épargne destinés à se constituer une rente à la retraite, avec principalement des produits long terme comme l'assurance-vie ou le PER.

Les conditions nécessaires pour prendre sa retraite

Pour prendre sa retraite et donc « liquider sa pension », il est nécessaire de remplir 2 conditions :

  1. atteindre l'âge légal de départ à la retraite : 64 ans depuis la dernière réforme des retraites ;
  2. avoir cotisé le nombre de trimestres nécessaires, soit 172.

Si l’une ou l’autre de ces 2 conditions n'est pas remplie, vous ne pourrez pas prétendre à une retraite à taux plein.

Le cumul de plusieurs retraites

Une personne ayant eu plusieurs activités relevant de régimes de retraite différents de façon simultanée ou successive a droit à plusieurs retraites. Dans le cadre d’activités successives de nature différente, la personne cotise au régime correspondant à son activité et acquiert des droits à retraite qui se cumulent sans limitation.

À quel âge entamer une épargne d’assurance retraite complémentaire ?

Il est préférable de commencer à épargner le plus tôt possible, parce que se constituer un patrimoine demande du temps. Il n'y a pas de règles et chacun épargnera en fonction de ses phases de vie, de ses possibilités et de ses objectifs.
 
Les conseils de Retraite.com : commencer à y réfléchir entre 25 et 30 ans, épargner sérieusement à partir de 40 ans puis redéfinir ses priorités dès 50 ans.

Comment calculer sa retraite ?

Notre outil de simulation retraite gratuit permet d’obtenir une première estimation du montant de votre pension retraite sans attendre de recevoir votre relevé de carrière et son Estimation Indicative Globale (EIG) 

 

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Le site Info retraite permet de faire des simulations retraite à tout âge à partir des données connues de vos régimes.

 

 

 

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L’opération « Bien Chez Moi » consiste à proposer de l’ergothérapie aux retraités. Les caisses de retraite ont décidé de l’expérimenter dans deux régions supplémentaires. 

Les caisses de retraite (CNAV, RSI, MSA, AGIRC et ARRCO) se sont associées pour expérimenter le dispositif « Bien Chez Moi » afin d’aider les retraités âgés de plus de 75 ans à vivre dans le confort et en sécurité dans leur logement. Cette opération a été mise en place à l’initiative des caisses complémentaires Agirc et Arrco.

L’opération Bien Chez Moi

Les bénéficiaires de ce dispositif peuvent accéder à une prestation d’ergothérapie. Un spécialiste examine le logement de la personne âgée afin de lui prodiguer des conseils qui lui permettront d’adapter son lieu de résidence à ses aptitudes et à ses besoins. Des solutions pratiques et faciles à appliquer vont améliorer la qualité de vie et prolonger l’autonomie du retraité.

L’ergothérapeute aide les personnes âgées à prévenir les risques de chute en leur indiquant les travaux à réaliser pour que l’espace habitable soit mieux aménagé. Les retraités peuvent également apprendre des gestes ordinaires pour devenir plus autonomes.

Lorsque le spécialiste a visité le logement, il remet un rapport à la Caisse de retraite de la personne âgée. Les responsables de la caisse de retraite doivent ensuite l’orienter vers les professionnels qui peuvent les aider.

Un résultat positif de l’expérimentation

L’expérimentation a été effectuée en Bretagne, en Ile-de-France, en Rhône-Alpes et en Provence-Alpes-Côte d'Azur à partir de 2012. Les caisses de retraite sont satisfaites des résultats de l’opération : elles ont reçu plus de 2 000 demandes et 1 367 visites ont été réalisées.

Plus de 50 % des logements visités devaient être réaménagés selon les recommandations d’experts. 80 % des conseils prodigués ont été appliqués 4 mois après. Les bénéficiaires ont en moyenne entre 80 ans et 83 ans et 57 % d’entre eux sont des femmes.

Motivées par ce bilan, les caisses de retraite ont décidé d’étendre ce service dans deux autres régions. Ainsi, depuis le mois de septembre 2013, l’opération « Bien Chez Moi » est disponible en Aquitaine et dans la région Centre. Par ailleurs, un numéro de téléphone unique national a également été mis en place.

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La fiscalisation des majorations accordées aux retraités parents de trois enfants et plus va augmenter le montant des impôts de 42 % d’entre eux. Découvrez les détails de cette mesure applicable dès 2014.

Les majorations accordées aux retraités parents de trois enfants et plus seront fiscalisées à partir de l’année 2014. Ainsi, ce serait 5,8 millions de Français qui devront payer plus d’impôt dès l’année prochaine. Cette mesure incluse dans le Projet de loi de finances pour 2014 n’a pas été bien accueillie par les parlementaires de l’opposition parce qu’elle entrainerait la perte de plusieurs avantages pour les retraités.

Une mesure qui concerne les revenus perçus en 2013

Selon les évaluations préalables au Projet de loi de finances pour 2014, la fiscalisation des majorations de pension accordées aux parents de trois enfants et plus devrait toucher 42 % des retraités âgés de plus de 54 ans. Ce dispositif a été instauré par le gouvernement afin de réaliser des recettes et de couvrir le déficit de la Sécurité sociale, notamment celui des caisses de retraite.

Selon les spécialistes, les retraités qui profitent de cet avantage gagneraient un supplément de revenu moyen de 320 euros et le montant du bonus est de 89 euros par mois. Les hommes peuvent toucher 123 euros par mois et les femmes perçoivent 56 euros par mois en moyenne. Rappelons que ce bonus est proportionnel à la pension des retraités. En appliquant cette mesure aux revenus de l’année 2013, l’État réalisera une recette de 1,2 milliard.

Une disposition qui pénalisera les retraités exonérés d’impôt sur le revenu

Les élus de l’opposition ont vivement critiqué la fiscalisation des majorations de ces bonus en indiquant que les retraités qui sont actuellement exonérés d’impôt sur le revenu devront payer cette nouvelle redevance.

Cette disposition entrainerait également la perte d’autres avantages parce que certains retraités concernés devront aussi s’acquitter de la CSG, de la CRDS (Contribution pour le remboursement de la dette sociale), de la taxe d’habitation, de taxes sur l’AAH (allocation pour l’adulte handicapé) ou encore sur l’APL (aide personnalisée au logement). Pourtant, ils en sont actuellement exemptés.

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La nouvelle réforme des retraites qui est en cours d’adoption prévoit la fiscalisation du bonus de 10 % accordé aux parents ayant eu, adopté ou élevé trois enfants et plus. En revanche, cette portion de revenu est toujours exonérée de CSG et de CRDS.

Cette mesure sera effective dès le 1er janvier 2014 si le projet de loi est adopté en l’état avant la fin de l’année. Rappelons qu’elle assurera une recette de 1,2 milliard d’euros en 2014, de 1,3 milliard en 2020, de 1,5 milliard d’euros en 2030 et de 1,7 milliard en 2040.

Quelques informations sur le bonus pour les familles nombreuses

Cette majoration de 10 % est accordée aux parents d’au moins trois enfants qui cotisent auprès du régime général. Il faut noter que les assurés affiliés au régime des professions libérales (CNAVPL) ne sont pas concernés par ce bonus. Par contre, les agents de la fonction publique et les assurés qui cotisent auprès des régimes spéciaux perçoivent en plus une majoration de 5 % par enfant, après le troisième enfant. La fiscalisation de cette majoration ne s’appliquera pas aux 40 % de retraités non imposables.

L’impact de cette mesure sur la pension des retraités concernés

Les représentants du gouvernement ont indiqué que les couples de retraités qui touchent une pension mensuelle de 1 400 euros chacun devront payer un supplément d’impôt mensuel de 15 euros. Mais comme la hausse d’impôt est proportionnelle au taux marginal d’imposition, les retraités les plus aisés devront s’acquitter d’un montant plus élevé.

Des experts ont évalué la valeur de l’impôt sur les bonus pour les familles nombreuses à travers deux exemples concrets :

  •  Un couple de retraités, ayant trois enfants et percevant à eux deux un revenu net imposable de 29 808 euros par an (majoration de 10 % comprise), devrait s’acquitter d’un impôt annuel de 1 495 euros, contre 1 152 euros lorsque ce bonus n’est pas fiscalisé. Ils auraient donc 343 euros de plus à payer ;
  •  Pour un couple de retraités qui étaient cadres avec trois enfants et qui touchent en tout un revenu net imposable de 72 487 euros (majoration de 10 % comprise), le montant de l’impôt annuel serait de 12 522 euros contre 10 613 euros aujourd’hui. L’impôt supplémentaire à verser à partir de l’année prochaine s'élèverait, ainsi, à 1 909 euros, soit une hausse de 18 %.

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Les majorations familiales vont être imposables avec l’application de la nouvelle réforme des retraites. Retraite.com vous donne de plus amples informations sur l’imposition des majorations familiales.

Depuis la promulgation de la nouvelle réforme des retraites, les majorations familiales versées par tous les régimes de retraite obligatoires, les caisses complémentaires et le régime de la fonction publique sont imposables. Il s’agit des majorations accordées aux parents d’au moins trois enfants et des majorations pour enfants à charge perçues auprès de l’Arrco et de l’Agirc. Lorsque les bénéficiaires devront faire leur déclaration d’impôt pour l’année 2013, ces majorations devront être incluses dans le revenu imposable qui connaitra donc une hausse.

Le montant imposable vérifiable grâce au système d’information des caisses de retraite

Les caisses de retraite doivent communiquer aux responsables des impôts le montant des pensions qu’il faut déclarer pour chaque assuré : c’est pour cette raison que la somme est indiquée dans la partie pré-remplie de la déclaration fiscale. Ainsi, pour les pensions perçues au cours de l’année 2013 et déclarées en 2014, les majorations familiales seront déjà incluses.

Les responsables du régime général qui versent la retraite de base prennent le temps d’informer leurs assurés qui reçoivent par courrier le montant imposable de leur pension. Les personnes qui ont un compte individuel sur le site de lassuranceretraite.fr peuvent aussi se renseigner et faire des vérifications en ligne. Les caisses de retraite complémentaire envoient également un avis à leurs affiliés pour qu’ils puissent connaitre le montant qu’ils doivent déclarer sur les pensions qu’ils perçoivent de ses régimes.

L’imposition des majorations d’enfants à charge versées par l’Agirc et l’Arrco

Il faut savoir que les régimes complémentaires (Agirc/Arrco) accordent une majoration de 5 % pour chaque enfant encore à la charge du senior au moment de son départ à la retraite. Rappelons que l’enfant doit être âgé de moins de 18 ans ; s’il a entre 18 ans et 25 ans, il doit être étudiant, apprenti ou bien demandeur d’emploi inscrit à Pôle emploi et il ne doit pas toucher d’indemnité de chômage. 
Les enfants invalides sont toujours considérés comme des enfants à charge, quel que soit leur âge, si l’invalidité est survenue avant l’âge de 21 ans. Cette majoration sera également imposable à partir de la déclaration d’impôt pour l’année 2013.

Il faut noter que les majorations pour enfant à charge ne sont pas cumulables avec les majorations accordées aux parents d’au moins trois enfants pour les régimes complémentaires (Agirc/Arrco). Les assurés qui peuvent bénéficier de ces deux types de majoration, c’est la somme la plus avantageuse qui leur sera versée. Si le retraité touche une majoration pour enfant à charge, les responsables feront une comparaison avec les majorations pour parents d’au moins trois enfants à chaque fois que l’un de ses enfants devient indépendant.


La fiscalisation des majorations accordées aux retraités parents de trois enfants et plus va augmenter le montant des impôts pour 42 % d’entre eux. Découvrez les détails de cette mesure applicable dès 2014.

Les majorations accordées aux retraités parents de trois enfants et plus seront fiscalisées à partir de l’année 2014. Ainsi, ce serait 5,8 millions de Français qui devront payer plus d’impôt dès l’année prochaine. Cette mesure incluse dans le Projet de loi de finances pour 2014 n’a pas été bien accueillie par les parlementaires de l’opposition parce qu’elle entrainerait la perte de plusieurs avantages pour les retraités.

Une mesure qui concerne les revenus perçus en 2013

Selon les évaluations préalables au Projet de loi de finances pour 2014, la fiscalisation des majorations de pension accordées aux parents de trois enfants et plus devrait toucher 42 % des retraités âgés de plus de 54 ans. Ce dispositif a été instauré par le gouvernement afin de réaliser des recettes et de couvrir le déficit de la Sécurité sociale, notamment celui des caisses de retraite.

Selon les spécialistes, les retraités qui profitent de cet avantage gagneraient un supplément de revenu moyen de 320 euros et le montant du bonus est de 89 euros par mois. Les hommes peuvent toucher 123 euros par mois et les femmes perçoivent 56 euros par mois en moyenne. Rappelons que ce bonus est proportionnel à la pension des retraités. En appliquant cette mesure aux revenus de l’année 2013, l’État réalisera une recette de 1,2 milliard.

Une disposition qui pénalisera les retraités exonérés d’impôt sur le revenu

Les élus de l’opposition ont vivement critiqué la fiscalisation des majorations de ces bonus en indiquant que les retraités qui sont actuellement exonérés d’impôt sur le revenu devront payer cette nouvelle redevance.

Cette disposition entrainerait également la perte d’autres avantages parce que certains retraités concernés devront aussi s’acquitter de la CSG, de la CRDS (Contribution pour le remboursement de la dette sociale), de la taxe d’habitation, de taxes sur l’AAH (allocation pour l’adulte handicapé) ou encore sur l’APL (aide personnalisée au logement). Pourtant, ils en sont actuellement exemptés.

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La préparation de la retraite est la première préoccupation des Français. D'autant plus avec l'allongement de la durée de cotisation ! Passer de la vie active à la retraite n'est pas sans inquiéter la majorité d'entre vous. Et pour cause, votre pension sera diminuée de 20 à 30 %. Interrogés sur les placements à prioriser, vous êtes nombreux à plébisciter l'immobilier pour envisager une retraite plus confortable. 

La pierre, le meilleur investissement pour un complément de revenu à la retraite

Selon une enquête "Les Français, l'épargne et la retraite" réalisée en 2022 par le Cercle de l'Épargne, 72 % des Français épargnent pour leur retraite.

Les placements privilégiés ?

  • de loin l'immobilier à 48 % ;
  • l'assurance-vie ;
  • les produits d'épargne-retraite ;
  • les SCPI.

Investir dans un bien immobilier reste donc un objectif à réaliser pour tous les Français, ou presque. La première étape est sans aucun doute l’acquisition de la résidence principale, suivie de l’immobilier locatif. Dans un contexte anxiogène de crise sanitaire puis de réforme du système des retraites, devenir propriétaire, c'est l'assurance de plus de sécurité pour l'avenir.  Et c'est un excellent moyen pour se constituer un revenu supplémentaire. 

L'acquisition de la résidence principale pour préparer sa retraite

Acheter sa résidence principale, c'est se constituer un patrimoine et surtout un gage de sécurité pour la retraite. En effet, ne plus payer de loyer au moment de la retraite est un des avantages des propriétaires. Il s'agit bien de compenser la baisse de revenu liée à la pension de retraite.  Avoir un chez-soi entièrement payé avant le départ à la retraite est une préoccupation de moins puisqu’il n’est plus question de mensualités de crédit ni de loyer à payer. Investir dans l'immobilier pour préparer sa retraite est sans conteste une très bonne stratégie.

L'étude montre malheureusement que les ménages modestes peinent à épargner. Pour les actifs gagnant entre 1200 et 2000 € par mois, les inégalités sociales persistent puisqu'ils ne sont que 39 % à épargner pour leur retraite. 

A noter qu'avec l'augmentation des prix et des taux d'intérêt, il devient plus difficile d'accéder à la propriété. 

L’immobilier locatif comme complément de revenu

En plus de l’acquisition d’une résidence principale, les Français estiment que l’immobilier locatif est un bon, voire le meilleur investissement pour préparer la retraite. Le nombre de ménages qui possèdent un bien immobilier supplémentaire le prouve. En effet, 20 % des ménages sont propriétaires d’une résidence secondaire ou d’un bien mis à la location, soit 1 foyer sur 5. Les professions libérales sont ceux qui investissent le plus dans l’immobilier puisqu’ils sont près de 40 % à posséder un ou plusieurs biens en plus de leur résidence principale. Cette proportion est par ailleurs de 30 % chez les cadres.

 

Bon à savoir

Investir dans l'immobilier locatif permet de générer des revenus supplémentaires, mais représente aussi une solution de défiscalisation

Quelles solutions d'investissement ?

  • les programmes immobiliers neufs comme le dispositif Pinel, les résidences de services séniors ou étudiantes, la loi Girardin : l'objectif est de se constituer un patrimoine tout en profitant des avantages de défiscalisation accordés par l'Etat ;
  • l'acquisition de biens anciens pour louer vide ou en meublé (LMNP) ou encore bénéficier du dispositif Malraux.
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Les résidences de services seniors figurent parmi les actifs qui permettent de profiter d’une réduction d’impôt Censi-Bouvard. Les résidences de services seniors sont de plus en plus nombreuses dans les villes.

Les résidences de services seniors pour bénéficier d'une réduction d’impôt

Une étude récente de la société CBRE (spécialisée dans l’immobilier d’entreprise) a permis de savoir que 130 nouveaux établissements seront érigés d’ici 2018. Les résidences de services seniors sont des logements collectifs non médicalisés spécialement aménagés pour les personnes âgées. Ces actifs immobiliers permettent de profiter d’une réduction d’impôt Censi-Bouvard, comme les Ehpad et les résidences étudiantes. Il s’agit d’une opportunité intéressante pour les investisseurs intéressés par les placements immobiliers.

Une légère augmentation du nombre de résidences seniors au cours des 18 prochains mois

La société CBRE a indiqué que le nombre de résidences de services seniors va légèrement augmenter au cours des 18 prochains mois. Un ensemble de services (conciergerie, restaurant, piscine, bibliothèque, activités culturelles, cours, animations, etc.) sont proposés aux résidents de ces établissements, dont la plupart sont locataires, pour les aider à avoir une vie sociale.

Rappelons que ce genre de résidence est disponible depuis les années 1980. Il s’agit d’une option intéressante pour les personnes âgées valides et autonomes mais qui ne supportent plus l’isolement et la perte de vitalité. Les propriétaires ciblent surtout les seniors âgés de 75 ans à 84 ans.

Quelques informations sur le marché en France

Si cette activité demeure un marché de niche fiscale en France, elle connait un très bon essor en Grande-Bretagne.

Aujourd’hui, 45 000 logements en résidences services sont opérationnels dans l’Hexagone.

Ce marché, concentré et atomisé, compte quelque 115 exploitants actifs, dont 33 seulement s’occupent de plus de deux résidences. Domitys, opérateur leader sur le marché, détient près de 16 % du parc français avec près de 7 000 logements.

L’étude de CBRE a également permis de savoir que plus de 40 % des résidences appartiennent aux cinq premiers acteurs du marché. Comme ce secteur d’activité se développe actuellement plus rapidement, 130 nouveaux projets seront livrés d’ici la fin de l’année 2018 et porteront le nombre des résidences de services seniors disponibles en France à 78 000.

Ainsi, d’après la société CBRE, ce type d’investissement sera toujours rentable : en effet, la demande pour ces logements ne cesse d’augmenter avec le vieillissement de la population et l’amélioration de l’état de santé des personnes âgées. Par ailleurs, le modèle économique « promoteur-exploitant » optimise la gestion de ces établissements et leurs perspectives de développement.

Bien que ces actifs immobiliers ne présentent aucun marché secondaire, ces biens peuvent facilement être reconvertis en logements résidentiels classiques. Aucune modification, ni révision du plan local d’urbanisme ne sera alors indispensable. Ainsi, les investisseurs qui risquent d’être confrontés à des problèmes d’exploitation auront toujours une porte de sortie.

Un zoom sur la réduction d’impôt Censi-Bouvard

Rappelons que la loi Censi-Bouvard permet de bénéficier d’une réduction d’impôt de 11 % hors taxe sur le prix d’achat du bien immobilier jusqu’au 31 décembre 2017. Cette réduction est répartie sur neuf années et plafonnée à 300 000 euros d’investissement par an. Pour profiter de ce dispositif, le logement doit être loué en meublé pendant au moins neuf ans. Les loyers perçus sont catégorisés dans les bénéfices industriels et commerciaux (BIC) réalisés par un loueur en meublé non professionnel.

Cependant, il est fortement recommandé de rester vigilant dans le cadre de l’investissement en résidence de services : si les taux de rendement sont très intéressants (4,20 % en première couronne parisienne et 4,80 % dans les grandes villes régionales dans le cadre des investissements les plus lucratifs), les risques de défaillance de l’exploitant sont quand même élevés. Il faut également songer à l’éventuelle revente du bien en tenant compte de son emplacement : il est conseillé de privilégier les établissements construits en plein cœur des villes de taille moyenne.

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Vous souhaitez réaliser un investissement locatif grâce au dispositif de défiscalisation Pinel ? Découvrez tous ses avantages de la Loi Pinel, son fonctionnement et ses conditions d’obtention.S’ils souhaitent bénéficier de la défiscalisation « Pinel », les investisseurs doivent respecter un plafond de loyer et un plafond des ressources des locataires.

Comprendre l'investissement en loi Pinel

Lancé en 2014, la loi Pinel est un dispositif mis en place par l’État pour soutenir la construction immobilière neuve. Ainsi, et sous certaines conditions, les acheteurs investissant dans l’immobilier locatif neuf peuvent bénéficier d’une réduction d’impôts allant jusqu’à 63 000 € sur 12 ans. 

Les avantages de la Loi Pinel

Investir en Loi Pinel, c'est bénéficier de nombreux avantages : 

  • Bénéficier d’une réduction d’impôt 

la loi Pinel permet de bénéficier d'une défiscalisation importante sur une durée de 6 à 12 ans.  Pour en bénéficier, l’investisseur doit s’engager à louer son bien pendant 6, 9 ou 12 ans. À chaque durée correspond ensuite un pourcentage de réduction respectivement de  12 %, 18 % ou 21 %.  

  • Se constituer un patrimoine 

Investir dans la pierre en Pinel permet de vous constituer un patrimoine immobilier tout en réduisant votre assiette fiscale sur une durée de 6 à 12 ans.

  • Devenir propriétaire avec peu d’apport :

Dans certains cas, et selon votre profil, il est. possible d'investir en Loi Pinel avec très peu d'apports. Ainsi,le remboursement du crédit se fera en grande partie grâce aux loyers perçus et à la réduction d’impôts. 

Plafonds de loyer et de ressources des locataires en 2022

Ce dispositif fiscal dans le neuf devait initialement prendre fin au 31 décembre 2021, mais le gouvernement réfléchit à un ajustement pour une application pour les années 2022 et suivantes. La loi de finances pour 2021 devrait également modifier la liste des villes éligibles au dispositif PINEL à partir de 2022 avec notamment une modification du zonage au profit d’une meilleure territorialisation.

Actuellement, la loi PINEL est applicable dans les zones A, A bis et B1, découpant la France et les villes selon le niveau de tension locative.

Actuellement la France est découpée en 5 zones :

  • Zone A (éligible PINEL) : agglomération de Paris (dont zone A bis), la Côte d’Azur, la partie française de l’agglomération genevoise, certaines agglomérations et communes où les loyers et les prix des logements sont très élevés ;
  • Zone A bis (éligible PINEL) : comprend Paris et 76 communes des Yvelines, des Hauts-de-Seine, de Seine-St-Denis, du Val-de-Marne et du Val-d’Oise ;
  • Zone B1 (éligible PINEL) : comprend certaines grandes agglomérations dont les loyers et le prix des logements sont élevés, à savoir une partie de la grande couronne parisienne non située en zone A bis ou A, quelques villes chères, les départements d’Outre-Mer ;
  • Zone B2 : centres-villes de certaines grandes agglomérations, grande couronne autour de Paris non située en zone A bis, A et B1, certaines communes où les loyers et les prix des logements sont assez élevés, communes de Corse non situées en zones A ou B1 ;
  • Zone C : reste du territoire.

Des détails sur les plafonds en métropole en 2022

Pour bénéficier du dispositif Pinel, les baux contractés en France métropolitaine ne peuvent pas dépasser un tarif mensuel hors charge :
  • De 17,62 €/m² en zone A bis ;
  • De 13,09 €/m² en zone A ;
  • De 10,55 €/m² en zone B1 ;
  • De 9,17 €/m² en zone B2.

Plafonds de ressources

Afin de pouvoir bénéficier pleinement du dispositif Pinel, en métropole pour les baux conclus en 2020, les ressources des locataires ne doivent pas dépasser :

Composition du foyer locataire Zone A bis Zone A Zone B1 Zones B2 / C
Personne seule 38 465 € 38 465 € 31 352 € 28 217 €
Couple 57 489 € 57 489 € 41 868 € 37 681 €
Pers. seule ou couple ayant 1 pers. à charge 75 361 € 69 105 € 50 349 € 45 314 €
Pers. seule ou couple ayant 2 pers. à charge 89 976 € 82 776 € 60 783 € 54 705 €
Pers. seule ou couple ayant 3 pers. à charge 107 053 € 97 991 € 71 504 € 64 354 €
Pers. seule ou couple ayant 4 pers. à charge 120 463 € 110 271 € 80 584 € 72 526 €
Majoration par personne à charge supplémentaire + 13 421 € + 12 286 € + 8 990 € + 8 089 €

Taux de la réduction d’impôt

Le taux de réduction d’impôt est de

  • 12 % pour un engagement de six ans,
  • 18 % pour un engagement de neuf ans
  • 21 % pour un engagement de douze ans

Contact pour plus d'informations sur la Loi Pinel 

Notre partenaire Stradim, promoteur immobilier depuis 30 ans, se tient à votre disposition pour vous aider à mieux comprendre les avantages de la Loi Pinel.

 

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Objectifs de la loi Pinel Outre-mer

La loi Pinel Outre-mer propose une défiscalisation dans le cadre d'un investissement dans les départements d'Outre-mer ou les régions d'Outre-Mer.
La spécificité d'un investisssment "Pinel Outre-mer" est la défiscalisation importante accordée. L'objectif est de favoriser l'investissement immobilier dans des zones où la demande locative est importante.

Elle offre donc un avantage fiscal aux contribuables qui investissement dans un logement neuf (VEFA) pour le mettre en location. C'est un moyen d'encourager la construction de logements dans les les départements et territoires d’Outre-mer.

Principes de la Loi Pinel Outre-mer

La loi Pinel Outre-mer est entrée en vigueur le 1er septembre 2014 et a remplacé la loi Duflot Outre-mer.

Réduction d'impôt

La réduction d'impôt est de 23%, 29% ou 32% du montant de l’acquisition avec un plafond total de 300 000 € et de deux logements Pinel Outre-mer par an, en fonction de la durée de location. Cette dernière pouvant être de 6, 9 ou 12 ans. Par exemple : pour un bien de 300 000 euros, la réduction Pinel DOM-ROM (départements et régions d'Outre-mer) est de 87 000 €, répartie de manière linéaire et égale sur les 9 ans : 9 666€/an.

Conditions loi Pinel Outre-mer

Pour bénéficier des avantages fiscaux de la Loi Pinel Outre-mer, certaines conditions doivent être respectées :

Le logement acquis doit :
  • être acquis neuf, en état futur d'achèvement (VEFA) ou réhabilité.
  • bénéficier des dernières normes thermiques label RT 2012 (caractéristiques thermiques et performance énergétique)
  • être achevé dans les 30 mois après la date de signature de l’Acte Authentique.
  • être loué pendant 6 ans minimum (9 ans/12 ans possibles) en tant que résidence principale du locataire
  • être mis en location dans les 12 mois suivant la date d'achèvement de l'immeuble.
  • respecter le plafond de 5 500€ / m² de surface habitable, majorée des surfaces des varangues dans la limite de 14 m² par logement
  • être situé dans une zone Pinel éligible
  • respecter un plafond d'investissement dans les Dom-Rom de 300 000€ ou 11% revenu global.
  • respecter des plafonds de loyers et de ressources du locataire

Avantages de la loi Pinel Outre-mer

  • Le principal avantage de la Loi Pinel Outre-mer réside dans le plafond des niches fiscales augmenté à 18 000 € au lieu de 10 000€ pour les autres loi de défiscalisation 
  • Vous aurez également la possibilité de louer à vos ascendants et descendants (hors du foyer fiscal)
  • Vous pourrez reporter la réduction d’impôt au titre d’une année qui excède l’impôt dû au titre de cette même année, le solde de réduction d’impôt pouvant être imputé sur l’IR des années suivantes jusqu’à la 6ème année incluse.
  • Vous bénéficierez d'une réduction d'impôt plus élevée qu'en métropole (23%, 29% et 32%)
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L'avantage Fiscal de la loi Girardin 

Le dispositif Girardin permet aux investisseurs immobiliers l’acquisition d’appartements neufs ou de maisons neuves dans les départements et régions d’Outre-mer  jusqu’au 31 décembre 2017.

La loi Girardin, c’est la possibilité d’acheter un appartement près de la mer, tout en bénéficiant de revenus et de magistrales réductions d’impôt.

Qui peut bénéficier de la défiscalisation Girardin ?

Toutes les personnes physiques ayant leur domicile fiscal en France métropolitaine ou dans les DOM qui acquièrent, jusqu'au 31 décembre 2017, un logement neuf (ou en l’état futur d’achèvement)en Outre-mer mais dont le permis de construire à été obtenu avant 2013, peuvent bénéficier de la défiscalisation GIRARDIN et du taux de réduction d’impôt.

Bon à savoir :

Les investissements Outre-mer en Loi Girardin ne sont pas concernés par le plafonnement des niches fiscales à 10 000 € par foyer, mais continueront de bénéficier du plafond de 18 000 € (sans les 4 %). 

Exemple de déduction à Bora-Bora

Déduisez jusqu’à 18 000 € + 4% (de vos revenus) d’impôt par an !

Il est très difficile de trouver des petites surfaces sur Bora-Bora, les employés étant de ce fait disséminées dans l’île la plupart du temps à plus de 10 km des pontons des Hôtels.

Bénéficiez du plafonnement à 18 000 € + 4% pour l’Outre-mer, au lieu des 10 000 € de réduction d’impôt maximum pour la métropole mis en place depuis le 1er janvier dernier.

Le besoin en logement de la part des hôtels est tellement important que le programme a reçu une aide du gouvernement, un accord de la mairie pour vendre le terrain au promoteur.


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L’immobilier locatif gagne en popularité auprès des investisseurs. Outre sa rentabilité, cette option de placement présente plusieurs avantages, sur le plan fiscal et patrimonial. Toutefois, la précipitation est l’ennemi de l’investisseur immobilier. Une étude minutieuse préalable est nécessaire pour élaborer une stratégie adaptée et se prémunir de la vacance et des fluctuations des prix.

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L’investissement immobilier locatif, une réponse à des objectifs variés

L’investissement immobilier locatif séduit en raison de sa capacité à générer des revenus réguliers et pérennes grâce aux loyers perçus. Avec le temps, après le remboursement intégral d’un éventuel crédit souscrit pour financer l’acquisition du bien, les propriétaires disposeront d’un complément de revenu non négligeable à leur pension de retraite.

Quels sont les avantages de l'immobilier locatif ?

  • la possibilité d’enrichir son patrimoine et de le valoriser à long terme, et en cas de cession ultérieure de l’actif, de réaliser une plus-value importante qui s’ajoute aux recettes locatives ;
  • alléger son imposition grâce aux dispositifs de défiscalisation existants, tels que la loi Pinel, qui permet une réduction d’impôt pouvant atteindre 21 % selon la durée de l’engagement de location. Cet avantage devrait cependant diminuer à partir de 2025.

Une préparation minutieuse, la clé d’un investissement réussi

Pour tirer pleinement profit de son investissement locatif, une bonne préparation est indispensable. Elle implique une compréhension du marché local, notamment de l’importance de la demande et des attentes de la clientèle. Une croissance démographique soutenue, ainsi qu’une économie en bonne santé dans la ville et les communes limitrophes sont par exemple synonymes d’opportunités d’emploi et d’attractivité pour les candidats à la location.

Bien entendu, une analyse des loyers pratiqués sur le secteur est de mise pour s’assurer de pouvoir couvrir les charges associées (copropriété, entretien, impôt foncier, etc.), et bien évaluer le potentiel de rendement de l’investissement. En effet, ces frais annexes peuvent avoir un impact significatif sur le rendement net.

Celui-ci dépend par ailleurs largement de l’emplacement. Pour trouver rapidement preneur et fixer un loyer élevé, il faut privilégier un quartier agréable et sécurisé, proche des différentes commodités (transports en commun, des commerces, des écoles…). Ces facteurs s’ajoutent aux caractéristiques propres au logement.

Sans tomber dans la subjectivité, car le bien n’a pas vocation à être utilisé comme résidence principale, il convient de penser à la praticité et au confort des futurs occupants. Attention, donc, aux « coups de cœur », la localisation est d’une importance majeure.

Enfin, avant même d’entamer la recherche du bien idéal, il importe de réfléchir aux solutions de financement. Outre le prêt bancaire classique, il existe différentes options comme le prêt à taux zéro (PTZ), le prêt locatif social (PLS)… S’informer concernant les conditions d’accès et le taux de chacun d’entre eux est indispensable pour faire le bon choix et éviter de perdre du temps au moment de l’achat au risque de rater la maison ou l’appartement idéal. 

Gestion directe ou déléguée, que choisir ?

Le mode de gestion est le dernier point clé de la réflexion. S’en charger soi-même offre un contrôle total sur l’investissement, mais cette alternative n’est pas sans contraintes. En effet, elle exige des compétences techniques et juridiques liées à la location immobilière et s’avère souvent chronophage, car impliquant de nombreuses responsabilités. Le propriétaire doit notamment rechercher les locataires, gérer les relations avec ces derniers, superviser les travaux d’entretien et de réparation, etc.

Confier la gestion à une agence spécialisée présente donc un double avantage : elle permet aux propriétaires de se libérer des impératifs liés à la gestion quotidienne de leur bien tout en bénéficiant d’une expertise professionnelle. Cependant, ce service a un coût non négligeable qui doit être intégré au calcul de la rentabilité de l’investissement.

 

Bon à savoir

Alors que les réformes successives rognent sur les pensions de retraite, un placement dans l'immobilier est idéal pour préserver son pouvoir d’achat et vivre sereinement durant ses vieux jours. Il complète efficacement des dispositifs tels que l’assurance-vie, le plan épargne retraite (PER), ou encore le plan épargne action (PEA).

Par le

 
Investir dans l'immobilier a toujours été plébiscité par les Français pour préparer sa retraite. Mais avec la hausse des taux et le resserrement des conditions d'octroi du crédit, la question se pose de plus en plus. Est-ce toujours une bonne idée de choisir l'immobilier pour envisager une retraite plus confortable ?
 
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La pierre : une valeur sûre pour la retraite

C'est ce que révèle le baromètre Habitat - édition 2023 - une enquête réalisée par Harris Interactive : l'appétence immobilière est toujours là malgré un marché immobilier très bousculé !

En effet, entre la hausse des taux et les conditions d'accès au crédit, il devient difficile d'accéder à la propriété. Mais les Français ne renoncent pas :

  • 80 % des 18/34 ans interrogés déclarent l'accession à la propriété comme un objectif important ;
  • les projets de déménagement restent stables ;

Globalement, la propriété immobilière reste une valeur sûre et la majorité des Français estime que celle-ci apporte plus d'avantages que d'inconvénients.

L'immobilier est donc idéal pour préparer sa retraite.

L'acquisition de sa résidence principale

Acheter sa résidence principale a un double avantage : la constitution d'un patrimoine et un gage de sécurité pour la retraite. En effet, au moment de la retraite, le crédit engagé est souvent déjà remboursé et vous n'avez donc plus de charges : une façon de compenser la baisse de revenu liée à la pension de retraite

Le baromètre Habitat révèle d'ailleurs que les Français encore non-propriétaires de leur résidence principale (61 %) en font leur objectif à moyen terme.

À noter que l'idéal de propriété est la maison pour 3 Français sur 4 !

L'immobilier locatif pour compléter ses revenus

L’immobilier locatif représente un très bon investissement pour préparer la retraite. Le fonctionnement en est simple : grâce à un crédit immobilier, vous achetez un bien pour le louer. Et l'investissement est neutre puisque les loyers remboursent les échéances de prêt. 

En vue d’un complément de retraite, et sous réserve que le bien soit entièrement remboursé à l’âge de la retraite, cette solution permettra de recevoir des loyers réguliers pour compenser la perte de revenu liée au départ à la retraite. L'idéal est donc d'investir le plus tôt possible ! En cas de coup dur exceptionnel, le bien pourra être revendu en réalisant une éventuelle plus-value.

Bon à savoir

Investir dans l'immobilier locatif permet de générer des revenus supplémentaires, mais représente aussi une solution de défiscalisation. Certains programmes comme le dispositif Pinel permettent de bénéficier d'une réduction d'impôts.

Immobilier : un contexte moins favorable en 2023

Un marché immobilier en tension

Même si l'investissement immobilier reste une bonne idée pour préparer sa retraite, la conjoncture économique est moins favorable ces derniers temps. Les taux ayant grimpé, il devient beaucoup plus difficile d'accéder à la propriété. Dans le même temps, le prix des biens dans les grandes villes reste élevé.

Ces dix dernières années, les taux moyens se situaient en dessous de 3 %, voire 1 % en 2021 ! La capacité d'emprunt des ménages était alors confortable. Aujourd'hui, celle-ci a chuté face à des taux sur 20 ans qui dépassent 4 %.

Un accès au crédit plus difficile

En 2023, le nombre de prêts accordé a été divisé par deux ! À la flambée des taux d'intérêt s'ajoutent de nouvelles normes d'obtention des crédits. En effet, le Haut Conseil de Stabilité Financière (HCSF) impose désormais de limiter à 35 % (assurances comprises) le taux d'endettement des futurs acquéreurs. 

Quant aux banques, elles exigent au moins 10 % d'apport personnel.

Quelques bonnes pratiques pour obtenir son prêt immobilier :

  • optimisez vos placements : des déblocages anticipés sont prévus pour l'acquisition de la résidence principale si vous détenez un PEE ou un PER par exemple. D'où la nécessité d'épargner le plus tôt possible sur des supports adaptés ;
  • sollicitez des aides comme le prêt à l'accession sociale, le prêt patronal ou encore le prêt à taux zéro ;
  • remboursez en amont de votre projet tous les prêts à la consommation ;
  • négociez le taux de votre assurance emprunteur.

Les principales promotions 2025 pour l'ouverture d'un PER

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** Taux net de frais de gestion, hors prélèvements sociaux et fiscaux.

Les performances passées ne présagent pas des performances futures.

 

 

 

 

Par le

 

Pour un grand nombre de Français, le passage à la retraite est synonyme de baisse des revenus. Alors pour s'assurer une retraite plus confortable, il convient de bien se préparer pour en limiter l’impact sur son niveau de vie. Investir tôt dans l’immobilier locatif est une solution intéressante pour se dégager des revenus complémentaires. Mais où investir ? Quels sont les villes dans lesquelles les rendements sont les plus intéressants ? Voici le top 10 des villes où investir pour préparer sa retraite !

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1. Angers

C'est LA VILLE dans laquelle il faut investir en 2023 ! Plébiscitée pour sa qualité de vie, Angers a l'avantage d'être une ville moyenne où il fait bon vivre. On y observe une croissance forte dans l'investissement immobilier, surtout dans le neuf. En effet, on compte près de 21 % d'étudiants, ce qui rend le marché locatif pour les petites surfaces très actif.
De plus, la croissance de la population de ces dernières années encourage les projets de constructions et l'offre en Pinel y est intéressante.

 

La rentabilité moyenne est de 6%.

2.  Nantes

Plus particulièrement la périphérie de Nantes dans la mesure où la ville en elle-même a atteint son plafond. Rappelons que Nantes se situe à 45 minutes de l'océan et qu'elle est facile d'accès (TGV, Aéroport). Les villes à privilégier :

  • Saint Herblain ;
  • Rezé ;
  • Bouguenais ;
  • Les Sorinières.

En termes de rentabilité, la ville de Nantes est plafonnée autour de 4 ou 5 %, mais les villes en périphérie affichent des taux allant jusqu'à 7 %. 

3. Toulouse

La ville rose est attractive et vise la 3ᵉ place des métropoles françaises d'ici à 2025. Sa population est en forte croissance et avec ses plus de 500 000 habitants, la ville est en effet en train de rattraper Lyon ! Le dynamisme de Toulouse est lié au cadre de vie, aux infrastructures (aéroport, TGV) et à l'aéronautique.

La rentabilité intra-muros oscille entre 3 % et 8 %, quant aux villes périphériques, le rendement moyen est autour de 6%.

4. Bordeaux 

La région de Bordeaux reste un lieu de vie agréable : climat, population étudiante, infrastructures… Mais la ville fait désormais partie de celles dont les loyers sont encadrés. Ainsi, depuis juillet 2022, les baux sont revus à la baisse. Une contrainte supportée par les investisseurs qui voient leur rentabilité peiner autour de 3 %. Il faut donc plutôt investir dans les communes avoisinantes où les rendements affichés sont plutôt autour de 6 %.

5. Montpellier

Montpellier est également une ville française attractive dans laquelle vous n'aurez aucun risque de vacance ! La croissance démographique y est soutenue et les locataires s'enchainent. Là aussi, il s'agit d'une région dans laquelle il fait bon vivre : climat, plages, festivals, infrastructures… Du fait de sa situation géographique, Montpellier attire de nombreux étudiants et touristes. Les logements meublés et les programmes immobiliers neufs sont privilégiés, surtout à Port Marianne. 

Le rendement locatif moyen varie entre 5 % et 6 % selon les quartiers.

6. Lyon

Même configuration que Bordeaux : des loyers encadrés. Les prix d'achat sont en net recul et les logements en "passoire thermique"  subissent de fortes négociations. Les meilleurs investissements locatifs se font, eux aussi, en périphéries, dans des villes comme :

  • Tassin la demi-lune ;
  • Vénissieux ;
  • Villeurbanne.

Lyon et ses environ restent cependant très attractifs avec un marché de l'emploi confortable et une forte demande locative. Sa situation géographique est intéressante : à 2 h de Paris ou de Marseille en TGV et la proximité avec le massif Alpin.

Le rendement locatif est autour de 4 % ou 5 % pour Lyon, 6 % pour les villes alentour.

7. Le Mans

Une ville moyenne de province proche de Paris, qui offre un cadre de vie plus agréable. Depuis deux ans, Le Mans attire de plus en plus de monde et les prix de l'immobilier sont attractifs. De belles opportunités s'offrent à vous, mais le marché locatif reste encore fragile ; alors attention à la vacance locative.  

Le rendement locatif peut aller jusqu'à 9 %

8. Rennes

Point d'entrée de la Bretagne, la ville de Rennes a largement bénéficié de l'effet confinement. De nombreuses personnes ont décidé de quitter Paris pour s'y installer ! La Bretagne offre en effet un cadre de vie très agréable, avec un tissu économique et culturel très intéressant. Les prix de l'immobilier se stabilisent après une hausse de plus de 10 % en 2 ans !  Le marché locatif est actif, tant sur le neuf que l'ancien. De nombreux programmes sont éligibles au Pinel et le meublé étudiant est très prisé. Les appartements sont généralement loués très rapidement.

Le rendement locatif est l'un des plus intéressants en France : 8 % en 2022 

9. Strasbourg

Une grande ville qui offre malgré tout un cadre de vie agréable au cœur de l'Alsace. De nombreux projets immobiliers se développent et la demande y est forte. La ville de Strasbourg bénéficie d'un environnement économique dynamique. À noter que la ville n'est pas concernée par l'encadrement des loyers. 

Le rendement locatif oscille entre 3 % et 7% selon les quartiers.

 10. Brest

Après Rennes, la ville de Brest attire, elle aussi, les Français en quête d'une meilleure qualité de vie. Paris reste accessible en 4 h avec le TGV. Si les prix de l'immobilier ont "explosé" après le confinement, ils restent encore abordables et offrent de belles opportunités d'investissement.

Le rendement locatif est entre 6 % et 7 %

 

 

Par le

L'investissement dans la pierre à travers l’immobilier locatif reste un placement à privilégier pour préparer sa retraite à condition d'être déjà proprietaire de son logement. Les dispositifs d’investissements sont nombreux :

  • LMNP
  • Loi Pinel,
  • Loi Pinel Outre-Mer,
  • Loi Denormandie,
  • Démembrement en Nu Propriété,
  • Logement Ancien avec ou sans travaux de rénovation déductibles en Déficit Foncier,
  • Loi Malraux,
  • Monuments Historiques,
  • SCPI, 
  • etc…

Avantages de l'investissment locatifs

Dans tous les cas les avantages sont nombreux :

  • Effets de leviers grâce au financement bancaire financé par le loyer du locataire
  • Perception de revenus complémentaires réguliers
  • Possibilité de revendre  le bien avec une éventuelle plue-value à la clé
  • Possibilités de bénéficier d’avantages fiscaux 
  • Transmission assurée de son patrimoine
  • Des taux d’intérêts actuellement au plus bas
  • Une capacité d’épargne faible pour un rendement final très élevé

Exemples d'investissements locatifs avec 50€ 

Investissement locatif pour une épargne de 50€ / mois

Par le

Vous souhaitez vous lancer dans l’investissement locatif ? C'est en effet un excellent choix pour vous constituer un patrimoine et envisager un complément de revenus. Mais l'opération vous semble compliquée et vous êtes frileux à l'idée de faire les mauvais choix ? Retraite.com vous guide pas à pas pour que votre premier investissement locatif soit une réussite !

Bien définir son projet d'investissement locatif

C'est le point de départ d'un investissement réussi ! Quels que soient vos objectifs, vous devez soigneusement préparer votre projet et réfléchir à sa mise en œuvre. 

Faites-vous accompagner par un professionnel pour ne prendre aucun risque.

Quel objectif ?

  • commencer à se constituer un patrimoine : c'est le cas des jeunes actifs qui veulent placer astucieusement leur épargne. Là où l'épargne bancaire et l'épargne financière présentent soit trop de risques, soit trop peu d'intérêts... l'investissement immobilier locatif ne manque pas d'atouts. De plus, même avec un petit budget, il est possible d'investir dans le locatif puisque les loyers couvriront les échéances de prêt ;
  • initier une première opération dans la pierre : une façon de se familiariser avec l'environnement de l'immobilier ;
  • l'immobilier pour préparer sa retraite : une solution plébiscitée par une majorité de Français ! L'immobilier permet en effet de se constituer un complément de revenus idéal pour une retraite plus confortable ;
  • défiscaliser : il existe des programmes immobiliers spécifiques comme le dispositif Pinel ou l'acquisition de résidences de services, dont l'objectif est de proposer des avantages fiscaux.

Réaliser un investissement locatif avec un petit budget

Investir dans l'immobilier ne signifie pas nécessairement acheter une maison ou un appartement au titre de sa résidence principale. Pour les jeunes en début de carrière, notamment, l'acquisition de sa résidence principale est souvent complexe du fait de la cherté des biens. Il peut être préférable, dans un premier temps, de placer ses économies dans un logement à louer. Le rendement intéressant d’une telle opération permet de valoriser une petite capacité d'épargne et de disposer d’un patrimoine pour financer ultérieurement l’acquisition d’une maison ou d’un appartement où vivre et préparer sa retraite.

Souscrire un emprunt pour financer son 1er investissement locatif est la meilleure façon de se lancer. En effet, le taux d'intérêt du prêt est généralement inférieur au taux de rendement locatif. De plus, vous pouvez déduire les intérêts d'emprunt des loyers, ce qui diminue considérablement la base imposable. Enfin, un prêt immobilier étant presque toujours assorti d'une assurance décès à 100 %, l'opération est sécurisée. Si malheureusement, vous décédez en cours d'opération, votre famille est protégée, garde le bien et continue à percevoir des loyers.

L’accompagnement d’un courtier est conseillé pour obtenir des conditions avantageuses et monter un dossier solide.

Bon à savoir

L'investissement locatif est LE SEUL placement finançable par un crédit… Votre banque ne vous prêtera jamais pour souscrire des actions, par exemple.

La SCI (Société civile immobilière) constitue une alternative intéressante pour augmenter la capacité d’emprunt et devenir propriétaire à plusieurs d’un logement plus onéreux, mais avec un meilleur potentiel. La SCI offre également une fiscalité avantageuse. 

5 critères importants pour un investissement immobilier

Le premier investissement locatif est souvent appréhendé car il y a beaucoup de paramètres à maîtriser. Alors pour éviter que votre investissement ne se transforme en cauchemar, voici les 5 critères à observer.

1. Neuf ou ancien ?

Pourquoi choisir un logement neuf ? À l'achat, l'investissement est plus onéreux, mais les frais de notaires sont moindres. Comptez entre 7 et 8 % du prix de vente pour de l'ancien contre 3 ou 4 % pour du neuf.

Les avantages du neuf :

  • qualité de construction, matériaux plus économes en énergie et respectueux de l'environnement, respect des normes de performances énergétiques... Il n'y a ainsi pas de travaux de rénovation à prévoir ; 
  • certains programmes immobiliers offrent des avantages fiscaux ;

Les inconvénients du neuf :

  • des loyers plafonnés sur les dispositifs de défiscalisation ;
  • une moins-value possible à la revente.

Pourquoi choisir un logement ancien ?

Globalement, le charme de l'ancien est un critère de choix. L'offre dans les quartiers anciens et la proximité avec le cœur de ville y est aussi plus importante. Avec un bien ancien, les travaux sont déductibles d’impôts (sous réserve d’éviter les passoires thermiques, interdites à la location dès 2023) et le prix d’achat est moins élevé, ce qui accroît la rentabilité. Si le logement est déjà occupé, le prix diminue de 10 à 20 % et la banque apprécie le fait qu’un loyer soit déjà versé.

2. La localisation

Ce facteur est essentiel pour minimiser le risque de vacance locative. Il ne faut donc pas décider selon ses goûts, mais en fonction du marché. Les jeunes actifs, qui privilégient généralement les petites surfaces, doivent cibler les villes étudiantes ou celles où la demande est constituée principalement de célibataires et de jeunes couples.

Les besoins de ces potentiels locataires sont multiples : qualité de la vie, transports en commun, proximités des universités pour les étudiants, stationnement pour un couple véhiculé, commerces et autres commodités… Il convient également de se renseigner concernant la moyenne des loyers par quartier, l’évolution démographique, le taux d’emploi et de chômage, le niveau de salaire, etc.

3. Le régime fiscal

Le bien meublé (statut LMNP) est fiscalement plus intéressant que le nu avec un loyer majoré de 15 à 20 %. L’investisseur peut choisir le régime micro-Bic forfaitaire (imposition sur 50 % des loyers seulement) ou le régime réel applicable pour des recettes annuelles supérieures à 70 000 euros et qui permet de réduire l’assiette imposable par déduction des charges et des amortissements. Un bien nu est associé à deux régimes : abattement de 30 % forfaitaire ou régime réel sans possibilité d’amortissement.

4. Le rendement potentiel

Le rendement brut (ratio loyer annuel/prix du logement x 100) d’un investissement locatif en France oscille entre 3 et 6 %. Mais il faut tenir compte de tous les frais pour obtenir la rentabilité nette : taxe foncière, charges de copropriété et éventuels frais de gestion sont retirés du loyer, tandis que les frais de notaire, frais d’agence et coûts des travaux s’ajoutent au prix d’achat. Proposer une colocation en louant séparément les chambres permet par exemple d’augmenter les revenus.

Il faut aussi parfois choisir entre une vacance faible, mais un rendement moindre comme à Paris, ou une rentabilité élevée, mais qui peut chuter à cause d’un aléa dans une petite ville. Enfin, les rendements trop élevés peuvent cacher des problèmes (immeuble de qualité médiocre ou sans entretien, fort taux de vacance ou roulement important des locataires…).

5. La gestion du bien

En LMNP, la gestion locative est gérée à 100 % avec une garantie de loyer, ce qui évite d'avoir à gérer le bien, mais cela a un coût. Sinon, devenir un bailleur s’accompagne de nombreuses contraintes administratives en plus des visites, de la recherche de locataires, des menus travaux… en bref, la gestion du bien est chronophage. Et si l’on habite loin du logement, gérer les imprévus est complexe. ll est donc préférable de s’adresser à une société spécialisée pour être « tranquille ». Cette option a un coût : entre 3 % et 7 % des recettes locatives, déductibles des impôts.
En plus des charges et des vacances locatives, il faut tenir compte des éventuels travaux au départ, l’entretien normal ou en cas de sinistre. Cela nécessite alors de se constituer une provision.

 

Par le

Au cours d’une vie, de nombreux projets sont mis entre parenthèses, faute de temps. À la retraite, une plus grande disponibilité apparaît mais les moyens financiers des seniors baissent. Savez vous que vous pouvez regrouper et optimiser l'ensemble de vos crédits, même en tant que retraité ? Comment adapter ce nouveau budget aux projets à réaliser ?

Connaître sa nouvelle situation

Au moment de la retraite, le brusque changement de situation financière peut effrayer tant moralement que financièrement. Pour pallier cela, le mieux est d’anticiper !

Connaître parfaitement les changements à venir permet d’appréhender cette nouvelle période plus sereinement. Le passage à la retraite engendre une baisse du pouvoir d’achat. Les fins de mois sont plus compliquées qu’avant, les fêtes de fin d’années notamment deviennent une grande période de stress face aux sommes astronomiques à dépenser. A cela s’ajoutent les ennuis de santé liés à l’âge (dentaires, ophtalmologiques, etc.). En somme, une nouvelle manière de repenser son budget qui peut s’avérer compliquée si cela n’a pas été anticipé.
Avant tout, il est nécessaire de prendre du recul face à cette nouvelle situation.

Faire le point sur les projets

Les années passent et les projets s’accumulent. Des plus importants aux plus secondaires, les financer tous est souvent compliqué. Souscrire à un prêt semble être la solution pour les réaliser. Mais attention au risque de cumul des crédits ! La retraite est donc une opportunité pour faire le bilan de l'ensemble de vos crédits en cours :
Crédit immobilier, prêts à la consommation…Combien de temps reste-t-il encore pour les rembourser ? Toutes ces mensualités alourdissent le budget mensuel qui se retrouve déjà affaibli en cette période charnière.

Alors plutôt que de vivre des fins de mois plus que difficiles, pourquoi ne pas envisager d’autres solutions, notamment le rachat de crédits.

Le regroupement de crédits : envisageable pour les retraités ?

Regrouper ses crédits en un seul lorsqu’on prépare sa retraite pour ne payer qu’une mensualité plus adaptée, cela semble plus qu’intéressant.
Mais concrètement, quel est l'intérêt ?

  • Ne dépendre que d’un seul organisme pour des formalités simplifiées
  • Une seule mensualité dont le montant est adapté à vos nouvelles possibilités de remboursement
  • Un budget mensuel rééquilibré
  • La possibilité d’inclure à votre rachat de crédits une trésorerie pour vous aider à réaliser vos nouveaux projets
  • Une diminution du coût total des mensualités grâce à l’application d’un nouveau taux

Pour qui ?

Le rachat de prêts s’adresse aux seniors retraités possédant des crédits en cours. Quelques points importants :

  • L’âge limite de souscription dépend de chaque organisme mais en moyenne la fin de prêt peut s’étendre jusqu’à 90 ans.
  • Un propriétaire possède plus de garanties pour faire appel à un regroupement de crédits.
  • Grâce à son patrimoine immobilier il est le candidat idéal pour le rachat de crédits.
  • Certaines entreprises accordent même aux propriétaires un remboursement pouvant s’étendre jusqu’aux 95 ans du client.

Quel prix  ?

Des frais de dossier variables sont à prendre en compte. Ils dépendent de l’entreprise à laquelle vous ferez appel pour le rachat de vos crédits.
Ensuite, le montant unique de votre nouvelle mensualité sera fixé selon vos propres capacités de remboursement.
Une assurance emprunteur peut également faire l’objet d’un coût supplémentaire. Si celle-ci n’est pas obligatoire, il est toutefois vivement conseillé d’y souscrire pour faire face à tout éventuel problème.

Quels avantages ?

La retraite doit pouvoir être vécue sereinement. Le regroupement de crédits peut améliorer considérablement votre qualité de vie. Vous pourrez profiter pleinement de votre retraite sans penser à vos dettes et améliorer votre gestion de budget quotidienne.
Pour que votre énergie et vos pensées puissent se concentrer sur le principal : l’élaboration de vos nouveaux projets, vos futurs voyages, votre bien-être personnel et familial.

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Peut-on trouver un prêt immobilier adapté aux besoins et aux moyens financiers des souscripteurs de plus de 60 ans ? Découvrez les meilleurs conseils pour repérer l’offre de prêt immobilier qui convient aux plus de 60 ans.

Est-il possible de souscrire un prêt immobilier au-delà de 60 ans ?

Lorsque les personnes de plus de 60 ans subissent une réduction de revenus au moment du départ à la retraite, elles perdent leur crédibilité auprès de certaines banques qui refusent systématiquement leur demande de prêt.

De leur côté, certains établissements, en quête de nouveaux clients, ont étudié de près la situation financière des seniors à la retraite : bien que leur revenu ait diminué, les seniors n’ont souvent plus d’enfant à charge et leurs dépenses sont largement plus faibles que celles des ménages d’actifs.

D’ailleurs, elles constituent une clientèle régulière pour de nombreux professionnels (voyages, shopping, salles de sport, etc.). L’âge ne constitue pas l’unique critère pris en compte pour évaluer la solvabilité des souscripteurs. Découvrez les démarches à entreprendre pour obtenir un prêt immobilier au-delà de 60 ans.

Déterminer ses besoins et évaluer ses moyens financiers

Avant de trouver une offre adaptée à ses besoins, il est fortement recommandé de bien définir ses besoins :

  • Quel type de bien immobilier ?
  • Dans quel quartier, ville, région ?
  • À quel prix ?
  • Des travaux seront-ils encore nécessaires ?
  • Quelle durée de remboursement ?

Consultez les différentes offres de prêts immobiliers disponibles sur le marché

Pour trouver le prêt immobilier idéal, il faut penser à comparer plusieurs offres : il est recommandé de demander des simulations personnalisées auprès des établissements bancaires afin de disposer d’un document qui présente le montant du prêt, la durée de remboursement, les frais divers, le coût total et le Taux Effectif Global (TEG). Parfois, dans le cadre de campagnes marketing, les professionnels du secteur peuvent afficher des tarifs promotionnels : si vous savez faire jouer la concurrence en citant les avantages qui vous seront accordés auprès d’autres organismes, vous pourriez bénéficier d’un taux plus intéressant.

Aujourd’hui, la plupart des établissements bancaires en ligne proposent aussi des prêts immobiliers. Cependant, les choses ont changé : si au début de leurs activités ils affichaient des taux imbattables, actuellement, ils ne sont plus forcément les plus bas du marché, même si vous avez constitué un dossier très convaincant. Les agents en charge de votre dossier répondront très rapidement à vos demandes de comparatifs, mais de nombreux justificatifs vous seront également demandés pour mieux étudier votre profil et vos capacités d’endettement. Si vous avez un profil ou une situation financière atypique, les établissements qui ne veulent pas courir de risque ne financeront pas votre projet. Il existe, bien entendu, des organismes qui présentent des offres très intéressantes.

Les courtiers en prêt immobilier proposent un service personnalisé en ligne : ils cherchent pour chaque client le prêt immobilier le plus adapté à son profil. Comme ils connaissent bien le marché et qu’ils maitrisent les techniques de négociation les plus efficaces, ils peuvent trouver la meilleure solution pour aider un particulier à réaliser son projet, quel que soit son profil. Certains professionnels ont des agences physiques dans certaines villes de France pour mettre à la disposition des clients un conseiller avisé.

Cette alternative est sans doute la meilleure pour les personnes de plus de 60 ans. En plus, les services prodigués en ligne sont gratuits pour les particuliers parce que les courtiers en ligne sont rémunérés par les banques qui acquièrent des marchés, grâce à leur intervention. Il faut seulement s'assurer que le courtier de votre choix soit totalement indépendant et qu’il ne favorise aucune banque.

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Principe

La location en meublé s’oppose à la location nue d’un bien. Cet ameublement de fait change tout son statut fiscal car un appartement loué aménagé obéit au régime particulier de la « location en meublé ».


On parle de location en meublé professionnel (LMP) lorsque le loueur retire de cette activité plus de 23 000 euros par an ou au moins 50% de ses revenus.

A contrario les non professionnels sont ceux qui, même si'ls se sont inscrits au registre du commerce et des sociétés en qualité de loueur en meublé professionnel, réalisent un montant de recettes annuelles inférieur ou égal à 23 000 euros et moins de 50% de leur revenu global.

Montant des recettes
de la location en meublé


Inscription au RCS nécessaire Pas d’inscription au RCS

Recettes > 23 000 euros

LMP

LMNP

Recettes < 23 000 euros et revenus des meublés < aux autres revenus

LMNP

LMNP

Recettes < 23 000 euros et revenus des meublés > aux autres revenus

LMP

LMNP


Le montant des 23 000 € s’entend du total des loyers taxes comprises, et les 50% des revenus locatifs sont pris par comparaison aux revenus nets catégoriels.

Bon à savoir : L'activité de chambre d'hôtes relève du régime fiscal de la para-hôtellerie, et non de celui de la location meublée.

Avantages du LMP et LMNP

Le choix du régime a un intérêt en matière de déficit, TVA, plus ou moins-values, taxes professionnelles.

Quelques conseils sur l'investissements LMNP

A - Le régime des déficits diffère selon qu’il s’agit du statut de loueur professionnel ou non

Les déficits subits par les loueurs en meublé non professionnels sont imputables sur les bénéfices provenant de l'ensemble des activités non professionnelles imposables dans la catégorie des BIC.

Les loueurs professionnels peuvent imputer les déficits sur le revenu global à la condition qu'ils ne proviennent pas d'amortissements exclus des charges déductibles.

B - Le régime de la TVA ne s’applique pas par principe aux locations en meublé :

La TVA que l’on retrouve lors de la vente, les biens sont vendus TTC  feront l’objet de remboursement ultérieur.

Dans les cas suivants, la TVA s’applique :
  • Prestations d’hébergement fournies dans les hôtels de tourisme classés
  • Prestations d’hébergement dans les villages de vacances classés ou agréés
  • Prestations d’hébergement fournies dans les résidences de tourisme classées lorsque celle-ci sont destinées à l’hébergement des touristes et sont louées par un contrat d’une durée d’au moins neuf ans à un exploitant ayant souscrit un engagement de promotion touristique à l’étranger sous certaines conditions.
  • Prestations de mise à disposition d'un local meublé ou garni effectuées à titre onéreux et de manière habituelle comportant en sus de l'hébergement au moins trois des prestations suivantes, rendues dans des conditions similaires à celles proposées par les établissements d'hébergement à caratère hôtelier exploités de manière professionelle : le petit déjeuner, le nettoyage régulier des locaux, la fourniture de linge de maison et la réception même non personnalisée de la clientèle.
  • Les locations de locaux nus, meublés ou garnis consenties par bail commercial à l’exploitant d’un établissement d’hébergement entrant dans l’une des 4 catégories ci-dessous : hôtels de préfecture, certaines résidences de 3ème âge et maisons de retraite, pensions de famille, maisons de vacances, homes d’enfant et gîtes ruraux
  • Prestations d’hébergement fournies dans les villages résidentiels de tourisme lorsque ceux-ci sont destinés à l’hébergement de touristes et qu’ils sont loués pour une durée d’au moins neuf ans à un exploitant. Ces résidences s’inscrivent dans une opération de réhabilitation de l’immobilier de loisirs.

C – Plus-values 

Les plus-values des loueurs professionnels sont exonérées totalement à condition que l’activité soit exercée depuis au moins cinq ans et que les recettes tirées de la location des deux années précédentes n’excèdent pas 250 000 euros (exonération partielle au-delà de 350 000 euros).

Si l’une des conditions manque, c’est le régime des plus ou moins-values professionnelles qui s’applique :



Plus-values professionnelles

Moins-values professionnelles

Court terme

La plus-value nette est soumise à une imposition de droit commun, les entreprises pouvant demander que l’imposition soit étalée sur 3 ans.

La moins-value nette s’impute sur les bénéfices d’exploitation

Long terme

La plus-value immobilière à compter du 1/1/6 sont imposées après un abattement de 10% par an au-delà de la 5ème – donc exonérée après 15 ans de détention

Imputées sur les plus-values à long terme sur les dix exercices suivants.

Les plus-values et moins-values réalisées par les loueurs non professionnels relèvent des plus-values privées. La plus-value est imposée aux taux normaux sauf abattement de 10% au-delà de la 5ème année. Donc au-delà de 15 ans les immeubles sont en principe totalement exonérés.

Précision : les résidences principales sont exonérées d'impôt sur les plus-values.

Remarque : les personnes physiques ou morales qui ne sont soumises à aucun des cas précédents sont obligatoirement exonérées sans faculté d’option.

D – Taxe professionnelle

Les loueurs en meublé y sont soumis sauf si la location est en relation avec leur habitation principale.

E – ISF

Le régime est très intéressant pour les professionnels  (loueur en meublé professionnel) car le bien est exclu du champ d’application de l’ISF si :
  • la personne est inscrite au RCS en tant que loueur professionnel
  • réalise plus de 23 000 euros de revenus
  • retire de cette activité plus de 50% de ses revenus

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Les évolutions macroéconomiques des derniers mois avec notamment la remontée des taux et l'inflation  ont bouleversé les stratégies d’investissement des Français. C'est notamment le cas du Livret d'épargne qui bénéficie à plein régime du retour de l'inflation. Le marché voit également proposer des offres promotionnelles avec des taux boostés de 3 % sur 4 mois. C'est le cas de la Banque en ligne Fortuneo qui propose  pour une toute première ouverture du "Livret +"  un taux boosté à 3% pendant 4 mois jusqu'au 15 mars 2023.

En savoir plus sur le Livret + de Fortuneo 

Livret +, c'est le livret d'épargne de la banque en ligne Fortuneo. Ce livret sécurisé et sans frais propose une offre de bienvenue à ses nouveaux clients : pour une première souscription du livret entre le 16 janvier et le 15 mars 2023, benéficiez d'un taux boosté à 3% brut pendant les 4 premiers mois puis 0,50% brut.

La bonification de 3% brut pendant les 4 premiers mois est valable jusqu'à 100 000 euros à l'instar du Livret d'épargne "classique" plafonné à 22 950€. 

OUVRIR UN LIVRET+ chez Fortuneo 

Le Livret + est accessible dès 10 euros, mais nécessite l'ouverture d'un compte bancaire « technique », obligatoire pour approvisionner le livret : en effet, les versements sont ainsi réalisés depuis ce compte par chèque, virement ou carte bancaire. Les retraits doivent également passer par l'intermédiaire de ce compte, avant de pouvoir réaliser un virement vers une autre banque.

Fortuneo mise ici sur le 0 frais pour son livret : de l'ouverture, à la clôture en passant par la gestion. Comme tous les produits et services de Fortuneo, le Livret + se gère uniquement en ligne. Attention toutefois, les intérêts du livret, calculés par quinzaine, sont soumis aux prélèvements fiscaux et sociaux.

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Le Livret + est réservé aux personnes physiques majeures, soit sous forme de compte individuel ou de compte joint. Toutefois, une même personne ne peut être titulaire que d'un seul Livret +. Le livret +  est un livret d’épargne fiscalisé. Les intérêts perçus sont imposables sur le revenu. La fiscalité des livrets épargne est simple, via la Flat Tax. Vous pouvez néanmoins opter pour l’imposition de vos intérêts sur le revenu, si cela vous est favorable. Dans tous les cas, les prélèvements sociaux s’appliquent.

En savoir plus sur Fortuneo

Fortuneo, acteur majeur historique de la bourse en ligne en France, propose depuis le début 2009 également des solutions de placement épargne sans risque de perte pour le capital. Ainsi, en complément du livret A, du LDDS, Fortuneo propose son propre livret épargne : le livret plus. Fortuneo propose également la version du livret + pour les enfants jusqu'à 12 ans.

 

Par le

Pour aider les personnes aux revenus modestes à maintenir leur pouvoir d’achat avec un placement garanti, l’Etat a créé en 1982 le livret d’épargne populaire ou LEP. Les foyers les plus modestes peuvent ainsi ouvrir un compte sur livret pour protéger leurs économies contre la hausse des prix. en revanche, ce LEP est plafonné. Afin de garder une disponibilité forte de son épargne et dans un contexte de rémunération faible, le Livret d'épargne Classique reste une option a ne pas négliger.

Les meilleurs Livrets d'épargne en 2021

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Plafonds de revenus selon la situation familiale 

Pour l’ouverture d’un compte, l’épargnant doit fournir un avis d’imposition de l’année précédente afin que l’établissement bancaire puisse vérifier le montant de son revenu fiscal de référence. Ce dernier ne doit pas dépasser une certaine limite ou un plafond fixé par la loi. En général, un contribuable ne peut ouvrir qu’un seul LEP, mais un foyer fiscal peut en détenir deux s’il est composé d’un couple marié ou pacsé.
 

 Quotient familial   Plafonds de revenus  2018
 Métropole  Martinique, Guadeloupe, La Réunion  Guyane  Mayotte
 1 part  19 468 €  23 037 €  24 084 €  36 094 €
 1,5 part  24 665 €  28 485 €  30 649 €  45 927 €
 2 parts  29 863 €  33 632 €  35 795 €  53 637 €
 2,5 parts  35 061 €  38 778 €  40 941 €  61 346 €
 3 parts  40 258 €  43 924 €  46 088 €  69 056 €
 3,5 parts  45 456 €  49 070 €  51 234 €  76 765 €
 4 parts  50 654 €  54 216 €  56 380 €  84 474 €
 Demi-part supplémentaire  5 198 €      

Versement, capital, taux de rémunération et fiscalité

Le versement initial minimum pour un LEP est de 30 € tandis que le montant sur le compte ne doit pas dépasser les 7 700 €. Ce plafond de versement ne tient cependant pas compte de la capitalisation des intérêts. Concernant le taux de rémunération, il est de 1,25% par an. En principe, ce taux d’intérêt du LEP restera en vigueur jusqu’au 31 janvier 2020. Il incombe à l’Etat de fixer ce taux de rémunération. En général, il est égal au taux du Livret A auquel s’ajoute une majoration.
Par ailleurs, le capital constitué reste disponible. Ainsi, l’épargnant peut effectuer des retraits sur son compte comme bon lui semble en veillant toutefois à ce que le solde reste créditeur.
En outre, les intérêts produits par un placement sur LEP sont exonérés d’impôts sur le revenu et  de prélèvements sociaux. Ces intérêts sont calculés en principe par quinzaine, c'est-à-dire le 1er et le 16  de chaque mois. Puis, les intérêts cumulés sur l’année sont versés chaque 31 décembre.

Clôture du LEP

Afin de conserver le LEP, l’épargnant doit justifier auprès de l’établissement financier qu’il remplit toujours les conditions pour détenir un compte. Pour ce faire, il doit fournir chaque année son avis d'imposition. Dans le cas où son revenu fiscal de référence dépasse le plafond établi, il doit clôturer le livret au plus tard le 31 mars de l'année suivante. Par contre, si l’épargnant ne produit pas le justificatif annuel demandé, la clôture du compte incombe à l’établissement bancaire (à la date mentionnée un peu plus haut).
 
Remarque :
  • Grâce à la tolérance d’un an et 3 mois légalement établie, le titulaire d’un compte peut le conserver si son avis d’imposition de l’année « n-1 »démontre qu’il ne remplit plus les conditions de revenus exigées mais que son avis d’imposition de l’année « n » montre qu’il est à nouveau éligible pour détenir un LEP.
  • Lors de l’entrée en vigueur du « plafond de revenus selon la situation familiale » en 2014, une période transitoire de 4 ans a été mise en place. De ce fait, les détenteurs d’un LEP à cette période ont pu le conserver  jusqu’en 2017 sans fournir de justificatif de revenus.
Dans le cas où, sur une période de 5 ans, aucune opération (dépôt ou retrait) n’a été réalisée sur un compte, ce dernier est considéré comme inactif. L’organisme financier qui gère ledit compte doit en informer le titulaire tous les ans. Si l’épargnant (ou un de ses ayants-droits) ne s’est manifesté au bout de 10 ans, les fonds disponibles sur ce compte sont transférés à la Caisse des dépôts et consignations (CDC). Cette dernière a pour mission de garder ces fonds durant 20 ans si aucune réclamation n’a été faite par le titulaire ou par un de ses proches. A la fin de ce délai, l’argent revient définitivement à l’Etat.

Par le

 
Aujourd'hui, dans un environnement financier de plus en plus complexe et face aux nombreux acteurs de l'épargne sur le marché, pas toujours facile de faire des choix éclairés. Comment obtenir des conseils justes et avisés ?  Une question qui a fait tout l'objet de l'étude menée par le magazine Challenges, le fondateur de Retraite.com et Speak 33. La qualité de la relation client de 65 établissements financiers a ainsi été testée pour récompenser les 25 meilleurs ! Découvrez nos lauréats du Meilleur Conseil Épargne 2024.
 

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La méthodologie de notre étude du Meilleur Conseil Épargne 2024

Pour sa troisième édition, le Label du Meilleur Conseil Épargne, c'est 65 acteurs de l'épargne audités dans 4 catégories (banques, assureurs, mutuelles et gestionnaires spécialisés), 87 critères, 300 entretiens téléphoniques.

Nos objectifs ?

  • éclairer le consommateur : une synthèse claire et avisée des meilleurs conseillers pour leur épargne en dehors des performances des produits ;
  • décrypter les parcours digitaux et téléphoniques : une sélection des meilleurs acteurs notés sur + de 80 critères au travers de leur proposition d'expérience client à la fois sur l’approche digitale et l’approche téléphonique ;
  • auditer les meilleurs services épargne : 65 acteurs de l’épargne analysés pour récompenser les meilleurs du marché sur leur service commercial ;
  • accompagner les acteurs vers l’excellence : valoriser les acteurs performants avec le label et accompagner les directions dans l’efficience de leur parcours clients patrimoniaux.

L'audit a été réalisé avec notre partenaire Speak33 autour d'une approche digitale (30 % de la note) et téléphonique (70 % de la note).

Une approche digitale pour 30 % de la note

Pour cette partie digitale, une analyse approfondie du parcours client a été menée : analyse du SEO, du chat live, du chatbot, de la présence sur les réseaux sociaux et de l’accessibilité des différentes informations (produit, mise en relation, documentation produit et outils d’aide à la décision).

Dans les outils d'aide à la vente, une note est attribuée pour :

  • la présence de simulateurs : épargne, retraite, impôts ;
  • la présentation des produits en vidéo.

Un accent a été mis également sur la présence d'une solution d'accessibilité numérique en cas de handicap car très peu d'acteurs la propose.

👉 Nouveautés 2024 :

  • la présence d'avis clients ;
  • l'existence d'une application mobile.

Une approche téléphonique pour 70 % de la note

Pour la partie téléphonique, une analyse approfondie du contact téléphonique a été menée : options de mise en relation, étapes en amont et lors de l’entretien conseiller ainsi que des actions de suivi post-entretien.

La notation de cet entretien tient compte de la qualité du savoir-faire mais également du savoir-être, d'une pédagogie proactive ainsi que de l'information apportée en terme de règlementation. 

👉 Pour cela, trois appels mystères (deux appels sortants et une demande de rappel) ont été réalisés avec des profils d'épargnants différents souhaitant placer 15k€, 45k€ et 100k€.

La nouveauté 2024 est la création de ce 3ᵉ profil mystère haut de gamme.

Lors de l'entretien avec le conseiller, des points de vigilance ont été observés, tant sur le fond que sur la forme. 

Sur le fond :

  • La phase de découverte a-t-elle été bien menée ? Le besoin a-t-il été clairement défini et reformulé ?
  • les différents produits financiers ont-ils été bien présentés ?
  • la transparence quant aux frais et performances a-t-elle été affichée ?
  • le conseiller s'est-il bien positionné sur du conseil et de l'information ?
  • la transparence du contrat en termes d’engagement et de résiliation ;
  • la notion de "réassurance" : notoriété de l'entité (trophées, récompenses...) ;
  • une proposition commerciale avec rappel de l'objectif client ;
  • détails et explications de la fiscalité des supports choisis ;
  • rappel des étapes ACPR : devoir de conseil, présentation du produit, envoi des infos précontractuelles…
  • proposition d'un second rendez-vous ;
  • proposition d'un envoi d'email avec une documentation et un récapitulatif de l'échange.

Sur la forme, il s'agissait d'observer la politesse, la présentation, le rappel des mentions CNIL et RGPD, tout autant que l'accessibilité du discours et la posture adoptée.

Bon à savoir

L'ACPR est l'Autorité de contrôle prudentiel et de résolution : une autorité administrative rattachée à la Banque de France, chargée de la surveillance des banques et des assurances.

Les tendances générales des meilleurs acteurs du marché

Une volonté commune de toucher un public toujours plus jeune, exigeant, averti et mobile.

Voici ce que l'analyse des différents acteurs a montré quant à l'utilisation des outils :

  • le chat live reste l'outil privilégié des acteurs faisant un trait d'union entre les agences physiques et les solutions en ligne ;
  • les chatbots (machine) restent pour leur part encore peu utilisés et souvent peu efficients. L’IA se développe et va bientôt proposer des solutions efficaces et adaptées au marché
  • les simulateurs d’épargne plaisent et sont fréquemment utilisés, quelle que soit la catégorie ;
  • encore trop peu de vidéos : un format qui simplifie la lecture et la compréhension...et qui plaît à Google !

Une meilleure transparence des sites

Plus de transparence pour nourrir la concurrence et diversifier les offres proposées aux épargnants : c'est la volonté affirmée du Gouvernement depuis février 2022 et notamment pour les produits d'épargne retraite.

L'information des épargnants est en effet essentielle :

  • performances des supports financiers ;
  • détail des frais appliqués ;
  • conditions de souscription...

Globalement, on remarque une nette amélioration quant à la transparence des frais sur les sites.

De plus en plus d'acteurs traditionnels opèrent une transformation de leur modèle. Ils prennent par exemple comme modèle des acteurs en ligne avec le lancement de simulateurs d’épargne qui permettent ainsi au consommateur de se projeter plus facilement dans une potentielle épargne.

Dans le même temps, la pénible réforme des retraites a obligé les acteurs financiers à proposer plus d’informations sur la retraite et sur les produits de préparation à la retraite tels que le Plan d'Épargne Retraite (PER). Ce dernier devient un produit à part entière, mis en avant sur la majorité des sites, là où pour le PERP et le contrat Madelin avaient du mal à trouver leur place.

L'information à destination des internautes est donc plus accessible avec une meilleure compréhension des produits distribués.

Des acteurs en ligne plus performants

Les acteurs en ligne se distinguent avec une meilleure qualité de service. Ils compensent notamment l'absence de relation humaine physique - point fort de la relation client en matière d'épargne - avec :

  • des outils performants ;
  • un accès à des simulateurs d'épargne et/ou de calculs d'avantages fiscaux ;
  • une souscription facile et rapide 100 % en ligne ;
  • des frais généralement plus bas.

La catégorie "Banque" offre une qualité de service inférieure par rapport à l'ensemble : seulement 3 banques lauréates sur 11 auditées.

Bon à savoir

Quelques acteurs cumulent la qualité de leurs produits en obtenant le Label du Meilleur PER et celui  du Meilleur Conseil Épargne. C'est le cas de Altaprofits, Yomoni pour les acteurs en ligne et de Préfon, MIF, Garance ou le Credit Mutuel pour les acteurs traditionnels.

Meilleur Conseil Épargne 2024 - Classement des Lauréats 2024 édité par Challenges et Retraite.com

 Catégorie Marque
Assureur    Corum

Groupama

Afer
Prefon
 Banque    Crédit Mutuel
BNP Paribas
Boursobank
Mutuelle UMR

Mutuelle Médicis

MAIF
Ampli Mutuelle
MAAF
Malakoff Humanis
MIF
Garance
MACIF
CARAC
La France Mutualiste
Gestionnaire spécialisé Meilleurtaux Placement
Nalo
Yomoni
Mon Petit Placement
Altaprofits
Primonial
Perlib

 

Ce qu'il faut retenir

Une telle analyse n'existe pas aujourd'hui sur le marché ! Les retours sont très positifs et apportent une reconnaissance naturelle pour les lauréats et les équipes commerciales. De plus, les appels mystères génèrent du stress et donc une vigilance accrue pour les collaborateurs. Bravo à nos lauréats 2024.

 

Par le

 

Depuis le 24 octobre 2024, tous les plans d'épargne retraite (PER) et les contrats d'assurance-vie nouvellement souscrits devront être en partie investis en Private Equity. Une nouvelle réglementation qui découle de la loi industrie verte. Mais tous les contrats sont-ils concernés ? Concrètement, que va-t-il se passer ? Explications.

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La loi industrie verte et le private equity

La loi industrie verte

La loi industrie verte a marqué un tournant dans les pratiques d'investissement en France. Promulguée en octobre 2023, elle a pour but d'inciter les épargnants à privilégier les placements sur des actifs non cotés orientés "écologie" : une mesure environnementale qui couvre des domaines tels que les énergies renouvelables, l’agriculture durable ou les innovations technologiques vertes.

L'objectif de cette loi est de réindustrialiser le territoire français en respectant les enjeux environnementaux :

  • renforcer la compétitivité des entreprises dans le domaine des technologies vertes ;
  • promouvoir la production locale de biens et services à faible impact carbone.

Les contrats impactés par la loi industrie verte sont les contrats d’assurance-vie et les plans d’épargne-retraite (PER).

Private equity

Le Private Equity ou capital-investissement est une catégorie d'investissement qui consiste à prendre des participations dans des entreprises non cotées en bourse, en les finançant dans leurs différentes phases de développement, de la création au rachat.

L'idée est de soutenir des entreprises avec un potentiel de croissance pour ensuite les céder et réaliser des plus-values. Il s'agit donc d'une stratégie long terme.

Concrètement, il s'agit d'investir dans des entreprises non cotées en bourse au sein de votre PER ou de votre contrat d'assurance-vie.

⚠️ Le Private Equity comporte des risques (liquidité, volatilité) qu’il est important d’évaluer en fonction de votre profil d’investisseur.

Pourquoi inclure le private equity dans les PER et l'assurance-vie ?

Inclure le private equity dans le PER et l'assurance-vie répond à plusieurs objectifs, tant pour les épargnants que pour l'économie nationale :

  • un soutien pour les entreprises locales non cotées ;
  • une diversification de portefeuille permettant aux épargnants de mieux répartir les risques en cas de fluctuations du marché. Cette diversification est particulièrement utile pour les investissements à long terme, comme ceux de l'épargne retraite, qui visent à maximiser les rendements tout en limitant les risques liés aux marchés financiers ;
  • des rendements plus élevés dans un contexte de taux bas : les obligations ou les livrets offrent des rendements faibles en raison des taux d'intérêt bas. Le private equity, en revanche, présente des rendements historiques supérieurs, avec des performances annuelles pouvant atteindre 8 % à 12 % dans des portefeuilles bien diversifiés. Pour les épargnants, cela peut constituer une opportunité de dynamiser leur épargne de long terme ;
  • un soutien à l'investissement durable avec un impact positif : le private equity permet d'investir dans des entreprises engagées transition énergétique, numérique, innovation technologique…). Pour les épargnants, soucieux de l'impact de leurs placements, cela offre la possibilité d'investir dans des projets durables et responsables, alignant sur leurs valeurs éthiques.

PER et assurance-vie : les nouvelles règles en matière de private equity

Investir en private equity devient donc obligatoire pour tous les nouveaux contrats souscrits à partir du 24 octobre 2024 et pour les profils en gestion pilotée.

La gestion pilotée (ou sous mandat) signifie que l'allocation de votre épargne est confiée à la société de gestion (en fonction de votre profil investisseur et de votre appétence au risque), contrairement à la gestion libre où c'est vous qui choisissez vos investissements. 

👉 La part d'investissement en actifs non cotés varie selon la nature du contrat et le profil de risque :

 

Assurance vie % Private equity
Profil équilibré  4 %
Profil dynamique  8 %
 

 

Plan d'épargne retraite (PER) % Private equity
Profil prudent 2 % à 6 %
Profil équilibré 3 % à 8 %
Profil dynamique 7 % à 12 %
Profil offensif Jusqu'à 15 %

 

Bon à savoir

Pour échapper à cette nouvelle réglementation, vous devrez opter pour une gestion libre de votre épargne au sein de votre PER ou assurance-vie, ce qui nécessite une très bonne connaissance des mécanismes financiers.

 

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